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Quinze personnes ont été traduites devant le Pôle anti-corruption( PAC) avant-hier dans le cadre d’une affaire concernant des marchés à prestation fictifs auprès du ministère de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme (MPPSPF), courant l’année 2018. A l’issue du déferrement, sept personnes ont été écrouées. Les huit autres attendent la suite du traitement de cette affaire sous le régime de la liberté provisoire.

 

Au lendemain de son soutien aux joueurs des Barea, le Président Andry Rajoelina poursuit sa visite dans la ville de Toamasina. Hier, le Chef de l'Etat a inauguré une minoterie (établissement de transformation de farines destinées au commerce) située à Betainomby et qui porte l'appellation de LMOI (Les minoteries de l'Océan Indien). Avec une capacité de production de 500 tonnes de farine par jour, cette usine ambitionne d'arriver à une production quotidienne de 1200 tonnes. LMOI compte 250 employés.

LA UNE DU 19 NOVEMBRE 2020

Publié le mercredi, 18 novembre 2020

La République Coopérative de Guyana a annoncé, samedi, sa décision de retirer sa reconnaissance de la pseudo “rasd”, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.


Le résultat nul d’hier (1-1) contre la Côte d’Ivoire rapproche Madagascar du Cameroun. La qualification pour la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations passe par au moins une victoire lors des deux prochaines journées des éliminatoires. Les Barea auront cent quatre-vingt minutes pour de nouveau marquer l’histoire.
Au classement du groupe K de ces qualifications pour la prochaine CAN, les protégés de Nicolas Dupuis comptent le même nombre de points que leur adversaire d’hier. Prochain obstacle sur la route de Madagascar vers la grand-messe du football africain, l’Ethiopie a écrasé le Niger sur trois buts à rien et a désormais six points au compteur. Une victoire contre les Walya Ethiopiens dans ce qui ressemble à une petite finale, au mois de mars de l’année prochaine conduirait directement les Barea de Madagascar à la CAN 2022 avec dix points. Dans ce cas, même une défaite lors de la dernière journée contre le Niger à domicile n’aurait plus aucune conséquence, car Madagascar ne pourrait plus être rejoint par l’Ethiopie mathématiquement.
Un match nul ou une défaite face aux Ethiopiens au mois de mars prochain ne serait pas fatale aux Malagasy. Dans ce scenarii, tout se jouera lors de la dernière journée. Dans le premier cas, c’est-à-dire un nul face à l’Ethiopie, Madagascar devra alors s’imposer face au Niger ou compter sur un faux pas de l’Ethiopie face à la Côte d’Ivoire pour composter son ticket pour le Cameroun. Une défaite contre les Antilopes Ethiopiens dans quatre mois compliquerait en revanche les calculs pour Madagascar qui n’aurait plus son destin entre ses mains. En effet, même en cas de victoire contre le Niger lors de la dernière journée, il faudra aussi espérer que dans l’autre match les Ethiopiens ne l’emportent pas face aux Ivoiriens.
Mais tout cela est encore lointain. Pour les Barea, la meilleure option est de gagner leur prochain match face à l’Ethiopie. Ils pourraient même espérer glaner la première place du groupe en cas de victoire face au Niger, et si dans le même temps, la Côte d’Ivoire ne fait pas le plein de points de son côté également. Le capitaine de la sélection malgache et buteur hier, Ibrahim Amada et ses coéquipiers ne sont qu’à une victoire d’une seconde qualification consécutive pour la CAN. L’objectif est donc clair et connu, les joueurs malagasy viseront la victoire au mois de mars prochain en Ethiopie.
La mission est tout à fait possible. Après la défaite la semaine dernière face aux ogres ivoiriens favoris incontestés du groupe, le résultat d’hier face à ces mêmes adversaires aura permis aux joueurs malagasy de retrouver quelque peu la confiance. Comme hier, les joueurs pourront également compter sur le soutien indéfectible de tout Madagascar.
L.A.



