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Après Fianarantsoa, Antananarivo et Andekaleka, d'autres zones du pays pourraient également bénéficier des pluies provoquées pour les prochains jours programmées par le ministère de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène (MEAH) en collaboration avec la Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA) et la Direction générale de la Météorologie (DGM). L'objectif étant de lutter contre les impacts de la sécheresse et du retard du début de la saison des pluies. « Nous pouvons constater aujourd'hui que le Sud du pays n'est plus la seule région à souffrir de la sécheresse.

Secteur BTP - Le prix du ciment « durcit » 

Publié le mercredi, 24 novembre 2021

Figé. En pleine phase de finition des travaux de construction de son château d'eau pour s'assurer de l'approvisionnement en eau quotidien, à défaut d'un service continu de la compagnie nationale de l'eau, Andriamihanta Rakoto, un médecin habitant du côté d'Atsimodrano vient de se rendre compte qu'il serait bientôt à court de sacs de ciment. Un stock qu'il s'est constitué il y a déjà quelques mois et qu'il devra alors réapprovisionner s'il veut que le château d'eau soit opérationnel avant les périodes de sècheresse.

Hira Gasy - Ramilison Besigara Zanany dans l’Hexagone

Publié le mercredi, 24 novembre 2021

Le Hira Gasy sera à l’honneur. Dans le cadre de célébration de la dixième édition du Colloque international francophone de Biarritz, qui a débuté hier au Casino Municipal, la culture malagasy va être représentée par le Hira Gasy. Pour ce faire, parmi la programmation de cet évènement d’envergure, la compagnie Ramilison Besigara Zanany sera sur la scène du parvis du Casino Municipal de Biarritz en France pour un opéra de Hira Gasy demain à partir de 11 heures. La compagnie donnera un spectacle autour d’une thématique bien précise « Madagascar au temps du coronavirus ».

L'expérience et la compétence égyptienne en matière de réalisation d'infrastructure sollicitée. Le Président de la République, Andry Rajoelina s'est entretenu avec son homologue égyptien, le Président Abdel Fattah Al-Sissi mardi, en marge du 21è Sommet du COMESA. Le Président égyptien s'est félicité de la visite du Président de Madagascar en Égypte, louant le sens du leadership de Rajoelina, sa présidence du COMESA au cours de la dernière période, et les relations étroites qui unissent l'Égypte à sa sœur Madagascar, soulignant la volonté de l'Égypte de renforcer la coopération entre les deux pays dans divers domaines, notamment dans le secteur du numérique et des nouvelles technologies. 

La une du 24 novembre 2021

Publié le mardi, 23 novembre 2021


Les pays du COMESA ou Marché commun de l’Afrique orientale et australe se mettent à l’ère numérique. « Edifions notre résilience par une intégration économique numérique stratégique », tel est le thème du 21ème sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement qui s’est tenu hier au Caire, Capitale de l’Egypte. Présent sur le territoire égyptien depuis dimanche, le Président Andry Rajoelina a donné le coup d’envoi de ce sommet, en tant que président sortant de cette organisation régionale.
Durant sa prise de parole, le Président a rappelé les séquelles laissées par la Covid-19 sur l’économie des pays de la région. Ce sommet étant la première rencontre physique entre les Chefs d’Etat et de Gouvernement du COMESA après l’avènement de la Covid-19, le Président Andry Rajoelina a  déploré les impacts socio – économiques de la crise sanitaire qui a engendré, entre autres, des pertes d’emplois, une hausse des coûts de transport, une inflation du prix des marchandises surtout les produits de première nécessité.  Le numéro un du pays a souligné les avantages de la technologie qui est désormais incontournable pour se relever de cette crise sanitaire. « Grâce à la technologie, le monde n’était pas à l’arrêt. Les entreprises ont pu poursuivre leurs activités et même les gouvernants et hauts responsables des pays du monde ont pu continuer à fonctionner et à décider notamment des stratégies communes contre la pandémie », a – t – il indiqué.
A l’heure du bilan
Le numéro un malagasy a aussi dressé un bilan des étapes franchies par l’organisation ces dernières années tout en avançant des perspectives. Concernant les réalisations, le Président malagasy a fait part de la mise en œuvre des plate – formes de la Zone de libre – échange numérique (ZLEN). Une initiative visant à donner un coup de pouce aux petites et moyennes entreprises (PME) afin de passer au – delà des règlementations, des processus et les obstacles complexes. L’idée est aussi de faciliter les transactions commerciales transfrontalières à l’aide des plateformes numériques, d’autant plus que la ZLEN facilite la circulation des marchandises. Il a ainsi encouragé la perspective de construction d’une économie numérique régionale.
Au terme de 5 années à la présidence du COMESA, Madagascar laisse la place à l’Egypte. Ainsi, la passation de fanion entre le Président Andry Rajoelina et son homologue égyptien Abdel Fattah Al – Sissi a été réalisée. Ce dernier a salué les efforts de Madagascar durant le mandat à la tête de cette organisation régionale. Le Chef de l’Etat malagasy a vivement remercié tous les pays membres du COMESA pour leur soutien durant cette période de présidence de Madagascar. « Nous devons rester unis face aux défis communs et à nos aspirations partagées », conclut le Président de la République avant de souhaiter plein succès au Chef de l’Etat égyptien qui assure désormais la présidence du COMESA pour un mandat de 5 ans.
Sandra R.


