mercredi, 11 août 2021

La une du 12 août 2021

Publié dans La Une


Enième promesse tenue. La Région de Vatovavy voit le jour de manière officielle. La cérémonie de promulgation par le Président de la République a eu lieu hier en présence des notables de la nouvelle Région.  Cérémonie durant laquelle les Ampanjaka ont tour à tour adressé des vifs remerciements au numéro un de l’Exécutif pour avoir concrétisé leur vœu le plus cher depuis des années. Alors qu’il n’était que candidat à la présidentielle du pays en 2018, Andry Rajoelina avait rencontré les Ampanjaka et Ndrenony dans la Région de Vatovavy- Fitovinany. Ces derniers n’avaient comme unique souhait que de faire de Vatovavy, la 23ème Région de Madagascar. Une demande à laquelle le Président, qui n’était alors que prétendant à la magistrature suprême du pays, avait porté une attention particulière.
Au lendemain de son élection à la tête du pays, Andry Rajoelina a formulé dans son discours d’investiture le 19 janvier 2019 la création d’une 23ème Région et en a fait ainsi une promesse présidentielle. Près de deux ans et demi après, la promesse est bel et bien concrétisée et s’aligne dans le cadre du 12ème Velirano du Président relatif à l’autonomisation et la responsabilisation de nos territoires. Nosy Varika et Ifanadiana composent le Vatovavy ainsi que Mananjary qui sera désormais la Capitale de la Région de Vatovavy.  En revanche, Manakara, Vohipeno et Ikongo forment le Fitovinany.
De multiples projets de développement en vue
D’après le discours du Président, cette nouvelle décision permettra de résoudre bien des problèmes auxquels la population locale est quotidiennement confrontée. A l’instar des habitants de Nosy Varika qui, pour des opérations administratives, doivent parcourir une longue distance de près de 300km afin de parvenir à Manakara. Il n’exclut pas les petites divergences qui peuvent exister en matière de vision du développement, mais le Président a appelé tout un chacun à « ne pas céder aux manœuvres de division et ne pas être des obstacles au développement ».
Au mois d’octobre 2020, le Président Andry Rajoelina en personne s’est déplacé à Manakara pour procéder à la consultation des acteurs dans le cadre de ce nouveau découpage territorial. Il a alors pu s’entretenir avec les leaders religieux et les leaders traditionnels, les autorités et élus locaux, les membres de la Société civile. Les Districts de Mananjary, Ifanadiana, Nosy Varika, Manakara, Ikongo et Vohipeno y ont été représentés.
A en croire toujours la déclaration du Président, les engins destinés à la construction et la réhabilitation des infrastructures routières dans le Vatovavy sont déjà prêts et y seront bientôt envoyés. Le Chef de l’Etat a promis une cérémonie en grande pompe pour l’installation officielle de cette nouvelle Région.
La Rédaction

Publié dans Politique


L’ambiance était particulière au cours du Conseil des ministres d’hier au Palais d’Iavoloha. En principe, il s’agit du dernier Conseil, tant attendu, avant le remaniement qui, sauf changement, est prévu ce jour. Selon des indiscrétions, le Président Andry Rajoelina a adressé ses remerciements à l’endroit des membres du Gouvernement sans exception pour leur collaboration. Ce message du locataire d’Iavoloha sonne comme un au revoir et annonce le départ de certains membres du Gouvernement.
Pour sa part, le Premier ministre Christian Ntsay a affirmé, au nom du Gouvernement, que quelle que soit la décision du Chef de l’Etat, son équipe l’acceptera. Il l’avait d’ailleurs affirmé à plusieurs reprises, au cours de ses interventions médiatiques, que la décision appartient au numéro un de l’Exécutif. D’après toujours les indiscrétions, certains ministres risquent un limogeage, d’autres pourraient être mutés à d’autres départements. Il y a également ceux qui pourraient se voir confier un nouveau poste tandis que d’autres seront tout simplement reconduits. Pour l’instant, tout relève de simples spéculations autour de ceux qui restent et ceux qui vont partir avant le jour J du remaniement. A priori, il ne serait donc plus qu’une question d’heures avant que le suspense se termine.
Affaires courantes
Au terme du Conseil, une déclaration de la Présidence annonçant la fin  de mission des ministres qui sont désormais tenus d’assurer les affaires courantes jusqu’à la nomination des nouveaux membres du Gouvernement. Une déclaration qui pourrait être interprétée comme un signe de démission du Gouvernement. Depuis quelques jours, le remaniement n’a cessé d’être au cœur de l’actualité au niveau de la presse locale. Les analyses sont allées bon train concernant les ministres qui pourront être limogés et ceux qui allaient être reconduits.
Rappelons qu’au cours de son intervention, dimanche dernier, le Président Andry Rajoelina avait déploré la défaillance dans la prise de responsabilités de certains membres du Gouvernement. « Il y a ceux qui travaillent bien et ceux qui n’arrivent pas à suivre le rythme. Le remaniement va forcément avoir lieu pour remplacer les éléments à la traine », a – t – il affirmé en annonçant l’approche imminente d’un remaniement du gouvernement tout en assurant le maintien du Premier ministre Christian Ntsay à son poste. Il avait particulièrement mis l’accent sur la condition sociale de la population ainsi que la flambée non maitrisée des prix des produits de première nécessité. Le Président avait donné 3 jours aux responsables pour résoudre la situation. Un délai qui a expiré hier, date de démission du Gouvernement.
La Rédaction

