Production locale insuffisante. Selon les autorités en charge du commerce et de la consommation, il reste encore un gap flagrant de plusieurs tonnes à combler sur le marché du riz et qui ne peut s’effectuer que grâce au recours à l’importation de cette denrée. D’après ces reponsables, une légère baisse du cours à l’international a été constatée. De ce fait, le prix du kilo du riz importé sur le marché local ne devrait pas excéder les 2 000 ariary. Ce constat vient d’être exposé et proposé aux opérateurs de la filière « riz » œuvrant dans l’importation par le ministère du Commerce. Le marché du riz est caractérisé par un prix flottant qui varie selon la période de l’année. La récolte n’a lieu que pendant une certaine période, représentant une petite fraction de l’année, de sorte que les ventes et la consommation au cours des autres périodes de l’année se font à partir du grain stocké. Ce marché est ainsi caractérisé par une offre insuffisante et des difficultés au niveau de la couverture des besoins rizicoles de la population. On assiste par la suite à un accroissement progressif de la dépendance en ce produit envers l’extérieur. Avec l’imposition du prix au kilo ne dépassant pas les 2 000 ariary, les importateurs devront ainsi négliger des paramètres aussi divers que variés au détriment de leurs marges bénéficiaires. A commencer par le cours de ces produits à l’international, le fret international, le dédouanement et autres taxations à tous les étages jusqu’à ce que le riz arrive dans les commerces de proximité.

Déficit

La valeur des importations de Madagascar a connu une hausse de 20 %, selon les chiffres de l’Institut national de la statistique (INSTAT). Sans aucune surprise,  les importations du pays durant cette période sont largement constituées par l’importation de riz, vu l’envolée de prix des différentes variétés de riz local, constatée depuis quelques temps. L’approvisionnement au niveau national est un défi majeur durant ces deux dernières années, en raison de la condition climatique défavorable à la riziculture dans les zones productrices, sans parler de la crise sanitaire. En effet, à Madagascar, la part de l’auto-consommation rizicole est très élevée, avec environ 55% des récoltes qui sont auto-consommées. En moyenne, seule 27 % de la production est vendue, dont 19,6 % sous forme de paddy et 7,6 % sous forme de riz blanc. En parallèle, 18 % de la production est stockée. Et une fois les ventes locales ou de proximité déduites, seulement 11 % de la production alimente les autres Provinces et approvisionne les villes.
Il faut savoir que la plupart des ménages mangent du riz trois fois par jour. La consommation moyenne est de 138 kg/hab/an en milieu rural et 118 kg/hab/an en milieu urbain. Malgré cela, la production est effectivement encore loin d’être suffisante. Madagascar doit encore importer du riz pour combler le déficit au niveau de la production nationale.

Hary Rakoto

Publié dans Economie
mardi, 31 août 2021

La goutte d’eau !