Comeback. Cela fait exactement cinq ans que Poopy a arpenté pour la dernière fois la scène du théâtre de verdure d’Antsahamanitra. En cette approche de fin d’année, la chanteuse a décidé de revenir sur cette même estrade. Et pour cause, ses admirateurs lui manquent. Ce qui est sûr, c’est que Poopy, de son vrai nom Helianta Ramahavalisoa, accompagnée de ses musiciens et le groupe de danse Tsingory, peaufinent un retour fracassant à Antsahamanitra pour ce dimanche 28 novembre à partir de 15 heures tapantes. La star revient donc pour un concert inédit. Un grand spectacle qui s’annonce déjà festif puisque avec Poopy à l’animation, le public ne pourrait s’attendre qu’à un moment jovial et nostalgique. De plus, Poopy est une chanteuse qui n’est plus à présenter. Elle est dotée d’une carrière impressionnante, ponctuée par de nombreuses chansons à succès que le public aime encore fredonner jusqu’à ce jour. D’ailleurs, les amateurs de karaoké ne cessent de demander au DJ de faire passer en boucle les perles de ses riches interprétations. Ses chansons sont également fredonnées en chœur lors des fêtes familiales ou entre amis.

Mérite
Après un petit silence jugé un peu long par ses fans, Poopy et ses complices retrouvent ainsi la grande scène. « Tahak’izay », « Ny marina », « Raha nofy », « Tolory tanana » ou encore sa dernière née « Tsy ho irery »… Ces morceaux nationaux très connus vont retentir dans l’enceinte du théâtre de verdure d’Antsahamanitra ce dimanche. Et oui ! Poopy et ses musiciens préparent un retour grandiose et concoctent un grand concert digne de leur réputation. Un privilège pour tous ses fans qui découvriront à nouveau celle qui a bercé les ouïes des générations 80 et 90 à travers la Grande île et qui collectionne plus de dix albums. Nul doute que ses fans seront toujours séduits par la voix et la simplicité de cette chanteuse romantique qui chante l’amour depuis plus de 35 ans. Pour ceux qui n’ont pas encore obtenu leur ticket d’entrée, le jour-J approche. Pensez à réserver votre place dès maintenant. La billetterie est encore disponible chez Super Music, Analakely.
Sitraka Rakotobe