Publié dans Politique
mercredi, 11 août 2021

D’une pierre, deux coups !

Au rythme où vont les supputations qui s’enflent du jour au lendemain et les anticipations qui  ratissent large au fil du jour et à la lumière de ce que le Chef de l’Etat a laissé entendre, le remaniement, tout au moins la retouche du Gouvernement, s’inscrit dans la logique de l’incontournable.
Observateurs avisés, presse indépendante et simples citoyens soucieux des intérêts basiques du pays semblent conjurer d’une seule voix sur la nécessité de redonner le blason du Gouvernement. L’équipe gouvernementale a besoin d’un réel regain de force. En bref, pour remettre à flots l’Exécutif, le Président Rajoelina ne dispose pas d’autre issue que de revoir la liste de son Gouvernement. Une seule option sinon un passage obligé !
Déjà depuis le second semestre 2020 que l’opinion sentait le malaise dans la performance de quelques membres du Gouvernement. Certains ministres plafonnent et tournent en rond. Ils n’arrivent pas à suivre le rythme imposé par l’évolution rapide et compliquée de la vie nationale. Ils ne parviennent pas à se mettre au pas au rythme accéléré du Président. Il s’agit d’une obligation dictée par l’évolution très rapide et complexe du contexte post-confinement.
L’inflation, cette bête noire qui noircit l’image du régime, cette vipère imprenable qui envenime la vie du peuple, doit être neutralisée par tous les moyens. Apparemment, les responsables étatiques, du ministre jusqu’au niveau des démembrements dans les Collectivités territoriales décentralisées ont failli à leurs missions. Ils pèchent par un laxisme, par une négligence flagrante voire par une incompétence notoire. Il a fallu ainsi que le Chef de l’Etat tape sur la table qu’on se ressaisisse. Et le remaniement doit atteindre jusqu’au niveau des Régions. Il faudrait faire table rase !
L’insécurité, aussi bien en milieu rural qu’urbain, continue d’étrangler les gens. Certes, il faut reconnaitre les efforts sans relâche des éléments des FDS mais force est de constater que beaucoup reste à faire. Il faudra recadrer les stratégies à adopter au fur et à mesure que la situation évolue sur terrain.
La gestion des ressources minières et énergétiques nécessite un redéploiement dynamique et efficace. Le pays doit jouir des intérêts et des bénéfices de nos immenses ressources naturelles. Que la JIRAMA cesse de tordre le cou des usagers !
Les routes nationales et axes d’intérêts provinciaux se trouvent dans un état de délabrement avancé.  Les exécutions des consignes que le Président transmet se font attendre. On se perd dans la conjecture. Incompétence ou sabotage ! Ou les deux à la fois ! Un constat amer selon le Chef de l’Etat lui-même.
L’éventuel remaniement que tout le monde espère voir venir incessamment ouvrira également l’accès à d’autres opportunités si le maitre des céans le veuille bien.
D’une pierre, deux coups ! Que l’occasion soit saisie pour renforcer les mesures d’austérité à tous les départements. Il faut « dégraisser » dans tous les sens nos dirigeants. Que l’image des hauts responsables qui s’engraissent doive cesser au bas desquels vit dans la misère la population, affamée et squelettique.
On aimerait entendre dire de la part du Président Rajoelina qu’il bétonne la nécessité d’imposer l’austérité dans tous les états. Sobriété et modération doivent être désormais les mots-clés du régime.
D’une pierre, deux coups ! On remanie et on recadre la pratique !
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