Le vase déborde.  La guerre est déclarée, devait-on signaler quelque part.
Le Chef de l’Etat Rajoelina s’en était pris vertement à la Fédération malagasy de football (FMF), du moins pour certains membres, à sa descente d’avion à Ivato, en début de semaine. En cause, la demande que la FMF a adressé aux autorités continentales du ballon rond (la CAF) à solliciter l’autorisation pour 1500 personnes à assister au match entre Barea (Madagasikara) et les Ecureuils (Bénin). Une démarche que le numéro un malagasy qualifie ni moins ni plus d’acte irrespectueux et ingrate mais également unilatérale tout en sachant pertinemment que la Présidence organise conjointement avec le ministère de la Jeunesse et des Sports une cérémonie grandiose le jour du match, le 2 septembre, comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde Qatar 2022 que le Gouvernement voulait coïncider avec l’inauguration du grand stade Barea. D’une pierre deux coups !  Ainsi, les organisateurs étatiques comptaient faire jouir au moins 20.000 spectateurs soit l’équivalent de la moitié de la capacité d’accueil du stade. Et les spectateurs, très emballés, ont déjà fait la queue aux portails du stade Barea depuis samedi. Coup de tonnerre, la CAF fit savoir sa décision apparemment irrévocable que le match Barea contre Bénin sera à huis clos ! Un coup de semonce pour les Malagasy ! Une pénalisation que le public ne mérite pas.
Devrait-on mettre le point sur les « i » que le Président ne remet pas en cause l’indépendance de la FMF dans la gestion du football à Madagasikara, loin s’en faut ! Il n’est pas sans savoir que la FIFA ne transige guère sur la totale indépendance de toutes les structures nationales gérant le football dans chaque pays dans le monde. Nul ne peut dicter quoi que ce soit sur la tête de la structure nationale en ce qui concerne la gestion des affaires relatives au développement du sport-roi. C’est clair et net !
Seulement voilà, personne ne pourra pas non plus empêcher la FMF d’établir une relation de collaboration franche avec les structures étatiques et cela dans l’intérêt supérieur du football, des joueurs et du public. Personne n’impose à personne ! Cependant, tout le monde doit se donner la main pour l’épanouissement de cette discipline qui a trop souffert depuis. Il faut admettre que l’actuel Chef d’Etat est parmi le rare (au singulier s’il vous plaît) locataire d’Iavoloha qui ne lésine pas sur les moyens afin de porter le football malagasy au firmament ! Les exploits de 2019 des Barea en témoignent suffisamment. La « fureur » du Président se comprend d’ailleurs aisément par le fait que les membres de la FMF (du moins certains) ont sciemment ignoré la volonté exemplaire du Chef de l’Etat en place à sauver la discipline. A aucun moment, il ne dénonce pas l’indépendance de la FIFA et par déduction celle de la FMF mais il espère tout de même bénéficier du retour de l’ascenseur de la part des locataires d’Isoraka. Un geste légitime et compréhensif qu’aucun d’entre nous ne pourra pas minimiser.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase ne s’inscrit nullement dans un sentiment de supériorité ni d’un complexe de mégalomanie mais tout simplement d’une considération purement nationale que chacun a intérêt à respecter.

Ndrianaivo

Publié dans Editorial

La vente qualifiée d’illégale de CD ou autres Dvd pirates, qui se vendent comme des petits pains dans certaines rues de la Capitale, se poursuit toujours en dépit des efforts menés par la Brigade anti-piratage (BAP) - entité rattachée au ministère de la Culture - pour endiguer le phénomène. A preuve, les récentes statistiques de la BAP. D’après cette dernière, 64000 CD de contrefaçon ont été alors saisis entre janvier et juin derniers dont une bonne partie a déjà détruite sinon incinérée, en mars dernier.
Dans le courant de ce mois, 50 000 de ces CD devront être incinérés à leur tour, selon toujours la BAP. Eddy Rarivomanantsoa, le coordonnateur de celle-ci mais qui est en même temps officier de police judiciaire chargé des enquêtes sur ces affaires, précise que sa mission se cantonne uniquement à s’occuper de la procédure en vue du déferrement des suspects. « Nous n’avons pas le droit de faire objection à la décision de la justice après tout déferrement », explique-t-il encore.
La chasse aux œuvres piratées dont CD et DVD confondus s’est particulièrement renforcée vers la fin de l’année 2020. Ainsi en décembre de cette année, 40 000 DVD avaient été saisis, et 51 personnes ont été arrêtées dont 33 d’entre-elles ont atterri en prison, depuis. Leurs peines varient entre 6 mois et 5 ans, sans parler d’une amende de 5 millions ariary. On peut dire que ces efforts de la BAP aideront plusieurs maisons de production à endiguer le réseau de contrefaçon, profitant d’une faille au niveau de la distribution officielle, pour pirater les films en un temps record puis les revendre à des prix qui défient toute concurrence.
Franck R.

