Nos archives web

Une nouvelle offre Internet à 99 000 ariary. L'entreprise Telma, filiale du groupe Axian, vient de lancer sa nouvelle offre internet, la "Fibre Go", à un prix abordable de seulement 99 000 ariary. Cette offre promet une connectivité de premier ordre en termes de débit, de stabilité, et de fiabilité, offrant aux Malagasy une opportunité inégalée. Patrick-Pisal Hamida, administrateur et directeur général de cette entreprise, souligne l'importance croissante de l'Internet dans la vie quotidienne de chaque malagasy. Cette initiative s'inscrit dans une démarche concrète visant à rendre la connectivité accessible à tous, avec la Fibre Go, qui offre 150 Go de données utilisables pendant un mois. Joël Andrinirina Randrianasolo, directeur général adjoint technique de Telma, explique que leur présence dans les grandes villes du pays facilite l'extension de la fibre vers les foyers jusqu'ici non équipés. Cette nouvelle option de Fibre rechargeable répond à une forte demande de la population.

Un show où se mêlent autodérision, improvisations et apartés de légende avec le public. Après avoir donné du rire à gogo lors du festival Jôkôsô, l’humoriste Sombianiaina est de retour avec un autre spectacle de rire et aussi une autre grande nouvelle. Pas de temps pour les pauses, l’artiste entame toute de suite son énième rendez-vous de cette année. Concert de fou rire, c’est ce que réservera la salle mythique du No Comment Bar (NCB) Isoraka aux noctambules ce soir. L’humoriste présentera son nouveau spectacle en français mais toujours accompagné de celui à la malagasy. Un grand moment pour l’artiste car selon ses dires,  il va filmer son show et l’envoyer en vidéo pour un concours international. 

Le candidat numéro 3 poursuit sa campagne dans la région SAVA. Après Mananara Avaratra, Befandriana et Sambava la veille, Andry Rajoelina a continué son bonhomme de chemin dans la Commune d’Ampanefena dans le District de Vohémar, Andapa et à Antalaha tous dans la région SAVA, la partie Nord-est de la Grande île. Contrairement aux nombreuses rumeurs, la population a répondu massivement présent à l’invitation du candidat numéro 3 et n’a d’ailleurs pas hésité à montrer son soutien à son favori. Dans ces localités, le Président sortant a mis l’accent sur la filière vanille. Andry Rajoelina propose en effet d’installer une usine d’extraction de vanille dans les localités où la vanille constitue le cœur de l’activité économique. 

Plus de deux semaines après son appel au dialogue à Tsimbazaza, la présidente de l’Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa, a reçu, pour la deuxième fois hier, les membres du collectif des candidats. Avant – hier, la Chambre basse a publié une lettre de « convocation » des candidats à la présidentielle en vue d’un « dialogue sur les affaires nationales ». Fait intrigant, la lettre a été conjointement signée par la présidente du perchoir et un chef d’église (a priori du FFKM) alors qu’elle comporte un entête de l’Assemblée nationale. Quid de la laïcité de l’Etat alors ? Quelle procédure administrative stipule qu’une lettre de l’Assemblée nationale est co – signée par une instance religieuse ?

Lors de sa réunion trimestrielle de revue de la politique monétaire, le comité monétaire de Banky Foiben'i Madagasikara (BFM) a pris la décision de maintenir les taux des facilités permanentes à leur niveau actuel. Les taux des facilités de dépôt restent à 9,00%, et ceux des facilités de prêt marginal à 11,00%. La décision du BFM découle de plusieurs facteurs économiques en jeu. Les mesures restrictives de politique monétaire prises précédemment par BFM ont commencé à avoir un impact sur l'inflation. L'Indice des prix à la consommation (IPC) a enregistré une évolution de 5,9% de décembre 2022 à septembre 2023, avec un ralentissement de l'inflation depuis avril 2023. En termes de glissement annuel, le taux d'inflation a été de 8,2% au mois de septembre 2023, comparé à 8,5% un mois auparavant et 9,5% au mois de juillet.

