La direction régionale de l’aménagement du territoire et des travaux publics du Vakinankaratra procède aux travaux de réhabilitation d’un pont situé sur la RNS 34. La déviation étant terminée, les travaux se poursuivent pour prendre fin dans trois mois.
Un pont métallique se trouvant sur la RNS 34, à la limite de la Région Vakinankaratra et la Région Menabe est en piteux état. Les derniers travaux d’entretien de routine ont eu lieu en 2015. Depuis, l’état du pont s’est détérioré au fil des années. En 2019, des travaux de réparation d’urgence ont été entamés. Mais cette année 2020, il a été décidé de réhabiliter complètement le pont pour rétablir de façon durable la circulation des personnes et des biens.
La direction régionale de l’aménagement du territoire et des travaux publics du Vakinankaratra entreprend donc les travaux de réparation dudit pont. Jusqu’à maintenant, la déviation des voitures est terminée pour ne pas couper la circulation. Les travaux de confortement de pile ont été achevés également. Cette première tranche des travaux a permis aux voitures de toujours circuler sur ce tronçon de route.
De nombreux travaux sont en cours actuellement. Il s’agit entre autres de la « réparation des appareils d’appui, le démontage des platelages, la confection des platelages, le renforcement des pièces de pont et des dalles de transition », selon les informations reçues de la direction régionale.
Le rétablissement de la circulation sur cette portion de route est important pour le développement des relations économiques entre les Régions de Vakinankaratra et de Menabe et pour la Région Menabe car cette route peut approvisionner les autres Régions (par exemple les Régions d’Analamanga, Amoron’i Mania, etc.) en divers produits, notamment agricoles. Il est à noter qu’entre 200 et 500 voitures y circulent par jour. Les responsables des travaux estiment que le chantier prendra fin dans trois mois. Grâce aux travaux de réhabilitation, le pont pourra supporter jusqu’à 44 tonnes.
Le reconfinement apporte son lot de déception. Seuls les secteurs d’activité essentiels sont autorisés à travailler. Les autres domaines sont ainsi exclus comme les restaurants, les salons de coiffure, l’évenementiel, les salles de sport alors qu’ils commencaient à peine à reprendre leurs activités au cours des deux derniers mois. Rappelons que les opérateurs exerçant dans ces domaines ont déjà vécu presque deux mois de fermeture lors de l’annonce de l’état d’urgence sanitaire à la fin du mois de mars dernier.
Un accès limité aux personnes exterieures. Le ministère de l’Economie et des Finances figure parmi les institutions requisitionnées d’office pendant cette période de confinement. Malgré l’ouverture des bureaux pour le paiement dans les caisses pubiques, le directeur général des Impôts, Germain, invite les usagers à adresser leurs correspondances dans toutes les Directions et unités opérationnelles au sein de l’administration fiscale dans la Région d’Analamanga via le courrier électronique.
L’insécurité semble regagner de plus en plus de terrain à Amboasary-Sud. En témoignent les évènements sanglants survenus vers 21h samedi dernier chez une petite famille. Un gang armé s’en est pris violemment aux locataires, en prenant soin de prendre particulièrement pour cible le couple de propriétaire. Actuellement, les époux devraient séjourner encore à l’hôpital à la suite de graves blessures que les assaillants leur ont infligées.
Débordés. En cette situation d'urgence, les personnels de santé sont contraints de travailler dans des conditions inhabituelles et parfois atypiques. Vendredi dernier, lors d'une rencontre entre les syndicats et associations des personnels médicaux avec les représentants du ministère de la Santé, organisée auprès du siège dudit ministère sis à Ambohidahy, ils ont témoigné à propos de la trop lourde charge au niveau de leur travail, notamment de longues heures de travail se traduisant par l'absence des périodes de repos.
La friction entre l’Assemblée nationale et la Gendarmerie nationale est résolue, a expliqué hier le député Jean Michel Henri. Elle a pris naissance suite à une dispute et violence perpétrée sur la personne de la députée de Besalampy, Mamizara Yasmirah Leaticia, par un gendarme à Mahitsy.
Des embouteillages monstres, des trottoirs abondés de marchands, des piétons qui marchent tranquillement dans les rues, des motos et bicyclettes en double montée,... Le premier jour de reconfinement total semble être un échec, si l’on tient compte de ces faits constatés dans la matinée d’hier à Antananarivo et ses périphéries. La foule était au rendez-vous du côté d’Ambohimanarina, Ambohibao, Andravoahangy, Ambodin’Isotry, Anosibe, Anosizato, Ampitatafika, etc. De plus, des boutiques et commerces sont restés ouverts, malgré les consignes.
Les légumineuses, le riz local et « Makaolika », les huiles cachetées ont disparu en peu de temps des étalages des épiceries et grossistes. En effet, durant la journée d'hier où le reconfinement a débuté, beaucoup de gens se sont rués vers les lieux de vente des produits de première nécessité (PPN) de la Capitale, notamment les épiceries et grossistes au niveau des Fokontany.
Pour la première fois, on sent quelque chose de positif qui émane du côté d’Ambohijatovo. En effet, la Société nationale Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA) entreprend depuis l’installation de la nouvelle équipe dirigée par le nouveau directeur général Vonjy Andriamanga. De nouvelles mesures courageuses de nature à redorer le blason de la Société se mettent en place.