Publié dans Société


Le stade Barea ne sonnera pas creux pour le premier match officiel qui se déroulera sur son gazon. Grâce notamment au Chef de l’Etat Andry Rajoelina, qui a plaidé la cause malagasy auprès des responsables du football international, ce match pourra se disputer devant des spectateurs. L’annonce a été faite hier en fin de soirée par le ministre des Sports Mamod Ali Hawel.
Au cours d’une conférence de presse, le ministre a indiqué que le stade Barea a reçu l’homologation de la Confédération africaine de football (CAF). Il souligne en outre que la présence de 10 000 spectateurs pour le match entre les Barea de Madagascar et les Ecureuils du Bénin, entrant dans première journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, a été acceptée par l’instance africaine de football.
Ces décisions ont été prises à l’issue d’inspection du stade Barea en vue de l’homologation finale menée par trois inspecteurs de la Confédération africaine de football (CAF) hier après leur descente d’avion. Le ministre Mamod Ali Hawel souligne d’ailleurs à ce sujet que le stade Barea a reçu une homologation définitive.
Madagascar revient en tout cas de loin. Pour rappel, dans une lettre adressée à la Fédération malagasy de football, en fin de semaine dernière, la CAF avait pris la décision d’interdire la venue de spectateurs pour le match Madagascar – Bénin. Une lettre qui vient en réponse à une lettre du secrétariat général de la FMF demandant la possibilité de présence de seulement 1 500 spectateurs pour la rencontre. Une initiative qui avait d’ailleurs été dénoncée vigoureusement par le Chef de l’Etat lundi dernier.
Les autorités malagasy avaient envoyé une demande aux instances du football international pour demander une reconsidération du cas de Madagascar. La lettre plaide pour une exception comme pour certains matchs, évoquant notamment la rencontre entre les Barea malagasy et les Eléphants Ivoiriens à Toamasina à laquelle a pu assister des spectateurs en pleine période de pandémie pour soutenir la possibilité d’une rencontre assistée par les spectateurs. 
Le ministre des Sports a souligné hier également que le Président de la République s’est adressé à la secrétaire général de la FIFA, laquelle a facilité l’envoi des inspecteurs de la CAF à Madagascar. Des inspecteurs qui devaient arriver à Madagascar depuis plusieurs semaines déjà, mais qui ont fait machine arrière suite à des recommandations erronées voire falsifiées du secrétariat général de la FMF sur la situation dans le pays, à juger par une correspondance de cette entité avec la CAF qui a fuité.
Faut-il souligner en effet que la situation sanitaire dans le pays est stabilisée depuis plusieurs semaines déjà. En outre, malgré la fermeture des frontières malagasy, des dérogations sont possibles pour une certaine catégorie de personnes dont les personnes en mission, les diplomates ou encore les sportifs.
En tout cas, après avoir sans doute analysé la situation et évalué la demande malagasy, du point de vue médical et sur celui de la conformité du stade aux normes, la CAF a accédé à la demande de Madagascar pour la présence de spectateurs pour le match de demain. Une rencontre qui sera précédée d’une cérémonie d’ouverture officielle du Stade Barea dirigée par le Président de la République. Une manifestation qui verra la présence de l’ancien footballeur international camerounais Samuel Eto’o, lequel doit arriver à Antananarivo ce matin. L’ancien attaquant vedette du FC Barcelone ou encore de l’Inter Milan devrait également être présent à l’inauguration officielle du Stade qui se tiendra ce samedi 4 septembre comme annoncé par le Chef de l’Etat lundi.
La Rédaction