La une du 8 novembre 2023

Publié le mardi, 07 novembre 2023

Vivement le fly-over !

Publié le mardi, 07 novembre 2023

Parlons d’autre chose. En effet, d’autres sujets méritent d’être évoqués. Ils sont dignes de nos attentions autant et même plus que la chose politique. Tellement, la politique et ses inepties nous submergent à tel point que nous ignorions ce qui se passe ailleurs. Il existe en dehors de cette fournaise des « choses » beaucoup plus intéressantes.
A huit jours de la date du scrutin, une échéance capitale pour l’avenir de la Nation, le pays vire à la cocasse. Au rythme où vont les choses, l’atmosphère politique risque fort de dégénérer. Les acteurs politiques, notamment de l’Opposition, censés conduire le pays vers la stabilité sinon vers le mieux à vivre, agissent à la dérive. Des supposés leaders se comportent comme des activistes irresponsables et inconscients du danger et du péril qui guettent le pays.
Le projet de construction du fly-over au niveau du pont d’Anosizato va dans le sens de ce que l’on attend. Les concitoyens, lassés par des éternels bouchons, ne peuvent qu’espérer la réalisation d’un tel projet dont les impacts positifs arrangent au mieux le quotidien du peuple. Pour effectuer le trajet d’Ampitatafika vers le pont d’Anosizato ou inversement d’Anosizato-Atsinanana vers Ampitatafika, sur cet axe très important qu’est la route nationale n° 1, à la sortie de la Capitale, on s’attend à un parcours du combattant. Galère que personne ne digère point ! Pour ainsi dire que ce projet, qui va se réaliser incessamment, relève d’un souhait hautement vif pour tous les usagers, piétons et véhicules. D’après les informations émises par les autorités communales dont les circonscriptions longent la nouvelle route et donc servies par le projet, le processus d’évacuation et d’expropriation des habitants riverains et leurs habitations va sans trop d’anicroches. Tellement on en a souffert, tout le monde semble animer d’une conscience collective de la nécessité absolue de la concrétisation de ce projet de construction de ce fly-over.
Pour rappel, le Chef de l’Etat Rajoelina Andry, dans le cadre des renouvellements, des réhabilitations et la modernisation des infrastructures routières selon l’esprit et la lettre du Velirano, a déjà pris des engagements pour la construction d’un fly-over à Anosizato. Le processus prit du temps mais n’a jamais été abandonné. Durant les neuf premiers mois de l’année, un cabinet malien mène les études techniques préalables notamment concernant l’avant- projet et l’impact environnemental. Le fly-over en question se situe sur le croisement de la RN 1 et la RN5/8A au niveau du pont. A l’état actuel de l’évolution du projet, on arrive au bouclage du dossier d’appel d’offres, phase obligatoire avant tout déclenchement du chantier. Selon les informations dignes de foi, on saura incessamment l’entreprise adjudicataire des travaux qui, en fait, devront durer 24 mois. En 2025, en principe, les embouteillages monstres d’Anosizato seront de l’histoire ancienne.
Ne nous laissons pas embourber par les fantasmes de certains « agents » de la politique nationale. Quoiqu’on dise, la vie suit son cours normal. Les engagements pris à travers le Velirano et dans le cadre du Plan de développement pour l’émergence de Madagasikara ne restent pas lettre morte.
On n’occulte pas pour autant du risque de dégradation du contexte politique national. A chacun de veiller à ce que les intérêts supérieurs de la Nation ne soient sacrifiés sinon sauvegardés. 
Ndrianaivo

 