Chaise vide ou démission

Publié le mardi, 17 novembre 2020

La politique de chaise vide ou démission de la raison ! Bonnet blanc, blanc bonnet. Du pareil au même. Il est toujours désolant quand on joue de cette façon aux intérêts supérieurs de la Nation.
L’absentéisme dont fait preuve les sénateurs de l’Opposition fait couler trop d’encre et crée des vagues de trop. Les sénateurs HVM et TIM désertent la deuxième Session ordinaire (la dernière) du Sénat. Les Raveloson Thierry et compagnie ainsi que les Ramalason Olga et consorts boudent les réunions obligatoires du Sénat. Etant élus ou nommés et payés pour les parlementaires sus-mentionnés manquent à leurs obligations.
Le président de la Haute Cour constitutionnelle (HCC), Jean Eric Rakotoarisoa, ramène les sénateurs égarés à leur place. Le juge constitutionnel siffle la fin de la récréation et remet la pendule à l’heure. Le Professeur titulaire en Droit constitutionnel, Jean Eric Rakotoarisoa, rappelle à l’ordre. Les motifs avancés par les fautifs pour se dédouaner résident, en gros, sur le manque de budget qui les empêche, dit-on, à se déplacer. Une excuse irrecevable selon le président de la HCC. Elle ne peut pas être retenue comme raison sérieuse pour justifier des absences prolongées. Tout comme un enseignant qui s’absente longuement parce que, semble-t-il, les moyens lui font défaut. C’est absurde ! Une excuse dénuée de tout sens. Il faut qu’il se débrouille. L’école et les parents d’élèves lui payent afin qu’il puisse s’acquitter normalement de son devoir. Idem pour les parlementaires, députés ou sénateurs, les contribuables leur payent, très cher s’il vous plaît, et donc ils n’ont aucune raison de faire « l’école buissonnière ». Jean Eric Rakotoarisoa, président de la HCC, a bien fait de clarifier le jeu, « c’est une excuse bidon ! ».
La politique de la chaise vide correspond à l’incivisme et à l’irresponsabilité. A travers l’ineptie dont les sénateurs de l’Opposition se font l’apanage, il en ressort réellement la démission tout court. Tel un soldat enclin à la traitrise et qui se dirige tout droit vers la désertion en fuyant la bataille. Au moment de la phase la plus dure, les parlementaires d’Anosikely abandonnent sans raison valable leur poste. Et tout le monde le sait quel sort, pendant la guerre, attend tout déserteur.
L’Opposition enrôlée au sein du RMDM divague et erre dans le désert de l’insolence et de l’absurdité. Ses membres savent avec pertinence que leur démarche ne rime à rien en termes d’intérêts supérieurs de la Nation. Téléguidés par leur président, Marc Ravalomanana, la raison d’être de leurs actes repose uniquement sur la mise en œuvre des règlements de compte vis-à-vis du numéro Un du pays. Les membres de l’Etat-major politique agissent sans arguments de fond. Comme des marionnettes, le pasteur Tsarahame et compagnie parlent pour ne rien dire. En toute honnêteté, en quoi pourrait-on incriminer les dirigeants en place ? Sur quelle base d’arguments pourrait-on les accuser ? D’après les analystes les plus objectifs et sérieux, la gestion des affaires nationales respecte les normes appliquées. D’ailleurs, les partenaires techniques et financiers y compris les bailleurs traditionnels, étant entendu leur intransigeance, reconnaissent la fiabilité et la transparence en la matière. Et le peuple n’en disconvient pas non plus.
La politique de la chaise vide qui prévaut au palais d’Anosikely s’apparente, ni moins ni plus, à la démission de la raison.
Ndrianaivo


Il est soupçonné d’être derrière l’attentat manqué contre le président de la République Islamique des Comores Azali Assoumani et s’est réfugié à Madagascar après avoir été à Mayotte. Les autorités comoriennes ont lancé un mandat international contre lui et il fut arrêté à Mahajanga avant son extradition aux Comores  dans le courant du mois de juillet dernier.
Mais dimanche dernier, Inssa Mohamed alias Bobocha, puisqu’il s’agit de lui, s’est évadé de la prison de Moroni avec quarante autres détenus. Ces prisonniers ont profité de l’absence de vigilance des agents de sécurité pour faire la malle. Ces derniers, comme toute la population des îles des Comores, se sont concentrés sur le match historique de leur équipe nationale contre le Kenya dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2022à l’issu duquel est sorti vainqueur la sélection comorienne. Alors que le monde extérieur est descendu dans les rues pour manifester la joie, Inssa Mohamed et consorts ont enlevé un pan du mur de la vétuste prison de Moroni pour prendre le large. 13 évadés furent repris quelques heures après tandis que les autres dont le supposé cerveau de l’attentat manqué du 18 avril dernier contre le Président des Comores sont toujours en cavale. Les autorités comoriennes se focalisent essentiellement sur cet individu, un opposant du régime, qu’il qualifie de terroriste. Une évasion confirmée d’ailleurs par le ministre de la Justice comorien, Mohamed Housseine Djamalilaili.
Le 7 juillet 2020  Inssa Mohamed alias Bobocha, est arrêté à la mosquée de Majunga par deux gendarmes malagasy. Extradé le 15 juillet  à bord d’un avion spécial affrété par l’Etat comorien après un séjour hospitalier de six jours, Inssa Mohamed a été dès son arrivée à Moroni placé sous mandat de dépôt….
La rédaction
 