Reconnus pour leur engagement en faveur de la préservation de l’environnement de Madagascar. Plus les années passent, plus les zones forestières du pays diminuent à vue d’œil. Toutefois, ce serait mentir si l’on disait qu’aucune action n’est entreprise pour inverser cette situation. Conscients de la gravité de la situation dans la Grande île, des défenseurs de l’environnement ont ainsi élaboré des projets bien pensés en vue de conserver les ressources naturelles du pays mais aussi pour reverdir l’Ile Rouge. Et ces projets ont permis à leurs instigateurs de briller à l’international. C’est le cas notamment de Julie Razafimanahaka, directrice exécutive de l’organisation Madagasikara Voakajy. Une passionnée de lémuriens et de chauve-souris, engagée pour la conservation depuis bientôt 16 ans. Elle remporte ainsi le Prix Tusk pour la Conservation en Afrique 2021. La cérémonie de remise des prix s’est déroulée avant-hier à Londres (Royaume-Uni). Créé en 2013, ce prix récompense notamment les leaders émergents dans le domaine de la conservation, dont le travail a démontré un engagement exceptionnel et a eu un impact considérable sur la nature. Le travail de Julie Razafimanahaka a en effet permis la création de quatre aires protégées dans le District d’Ambatondrazaka, mais aussi la préservation d’une bonne partie des forêts de Mangabe.
Tout comme Julie Razafimanahaka, les efforts fournis par Max Fontaine et son équipe à travers l’entreprise sociale responsable Bôndy se démarquent également au niveau international. Bôndy multiplie les prix et les représentations au cours des dernières années. « Nous avons par exemple remporté le "WWF Madagascar Pitch Award" ou encore le "Sprint 2020 Madagascar" organisé par l’INCO, l’ADF et la Région Ile-de-France », confie Max Fontaine. Plus récemment, ce dernier a représenté Madagascar au sommet climatique « Youth4Climate » à Milan (Italie) en septembre 2021 et à la COP26 à Glasgow (Ecosse). Le modèle de reforestation de Bôndy se distingue de par sa démarche. « Le modèle de Bôndy repose sur trois piliers : l’environnement, le social et l’économie. Rien que pour la partie environnementale, nous utilisons des combinaisons d’arbres bien étudiées pour améliorer les bénéfices environnementaux et la productivité des forêts, en prenant en compte la fertilité des sols, la biodiversité, l’érosion ou encore la disponibilité de l’eau », explique le fondateur de Bôndy. Son modèle s’attaque aux causes profondes de la déforestation, tout en renforçant les populations locales grâce à des projets économiquement viables. « Le modèle consistant et durable de Bôndy a été conçu de manière scalable pour être exportable en Afrique subsaharienne, et de manière plus globale dans tous les pays voulant développer une politique de reboisement durable », poursuit-il.
Au vu de leurs réalisations, tout comme sur la scène internationale, Madagascar mais plus particulièrement les autorités locales doivent les reconnaître et collaborer avec eux pour atteindre l’objectif de reverdir Madagascar. Leurs méthodes ont fait leur preuve. Raison de plus pour les appliquer à grande échelle, sachant que le pays s’est fixé comme objectif de planter 75 millions d’arbres chaque année.
Rova Randria

Acteurs potentiels de demain

Publié le mardi, 23 novembre 2021

« Enfants-ado d’aujourd’hui, acteurs responsables de l’an 2000 ! » Tel est en substance le slogan fétiche, relatif aux jeunes, inscrit dans le « Boky Mena », la « Bible » du régime socialiste de l’Amiral rouge Didier Ratsiraka (1975 - 1992).
Vérité de la Palisse, enfants d’aujourd’hui, adultes de demain. En effet, de cette vérité indéniable, on a érigé toute une panoplie de principes ou d’artifices idéologiques souvent démagogiques. Des arnaques à mener tout un peuple en bateau dont les premières victimes ne sont autres que les enfants, à la rigueur les adolescents et les jeunes.
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) planifie tous les ans, à l’occasion de la journée mondiale de l’enfance, des manifestations culturelles portant essentiellement sur les droits des enfants et leurs intérêts à défendre. L’UNICEF, de par sa raison d’être, veille à attirer l’attention de l’opinion publique notamment les détenteurs du pouvoir sur le cas des enfants. En fait, il milite pour le respect des droits fondamentaux de la mère et enfants et cela en vertu de la déclaration universelle des droits humains (1948).
Pour la troisième fois consécutive, l’UNICEF organise en partenariat constructif avec la Présidence de la République un programme inédit intitulé « Demokr’ankizy » avec comme acteur principal le Chef de l’Etat en personne entouré d’une cinquantaine d’enfants en provenance de toutes les Régions de la Grande île. Le programme consiste à un échange direct entre Rajoelina et les enfants du pays sur des sujets phares intéressant la vie nationale et ayant comme cadre le Palais d’Etat d’Iavoloha. Des thèmes comme l’éducation, la santé, l’environnement et surtout les droits des enfants ont été au centre du débat. Le Président Rajoelina, toujours à l’aise avec les jeunes et les moins jeunes, répond à travers un décryptage précis aux questions posées. Les enfants ont manifesté les intérêts majeurs qu’ils accordent à la gestion des affaires nationales et cela malgré leur jeune âge. Evidemment, ils ne perçoivent pas encore les enjeux de la politique surtout politicienne mais ils ne sont indifférents à la situation critique que le pays traverse. En effet, le Président Rajoelina a dû donner des explications fournies et détaillées sur les cantines scolaires en n’oubliant pas de mettre en relief les efforts mis en œuvre par le « Fanjakana ». De même, le problème résultant du réchauffement climatique tenait une place importance dans ce dialogue direct entre le numéro Un du pays et les enfants des quatre coins de la Grande île. Les enfants ont été mis au fait du dérèglement climatique sur l’environnement. Madagasikara, étant un pays exposé directement aux impacts du changement climatique, se trouve parmi les pays vulnérables. Une démocratie directe de ce genre permet de responsabiliser au mieux nos jeunes sur les comportements à adopter, face au divers aspect du problème.
L’UNICEF s’engage profondément dans une lutte de longue haleine pour qu’on prenne conscience des droits fondamentaux des enfants et qu’on leur assure un avenir digne des humains. 
Dans le Velirano VIII, le régime Orange se donne pour objectif à revaloriser les conditions d’existence de la mère et des enfants. Un point d’honneur que tout dirigeant se doit d’honorer et de concrétiser.
Les enfants, les adolescents et les jeunes constituent les acteurs potentiels de demain.
Ndrianaivo