Un axe routier qui partira de Mananara Nord, en passant par Maroantsetra et d’autres Districts, pour finir à Taolagnaro. Tel résume le projet « route du soleil » du candidat Andry Rajoelina pour toute la partie Est du pays afin de faciliter l’acheminement des produits agricoles. Un projet ambitieux mais pas impossible dont la concrétisation tient à cœur le candidat à la présidentielle et qu’il a de nouveau évoqué lors de la tournée de campagne électorale dans la Région  de Sofia, plus exactement à Mananara Nord. Ce fut au cours d’un meeting dans le stade local. L’endroit était bondé d’une foule enthousiaste et totalement acquise à la cause de ce prétendant à la magistrature suprême.
« Madagascar a besoin d’un leader doté à la fois de visions et de patriotisme. D’une personne jeune et proche du peuple », a déclaré le candidat numéro 3. Il ne manque pas de rappeler les réalisations en matière d’infrastructures routières durant son premier quinquennat. A titre d’exemple, les axes Ambilobe – Vohémar, Ambatondrazaka, etc. Il reconnait néanmoins que son premier mandat n’était pas parfait et qu’il reste encore de nombreuses réalisations à faire.
Poursuivre les chantiers du développement
Avant Mananara Nord, le candidat et son équipe de campagne étaient à Mandritsara puis à Befandriana Nord, toujours dans la Région de Sofia. Deux Districts qui ont bénéficié de nombreuses infrastructures déjà sur pied ou en cours de construction. Pour Mandritsara, la construction d’un hôpital, d’un stade manara – penitra et d’un gymnase est déjà presque achevée. Andry Rajoelina a promis qu’il procèdera à l’inauguration à son retour au pouvoir. Quant à Befandriana Nord, il a promis que les travaux liés à la construction d’un stade manara – penitra seront exécutés dans les quatre mois. D’autres chantiers comme la mise en place d’un bureau de la Police nationale, ou d’un nouveau tribunal sont déjà en cours.
Le candidat numéro 3 a clôturé la journée d’hier par une rencontre avec la population de Sambava, dans la Région de SAVA. Il a notamment mis l’accent sur les problèmes d’énergie auxquels les habitants font face. Les mères de famille dépensent une petite fortune par rapport à leur revenu pour acheter du pétrole pour faire cuire la nourriture. « Dès que je serai élu, je doterai chaque ménage d’un kit solaire. Je viendrai pour amener la lumière », assure Andry Rajoelina. Le candidat numéro 3 poursuit sa tournée marathon ce jour à la rencontre des électeurs dans le cadre de la campagne électorale pour la présidentielle du 16 novembre prochain.
La Rédaction


La Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC)  a annoncé samedi dernier le lancement d’une mission d‘observation électorale à Madagascar. Une décision annoncée lors du Sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de cette organisation régionale, à Luanda en Angola. D’après le communiqué publié à l’issue de cette réunion, les dirigeants ont exprimé leurs vœux pour la paix et le succès du prochain scrutin présidentiel à Madagascar prévu pour le 16 novembre. Le Sommet réitère son soutien au processus électoral par le biais du déploiement de la mission d’observation électorale, qui est d’ores et déjà dans la Grande-île depuis la fin de la semaine dernière, selon les explications d’une source au sein de la diplomatie malgache. Pour les 10 candidats à l’élection présidentielle qui tournent en rond dans la Capitale ces dernières semaines, l’arrivée de cette mission d’observation électorale n’a pas de quoi leur faire retrouver le sourire. La SADC prend clairement position en faveur de la tenue de l’élection présidentielle le 16 novembre prochain. Un avis partagé par les membres de la communauté internationale. L’ambassadeur de France interviewé à la sortie de la cérémonie d’ouverture de la session ordinaire du parlement a déclaré « prendre note » de la décision de report de la date du scrutin et indiqué que pour la Communauté internationale le scrutin devrait donc se tenir à cette date du 16 novembre 2023. La décision de l’instance décisionnelle de la SADC et l’arrivée de cette mission d’observation électorale sonnent comme un coup sur la tête pour Marc Ravalomanana et consorts, qui espéraient un coup de pouce de la communauté internationale, en particulier la SADC, à sa démarche visant à faire reporter l’élection. Ces candidats flâneurs tablaient non pas sur l’arrivée d’une mission d’observation électorale, mais d’une toute autre mission. Celle qui vient de débarquer dans la Grande-île va  probablement rencontrer les candidats, y compris ceux qui sont récalcitrants à aller vers la présidentielle. Elle va écouter et faire son rapport. C’est le rôle des missions d’observation électorale. Elle n’aura cependant pas de pouvoir quelconque sur le processus électoral malgache…