Un sadique ou un tueur ? Un chef de famille, prénommé Eric, est pointé du doigt d’avoir tué sa femme répondant au nom de Hantasoa. Les faits remontent le 8 août dernier à Talata-Volonondry, dans cette localité du nord de la Capitale. Les circonstances, dans lesquelles cet homme a mis fin à l’existence de son épouse légitime, étaient atroces. En effet, il a assené des coups avec un marteau, au moins trois fois au crâne de la victime.
Peu après qu’il ait réalisé que la malheureuse n’est plus de ce monde, le chef de famille en cause a verrouillé la porte de son foyer, et il a pris la fuite à Antsirabe où il a été récemment arrêté par les gendarmes. En réalité, des informateurs ont avisé le commandant de Brigade de la gendarmerie d’Antsirabe après avoir repéré Eric en train d’errer au marché de Sabotsy de la ville d’eau. Pour en avoir le cœur net, le CB a appelé son homologue de la Brigade d’Ambohimanga Rova. Après une vérification, cette dernière a bel et bien confirmé le meurtre dans sa circonscription.
De son côté, Eric explique que sa femme l’aurait trompé plusieurs fois et a reconnu les faits. Lors de son arrestation, il a déclaré aux gendarmes : « Chef, il faut bien que vous m’autoriserez à quitter cette voiture et qu’on me tire dessus immédiatement car j’ai commis un crime ».
Hier soir, une source auprès de la Gendarmerie à Antsirabe, où le suspect est placé en garde à vue, affirme que celui-ci s’y trouvait encore. « Nous sommes encore en pleine enquête et que nous ne pourrons vous dire davantage ! », confie cette source. Pour l’heure, il est encore impossible de savoir quand le suspect sera transféré à la Brigade d’Ambohimanga Rova, qui est chargée de la circonscription où les faits sont survenus. Cette dernière devra relayer la Brigade d’Antsirabe pour la suite de l’enquête. Cette affaire montre plus d’une fois l’interopérabilité de tous les services de gendarmerie pour retrouver un meurtrier ou un suspect. De toute façon, cette Force, dans un récent communiqué a lancé une sérieuse mise en garde à l’endroit de tous les auteurs d’infractions diverses de tout acabit en cavale où qu’ils se trouvent, et à n’importe quel moment.
Franck R.

Publié dans Société


Le potentiel hydroélectrique de la Grande île est encore largement sous exploité selon la Banque africaine de développement dans sa note de diagnostic pays publiée récemment. Selon ce document, la situation actuelle du secteur énergie est caractérisée par un taux global d’accès à l’électricité de 22% avec une puissance totale installée à environ 900MW et composée en grande partie de parc thermique malgré le potentiel hydroélectrique sous exploité. Selon les études de la BAD, le principal défi serait d’améliorer l’accès à une électricité fiable et à un coût abordable. Cependant, pour y arriver, il est primordial de passer par le difficile redressement de la JIRAMA. Pour ce faire, la BAD suggère de continuer à soutenir le développement des grands projets structurants dans le secteur tout en accompagnant les réformes pour l’amélioration de la gouvernance du secteur. « Le pays devrait accélérer la conclusion des contrats de projet de centrales hydroélectriques déjà arrivés à maturité à l’instar de Volobe et de Sahofika, afin d’optimiser les outils de production et de transport d’électricité. Les pouvoirs publics devraient élaborer un plan directeur national de développement des réseaux de transport en premier lieu», explique la Banque africaine dans sa note. Le Projet de renforcement et d’interconnexion des réseaux de transport d’énergie électrique à Madagascar (PRIRTEM) ou encore le Projet d’amélioration de la gouvernance et des opérations dans le secteur de l’énergie (PAGOSE) sont déjà actés en ce sens. Pourtant les questionnements continuent de fuser dans ce secteur par rapport à l’opérationnalisation de ces grands barrages hydroélectriques. Rien que pour « Sahofika », l’aménagement hydroélectrique situé sur le fleuve Onive à 130km au sud-est de la Capitale au niveau d’Antanifotsy, produira jusqu’à 1650 GWH par an et disposera d’une capacité installée de 200MW, livrés sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA). Une des productions les plus importantes du pays car à elle seule, elle peut subvenir aux besoins de la JIRAMA et pourra approvisionner 8 millions de personnes. Le projet a fait l’objet d’un appel d’offres international en 2016, le consortium NEHO (Nouvelle énergie hydroélectrique de l’Onive a obtenu son permis environnemental en mars 2020. L’État est entre autres soutenu par le Fonds africain pour le développement (FAD), le guichet à taux concessionnel de la BAD à hauteur de 4 millions d’euros dans le projet. La centrale est prévue être opérationnelle en 2024 mais jusqu’ici, le contrat de concession n’a pas encore été approuvé, tout comme le projet d’aménagement de Volobe qui pourrait assurer à elle seule 40% de la production actuelle du pays.
Hary Rakoto