71,5%. Tel est le taux de pauvreté fourni par la dernière Enquête permanente auprès des ménages (EPM) menée en 2012. La situation s’est-elle améliorée ou s’est dégradée ces 9 dernières années ? Cette question aura prochainement sa réponse, tout comme d’autres relatives à l’emploi dans le secteur informel et le chômage, la situation de la mère et de l’enfant, etc. L’EPM 2021 va fournir des informations détaillées sur le niveau de consommation et les conditions de vie des ménages. Les dimensions de la vie quotidienne, entre autres le crédit, épargne, dépenses en santé, éducation, logement, transport, culture et mœurs ou encore les chocs et risques auxquels les ménages sont confrontés, seront pris en compte. « 280 agents de terrain, répartis en 70 équipes, s’assureront de la collecte des données sur terrain pendant 4 mois, jusqu’en mars 2022. L’analyse, le traitement et l’informatisation des données s’en suivront, afin d’obtenir des statistiques mises à jour dans des plus brefs délais, avec l’utilisation des nouvelles technologies », informe Zefania Isoara Romalahy, directeur général de l’Institut national des statistiques (INSTAT). Ce responsable encourage les ménages à bien accueillir les enquêteurs et de répondre clairement les questions posées, pour avoir des statistiques fiables.
Des indicateurs pour formuler des programmes
L’EPM devrait être réalisée à un intervalle de 2 à 3 ans. Pourtant, la dernière menée à Madagascar date de 2012. Une édition a déjà été menée en 2020, avant que la pandémie de Covid- 19 l’interrompe. Pourtant, les résultats d’une telle enquête d’envergure nationale servent d’indicateurs permettant de prendre des décisions et de déterminer des actions ou des projets de développement. « Les résultats de l’EPM permettront de mieux décider sur comment appuyer les ménages à mieux faire face, voire à lutter contre la pauvreté. Ainsi, la collecte, l’analyse, le traitement des données ainsi que la rédaction des rapports devraient se faire dans des conditions scientifiques avérées et précises. Des informations fiables vont contribuer à mesurer l’atteinte des ODD, d’une importance capitale pour l’émergence de Madagascar », s’exprime Coffi Agossou, directeur pays de l’OIT à Madagascar. « Les données sont utilisées pour formuler des politiques et programmations répondant aux besoins de la population. Elles servent également à mesurer les résultats des actions déjà entreprises pour le développement », ajoute Koffi Kouamé, représentant résident de l’UNFPA dans le pays.
Pour information, l’EPM 2021 opte pour une méthodologie d’échantillonnage, avec une sélection des ménages d’une manière aléatoire. Elle touchera au total 16 896 ménages, issus tant du milieu urbain que rural et représentant les 23 Régions de l’île. Sa réalisation se fait sur un financement de près de 2 millions de dollars, soit plus de 7,5 milliards d’ariary, y compris pour l’achat des matériels requis. D’ailleurs, les enquêteurs utiliseront des tablettes afin de gagner du temps mais aussi pour garantir la qualité des données collectées. L’INSTAT, organisme rattaché au ministère de l’Economie et des Finances, bénéficie de l’appui de nombreux partenaires, dont l’UNICEF, l’UNFPA, l’OIT, le PNUD ainsi que la Banque mondiale pour la tenue de l’enquête. Le lancement officiel de ladite enquête nationale s’est déroulé hier à Anosy.
Patricia Ramavonirina

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Editorial

  • Ixième évasion ! 
    Passoire ! Rien n’a changé, au contraire tout s’aggrave. On sort comme on entre dans ce pays … librement. En dépit de bons mots, de belles promesses et de beaux engagements, les défaillances d’hier se répètent aujourd’hui et demain, à chacun de nous de le deviner. Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry tape pour la énième fois sur la table. Lors de son célèbre intervention radiotélévisée du 4 mai, le Président de la République dénonce énergiquement et juge inacceptable la faille permettant au désormais le fugitif, le colonel Patrick Rakotomamonjy fauteur de délits avérés, de prendre le large en parvenant à se faufiler entre les mailles d’un Camp réputé hyper sécurisé en pleine Capitale. Inadmissible et impensable !

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