La rédaction






L'Association des anciens étudiants malagasy de Türkiye (AAEMaT), créée il y a deux mois, concrétisant une planification de longue date, a des objectifs dans le pays. Elle veut présenter la culture turque à Madagascar en tirant parti des expériences des étudiants malagasy qui ont étudié dans ce pays, tout en renforçant les amitiés professionnelles et amicales, et en facilitant la recherche de coopération future pour les jeunes. Parmi ses objectifs, l'AAEMaT s'efforce de faciliter le retour des étudiants ayant acquis de l'expérience à l'étranger vers Madagascar selon Tsiry Tsilavo Rajaonary président de l’association, lors de la célébration de la fête nationale de la Türkiye à Madagascar. L'Association se positionne ainsi en faveur d'une meilleure compréhension culturelle et de l'éducation, ouvrant de nouvelles perspectives pour la jeunesse malagasy.

Célébration et renforcement

Madagascar et la Türkiye consolident leurs liens d'amitié. Le 30 octobre, Yvette Sylla, ministre des Affaires étrangères de Madagascar, a pris part à la célébration du 100e anniversaire de la proclamation de la République de Türkiye. L'événement a été dirigé par Ishak Ebrar Çubukçu, l'ambassadeur de Türkiye à Madagascar. La ministre a exprimé ses félicitations à Recep Tayyip Erdoğan, Président de la République de Türkiye, au Gouvernement turc, au peuple turc, ainsi qu'aux ressortissants turcs à Madagascar, au nom du Gouvernement malagasy. Cette coopération bilatérale, qui persiste depuis 33 ans, repose sur des valeurs telles que le respect mutuel et la fraternité. Au fil des années, elle s'est renforcée et s'étend désormais à divers domaines, notamment l'énergie, l'éducation, et le commerce. L’ambassadeur a, en outre, fait remarquer qu’à travers le monde, l'école Maarif, financée par le Gouvernement turc, promeut l'éducation générale et envoie des étudiants en Türkiye. Jusqu’à présent 170 étudiants malagasy ont été envoyés à Türkiye ». La Türkiye, membre des Nations unies depuis 1945 et du Conseil de l'Europe depuis 1948, se distingue par sa générosité en matière d'aide humanitaire, figurant parmi les cinq plus grands réseaux mondiaux. La célébration a également rendu hommage à Mustafa Kemal Atatürk, un homme d'État turc qui a joué un rôle essentiel dans la création et la modernisation de la République de Türkiye. De plus, la Ministre a annoncé la prochaine signature d'un partenariat économique entre Madagascar et la Türkiye, renforçant davantage leurs liens et favorisant les échanges commerciaux. Lors de l'événement organisé par l'Ambassade de Türkiye d'Antananarivo à l'occasion du 100e anniversaire de la proclamation de la République de Turquie, la remarquable performance du groupe Sopranos d'Anatolie a captivé l'attention des invités.

Carinah Mamilalaina

Fil infos

  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
  • Sahara marocain - " L’initiative du Maroc soutenue par le Royaume- Uni"
  • Visite d’Etat - La Slovénie veut être un partenaire actif de Madagascar
  • Fête de l’indépendance - Le Président appelle les citoyens à hisser le drapeau national  
  • Campagne de dénigrement - Deux ministres dans le viseur d’un député
  • Actu-brèves
  • Route Toamasina-Foulpointe - Démarrage effectif de la réhabilitation
  • Dissensions internes - Le régime fragilisé 

La Une

Recherche par date

« June 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
Pub droite 1

Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

A bout portant

AutoDiff