« Le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) n’est pas en charge de la délivrance d’autorisation pour l’organisation et la tenue d’évènements culturels. De plus, le ministère n’a pas le pouvoir ni d’interdire ni d’annuler une manifestation culturelle et artistique à Madagascar ». A travers ce communiqué signé par le directeur général de la Culture, en date du 16 novembre, le MCC se disculpe de toute responsabilité quant à la situation actuelle, suscitant une polémique et une tension, qui plane dans le domaine. En fait, bon nombre d’artistes et d’organisateurs évènementiels haussent le ton quant à l’annulation des spectacles prévus se tenir dans diverses localités de Madagascar. Ces derniers se sont plaints auprès du ministère de tutelle de cette situation ainsi que de celle d’une artiste sud-africaine qui peut faire librement une tournée dans le pays. « L’arrivée et l’organisation de la tournée de l’artiste étrangère ne sont pas de notre ressort. Seules les autorités auprès des collectivités territoriales décentralisées dans la localité accueillant l’évènement peuvent trancher sur l’octroi d’autorisation ou l’annulation », souligne le communiqué. Lors de sa dernière intervention à la chaîne nationale, le Président de la République a fait part que les responsables de chaque région devraient adopter les mesures nécessaires pour maîtriser la propagation de la pandémie du coronavirus.
Des artistes et organisateurs dénoncent…
Récemment, l’artiste Big MJ a exprimé son mécontentement sur sa page Facebook quant à l’annulation de son spectacle à Ambalavao, prévu se faire le 15 novembre dernier. « Nous étions déjà sur place quand les autorités locales nous ont informés de l’annulation du spectacle, à cause de la Covid-19. Pourtant, tout était OK depuis septembre, avec toute l’organisation y afférente. Nous avons déjà engagé des dépenses conséquentes dans les publicités, les déplacements et la restauration. Ils auraient au moins dû nous avertir au préalable, au lieu de nous surprendre à la dernière minute », nous confie le manager de cet artiste de renom. Ce dernier prévoit un tour de Mada depuis le 31 octobre jusqu’au 26 décembre, avec plusieurs spectacles à l’affiche. « Nous nous inquiétons pour le reste de la tournée, d’autant plus qu’aucune confirmation ni annulation ne nous a été communiquée jusqu’ici », ajoute le manager. Normalement, Fénerive- Est, Morafeno Vavatenina et Vohipeno sont prévus accueillir les prochains rendez-vous avec l’artiste.
A noter que plusieurs spectacles, dont celui de Jean Aimé et Bolo Pixx à Ambatomainty ou encore celui de Jean Aimé et Mijah à Manakambahiny, tous prévus se tenir le 25 octobre dernier, ont déjà été annulés. Il en est de même pour le festival Sôrogno 2020, prévu du 20 au 22 novembre prochain à Ambanja. Pourtant, la tournée de la chanteuse du tube planétaire « Jerusalema » dans le pays s’enchaîne. Elle a déjà pu rassembler des milliers de personnes à Sambava et Toamasina, avant de rejoindre Mahajanga pour finir la tournée au Coliseum Antananarivo. Aucune interdiction n’a eu lieu, malgré le fait que la venue de l’artiste sud-africaine a favorisé le non- respect des gestes barrières, notamment à travers l’absence du port de masque et de la distanciation sociale de un mètre. Les risques de seconde vague semblent imminents…
La Rédaction