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De bon augure. Depuis le mois de mars 2020, l’industrie du textile à Madagascar était au plus mal à cause de la pandémie de coronavirus. « La production a considérablement diminué, approximativement de 20 à 50% selon l’entreprise et sa filière», d’après Hery Lanto Rakotoarisoa. Toutefois, cette situation tend à se renverser. « Le redémarrage économique à l’échelle mondiale commence à se faire ressentir. La consommation a ainsi repris avec ce redémarrage économique, principalement dans les pays comme les Etats-Unis ou encore ceux de l’Europe. Aujourd’hui, les consommateurs ne se limitent plus aux produits essentiels. Les commerces, notamment dans le domaine de l’habillement, ont aussi rouvert. Un bon présage pour nous, mais surtout pour nos zones franches opérant dans le domaine du textile. Les exportations commencent ainsi à augmenter au fur et à mesure des commandes » soutient Thierry Rajaona, président du Groupement des entreprises de Madagascar, hier, en marge de la signature d’une convention de partenariat avec l’agence Première Ligne à Ambohijatovo. Les commandes reprennent alors pour ces industries. « Et cela aura de forts impacts sur la relance économique de Madagascar », rajoute ce responsable. Le textile et l’habillement contribuent effectivement à hauteur de 19,35% au PIB (Produit intérieur brut) du pays. Ce secteur espère ainsi retrouver son dynamisme du passé. En 2019, d’après les statistiques publiées par la Banque centrale de Madagascar, les exportations de produits textiles ont atteint 522 millions de dollars, avec une hausse de 13 millions de dollars en comparaison à 2018.
Rappelons que le savoir-faire des couturières malagasy est particulièrement apprécié par les grandes maisons de haute couture, du monde entier à l’instar de Dior, de Chanel ou encore d’Hermès. « Madagascar est aujourd’hui un véritable eldorado pour les plus grandes marques. Les «doigts de fée» des grandes maisons de luxe se retrouvent désormais dans le pays. Dotés d’une habileté artistique quasi innée, les talentueux artisans impressionnent le monde entier. Ils sont également rapides et faciles à former à toute nouvelle manipulation », détaille l’Economic Development Board of Madagascar, en charge de la promotion des investissements à Madagascar. L’île rouge mise alors sur la promotion de ce savoir-faire pour attirer plus de clients pour l’industrie du textile et de l’habillement.
Rova Randria

Publié dans Economie


C’est officiel, la cargaison de l’AstraZeneca destinée à la deuxième dose du vaccin anti-Covid-19 va arriver ce dimanche à 4 h du matin. Suite à une demande d’information auprès du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), organisme en charge du déploiement mondial de vaccins contre la Covid-19 dans le cadre de Covax notamment le transport et la logistique, Michel Saint-Lot, représentant de l’UNICEF à Madagascar a confirmé que les 200 000 doses d’AstraZeneca, dons du Gouvernement français, devraient arriver ce 15 août  à l’aéroport international d’Ivato.  A en croire ses explications, ledit vaccin a été déjà disponible bien longtemps mais son expédition a demandé d’importante organisation.  « Par rapport à la livraison des vaccins, il faut identifier le vol, le cargo, la date.  Or, avec la Covid-19, les vols sont perturbés. Et nous n’allons pas non plus payer un seul avion-cargo pour ne ramener que les 200 000 doses à Madagascar. Il faut penser à un approvisionnement en vaccins de tous les pays participants en un seul voyage », a avancé Michel Saint-Lot.
Si lors de la première dose, Madagascar n’a disposé que 5 semaines avant la date de péremption, avec ces nouvelles doses d’AstraZeneca, la campagne vaccinale peut s’étendre jusqu’à 2 voire 3 mois. « Plus on attend, mieux ça vaut », a-t-il également répondu aux différentes questions par rapport au temps d'attente entre les deux injections.  Et d’ajouter qu’une meilleure efficacité du vaccin est enregistrée avec un long intervalle, c’est-à-dire après 8 à 12 semaines.
Ledit responsable a rappelé l’importance de la vaccination en ce temps de pandémie.  « C’est notre plein droit de se faire immuniser : « économiquement, il faut que les Malagasy se protègent pour pouvoir s’ouvrir au monde extérieur ».
Outre les 250 000 doses du vaccin Covishield, les 200 000 d’AstraZeneca,  les 302 750 de Janssen, ainsi que les 300 000 doses de Sinopharm, 1 500 000 doses de Pfizer vont aussi arriver dans la Grande île. Etant donné que la logistique est mieux en une seule dose, l’UNICEF va d’abord examiner les infrastructures que requiert l’acheminement de ces vaccins.  Il s’agit d’identifier les zones qui peuvent les conserver et qui disposent une chaîne de froid.
 Par ailleurs, après l’annonce du Professeur Rakotovao Hanitrala Jean Louis, ministre de la Santé publique à la TVM lundi soir, les missionnaires, ou encore étudiants et autres individus préparant leur voyage à l’étranger se font actuellement vacciner auprès de l’hôpital Befelatanana. Il s’agit ainsi d’un nouveau site de vaccination qui utilise le vaccin Johnson & Johnson pour les cas spécifiques. En même temps, l’inscription en ligne pour le grand public et auprès des CSBII continue.  

K.R.

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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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