Publié dans Politique


La pandémie de coronavirus a modifié un bon nombre de choses dans le quotidien des opérateurs économiques, dont ceux du secteur touristique. Aujourd’hui, pour des raisons de santé, les clients sont donc plus méticuleux en matière de normes et de mesures sanitaires. C’est pourquoi, dans ce contexte et en marge de la gestion de la crise et la préparation de la relance post-Covid du secteur touristique, le ministère de tutelle a développé un programme de mise en conformité des opérateurs de l’ensemble de la chaîne touristique aux protocoles sanitaires Covid-19 afin de mettre en confiance les clients, tant nationaux qu’internationaux. « En collaboration avec l’Office national du tourisme de Madagascar et la Confédération du tourisme de Madagascar, nous avons élaboré les protocoles sanitaires Covid-19 en 2020 et réalisé les premières sessions dans plusieurs Régions. Dans cet objectif de conformité des opérateurs aux mesures sanitaires, 117 opérateurs touristiques dont des hôteliers, des restaurateurs, des agents de voyages et des tours opérateurs, ainsi que des guides touristiques, ont été formés aux protocoles pré-établis entre février et juin dernier par le ministère. Ces derniers auront ensuite pour rôle de former à leur tour plus de 6 000 travailleurs du secteur dans différentes villes et Régions telles qu’Analamanga, Sainte-Marie, Nosy Be, Antsiranana, Atsimo-Andrefana  et Anôsy », explique un responsable au niveau du ministère.
Dans ce sens, les sessions de formation des travailleurs touristiques aux protocoles Covid-19 ont débuté la semaine dernière avec le lancement à Nosy Be le 23 août et à Antsiranana le 26 août. Pour la Région d’Analamanga, le lancement officiel s’est tenu avant-hier, avec l’objectif de former au moins 2 500 employés issus de la filière. Si les opérateurs demandent l’ouverture des frontières, cette mise en conformité des travailleurs est un passage obligatoire.
Rova Randria

Publié dans Economie


Hier, les membres du Conseil municipal se sont massivement prononcés en défaveur de taxis-motos.
Parmi les questions qui ont été abordées lors de la deuxième et dernière journée de la session extraordinaire du Conseil municipal de la Commune urbaine d’Antananarivo figurait notamment l’autorisation ou non des taxis-motos d’exercer dans la Circonscription d’Antananarivo-Renivohitra. A l’issue des délibérations et du vote, les conseillers municipaux ont décidé quasi unanimement de rejeter l’autorisation pour les taxis-motos de circuler à Antananarivo. 49 conseillers municipaux se sont prononcés contre l’autorisation, 3 conseillers ont voté pour et 2 celui blanc. La décision a été prise lors d’un vote secret. Les questions de logistique, les problèmes de sécurité des passagers et les questions d’ordre sanitaire, vu que l’état d’urgence sanitaire reste en vigueur à Madagascar, ont été évoqués par les membres du Conseil municipal pour soutenir la nécessité de ne pas autoriser la circulation des taxis sur deux roues dans la Capitale.
Les conseillers municipaux abondent dans le même sens que le maire de la Commune urbaine d’Antananarivo. En effet, Naina Andriantsitohaina avait à plusieurs reprises souligné son opposition à la circulation des taxis-motos dans la Capitale. Dans une récente publication sur les réseaux sociaux, il avait toutefois indiqué que la décision finale reviendrait aux conseillers municipaux. Le maire se serait engagé à mettre en œuvre la réglementation applicable à ce nouveau mode de transport public si les conseillers municipaux donnaient leur accord à la circulation de ces taxis-motos. L’inscription de l’autorisation d’exercer pour les taxis-motos avait été inscrite dans l’ordre du jour de la session de l’organe délibérant de la Mairie pour que certains conseillers municipaux, qui utilisent le sujet à des fins politiques, prennent publiquement position sur le sujet, avait indiqué l’édile d’Antananarivo-Renivohitra. La circulation des taxi-motos, de manière clandestine, avait créé un tollé auprès des propriétaires et chauffeurs de taxi-ville qui ont réclamé auprès de la Mairie leur interdiction, au motif de concurrence déloyale notamment. Il est dorénavant clair pour tout le monde que l’édile de la Capitale et les conseillers municipaux n’ont aucune intention d’autoriser ces taxis-motos. En contrepartie de l’interdiction d’exercer pour ces transports, la normalisation des taxis villes dans la Capitale a, d’un autre côté, été fait remarquer par certains conseillers municipaux. Les tarifs de ces véhicules de transport en commun a également été soulevé par les élus municipaux.
La Rédaction