Alors que les pâtes alimentaires importées sont frappées d’un droit de douane additionnel de 29 %, la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de celles fabriquées localement est révisée à 5 % si elle était de l’ordre de 20 % auparavant. Cette stratégie de défense commerciale entre dans la protection de la Branche de production nationale (BPN) face aux importations et rend les produits locaux plus compétitifs sur le marché. Ainsi, en ce qui concerne les pâtes alimentaires de fabrication locale, on pourrait désormais s’attendre à une éventuelle baisse des prix sur le marché. « Nous avons l’objectif de développer les industries à Madagascar. Les pâtes alimentaires sont devenues un aliment de base de la population, juste après le riz. Les dispositions prises dans la loi de Finances serviront à améliorer le climat des investissements et le climat des affaires en général. En tout cas, l’augmentation de la production nationale conduit à l’autosuffisance alimentaire même si le chemin pour y parvenir reste encore long », explique Lantosoa Rakotomalala, ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanant lors de la table ronde sur les enjeux des mesures économiques et fiscales qui s’est déroulée au Pavé, Antaninarenina.
Amiraly Hassim, président du Syndicat des industries de Madagascar (SIM) et fervent défenseur des produits « Vita Malagasy », souligne que « les importations ne créent pas de l’emploi pour la population, contrairement aux industries locales. Il est donc important de privilégier les produits locaux sur le marché ». A rappeler que trois unités de production sont actuellement en cours d’installation à Madagascar.
Outre la protection des producteurs nationaux, la baisse des importations entraîne la diminution de la sortie de devises et améliore la balance commerciale du pays.
Solange Heriniaina

Un « Velirano » de plus en cours de concrétisation. Le projet « Miami » visant à faire de la ville de Toamasina une destination touristique phare vient de débuter officiellement.  Comme son nom l’indique, le projet fait référence à une ville américaine de par les infrastructures modernes et l’attrait touristique qu’il suscitera. Hier, le Président Andry Rajoelina et son épouse ont fait le déplacement à Toamasina pour soutenir l’équipe nationale lors du match les Barea aux Eléphants de la Côte d’Ivoire. Dans la matinée, le couple présidentiel a donné le coup d’envoi du projet Miami avant de visiter quelques sites où se déroulent des travaux de construction de plusieurs infrastructures à Toamasina. « La vue sur la mer dès l’entrée de la ville constitue l’un des principaux atouts de Toamasina, ces chantiers sont donc très importants pour améliorer l’image de la ville », a soutenu le Président Andry Rajoelina.
 Parmi les chantiers déjà en cours figure aussi la construction de l’axe situé au boulevard Ratsimilaho et qui passe le long du bord de mer de la ville portuaire. Ce boulevard sera complètement réhabilité et sera rehaussé à un niveau de 6 mètres pour éviter tout dommage causé par les catastrophes naturelles comme ce fut le cas auparavant.
Première phase
La plate – forme nord située entre l’Hopitaly Be et l’hôtel Neptune constitue la première phase du projet « Miami », prévue être terminée d’ici cinq mois. Pour le moment, les ouvrages consistent au soutènement et l’aménagement des quais de promenade. Par la suite, ces endroits abriteront des nouvelles infrastructures ainsi que des lieux destinés aux activités ludiques et sportives. Les marchands qui tenaient des petits commerces sur le bord de la mer ne seront pas en reste puisqu’ils bénéficieront d’un programme d’accompagnement professionnel et se verront octroyer des emplacements spécifiques aménagés pour leurs activités respectives. 
Le Chef de l’Etat et son épouse ont également pu constater l’avancée du projet de réhabilitation de l’axe entre Morafeno vers l’Hopitaly Be qui contribuera à désengorger la circulation dans la ville de Toamasina. D’après les consignes du Président de la République, cette voie a été construite en béton pour assurer sa pérennisation. Cet axe routier est également bâti conformément aux normes des grandes routes pour une grande capacité de circulation de voitures sans oublier une voie destinée aux piétons.
Promesse concrétisée
Rappelons qu’au mois de février dernier, l’appel à manifestation d’intérêt à l’attention des entreprises désirant être les prestataires dans la réalisation des ouvrages en était déjà à la phase II. Cette nouvelle phase vient d’être lancée cette semaine et s’adresse aux entreprises de génie civil spécialisées en travaux d’aménagement et en équipement d’infrastructures sportives et de loisirs.
Ce projet d’aménagement du bord de la mer de Toamasina ou projet « Miami » figure parmi les promesses de campagne du Président Andry Rajoelina. Une promesse taxée de rêve par ses détracteurs mais qui va bientôt prendre forme. Ledit projet est complémentaire aux travaux d’extension du Port de Toamasina. Outre la visée touristique, le projet ambitionne également la promotion de l’industrie des sports et des loisirs.
Durant la même matinée, le couple présidentiel a procédé à l’inauguration du PACT ( Port Academy Center Toamasina) qui dispensera de formations pour les employés dans le secteur portuaire. Il s’agit d’un projet financé par des fonds propres du SPAT.
La Rédaction

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

A bout portant

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