Publié dans Politique

Il fallait s’y attendre. Bon nombre de parents d’élèves se sont rués vers les magasins de fournitures scolaires depuis le week-end dernier, à quelques jours de la rentrée scolaire. Hier, les boutiques ainsi que les étals dans le centre-ville, entre autres à Analakely et Tsaralalàna, ont été pris d’assaut. Outre la foule qui s’y trouvait à l’intérieur, une longue queue s’est formée à l’extérieur de la plupart des échoppes. Il en est de même dans les étals, avec les regroupements. Certaines fournitures ont été en rupture de stock en seulement quelques heures, avec le nombre massif de clients. « Les protège-cahiers, les stylos ou encore certaines marques de cahiers se sont écoulés en un laps de temps très court. Heureusement que nous aurons de nouveaux arrivages dès demain afin de satisfaire les besoins des parents », lance un gérant de magasin du côté de Tsaralalàna.
Du côté des clients, l’achat des fournitures scolaires constitue ces derniers jours une priorité, malgré les autres soucis quotidiens. « Je n’ai pas eu les moyens d’acheter plus tôt les fournitures de mes enfants. En fait, nous n’avons touché notre salaire du mois d’août qu’hier, et ce, sur sollicitation des employés. Notre paiement se fait toujours au dernier jour du mois, sauf si celui-ci tombe le week-end. Mais cette fois-ci, nous avons demandé à ce que nos rémunérations soient perçues en avance pour assurer la rentrée scolaire de nos enfants », nous confie Véronique R., employée au sein d’une agence de communication. Comme cette mère de famille résidant à Mahamasina, des parents ont attendu la fin du mois pour s’acquérir des fournitures de leurs enfants, faute de moyens. D’autres ont négocié auprès des directeurs d’écoles pour le paiement des droits d’inscription et autres frais. Ces responsables ont ainsi donné un délai supplémentaire jusqu’à la fin de cette semaine pour les retardataires.
Concernant le prix des fournitures, la plupart des magasins ou commerçants ont maintenu les tarifs appliqués depuis le mois de juillet. A l’exemple des cahiers en petit format, le paquet de 10 pièces pour les 100 pages varie entre 7 000 à 15 000 ariary, tandis que les cahiers de 200 pages se vendent à partir de 10 000 à 20 000 ariary les 5 pièces. Pour les cahiers en grand format, le prix pour les 100 pages étant de 27 000 à 50 000 ariary, tandis que les 200 pages coûtent à partir de 17 000 à 60 000 ariary. En général, le prix des fournitures scolaires a connu une hausse entre 15 à 50 % cette année, par rapport à celui de 2020. La plupart des établissements revendiquent des fournitures de grandes marques comme Maped, Calligraphe, Triumph, Premier, Bic, etc. Ces dernières sont ainsi les plus coûteuses sur le marché. Les dépenses des parents pour un enfant inscrit dans un établissement privé tournent autour de 100 000 à 200 000 ariary pour le niveau pré-scolaire ou primaire, contre 70 000 à 100 000 ariary pour un élève du collège et lycée.
Patricia Ramavonirina


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Editorial

  • Retour sur terre !
    Après avoir effectué un bref voyage dans l’espace imaginaire de Noël, on redescend sur terre. On ne peut pas rester longtemps « là-haut », il faut obligatoirement mettre le cap sur notre planète. Une descente à pic parfois brutale et mal négociée. Et le crash fait mal de temps à autre. Les réalités crues tapent sur les nerfs. La très courte odyssée au-delà de l’atmosphère chargée de particules nocives et polluée nous a emmenés vers l’enchantement imaginaire de la Nativité. La magie de Noël nous a emportés vers l’émerveillement pour une durée éphémère soit-elle ! Maintenant, c’est du passé ! On retourne sur terre.

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