Dans certains quartiers du centre de la Capitale et ses environs, les drames liés aux éboulements ou aux effondrements de maisons ont endeuillé des familles, du moins pour les 48 dernières heures. La seule nuit de dimanche dernier, ces accidents ont entraîné la perte de plusieurs personnes dont deux enfants. C’était le cas vers 2h du matin à Ankadifotsy-Ambodivona où un parking s’est effondré brutalement au-dessus de deux habitations, entraînant dans cette même chute 8 véhicules garés à l’endroit. La batterie qui soutenait le mur de soutènement de ce parking s’est brutalement fracturée. Sept personnes qui y étaient logées ont alors péri, du moins selon un bilan des sapeurs-pompiers. Le corps de la septième victime n’a pu être dégagé des décombres que vers 18h, hier, selon le capitaine chef de corps des sapeurs-pompiers de Tsaralalàna. Les recherches entamées vers les premières heures de la matinée ont permis de retrouver les dépouilles ensevelies par les ruines des deux enfants victimes. Il s’agit de deux garçons de 4 et 8 ans d’une fratrie. Ce n’est aussi que vers le milieu de l’après-midi que le corps d’un adulte fut finalement extrait des ruines, et ce, au prix d’intenses explorations par les sapeurs-pompiers.
Si les opérations de sauvetage étaient une affaire, les tentatives afin de soustraire les voitures de ces pièges laissés par les éboulis, en était une autre. Selon toujours une source auprès des sapeurs-pompiers, la moitié de ces véhicules ont pu être remontés à la surface vers le début de la soirée. Les soldats du feu joints à leurs homologues du corps de la protection civile ou CPC ont alors rempli leurs missions, parfois dans des conditions périlleuses.
D’après le chef Fokontany, certains propriétaires, pour ne pas dire la majorité, n’auraient aucune autorisation pour accéder, sinon utiliser ce parking. “Vers 2h du matin, l’infrastructure a éclaté. Il s’avérait que la batterie n’aurait pas tenu à la fois par trop d’humidité mais aussi par la masse des voitures garées dans ce parking”, déclare-t-il. Une déclaration qui étonné plus d’un puisque l’on ne peut s’empêcher de s’interroger pourquoi n’avait donc pas pris une mesure, afin que le drame ne se produise.
Enfin, à Ankadikely-Ilafy, 2 personnes ont également péri dans les mêmes et pires conditions qu’à Ankadifotsy. Idem à Ampefiloha où seuls deux garçons, actuellement hospitalisés, ont pu survivre à la suite de l’effondrement de leur maison. Dans l’après-midi hier, des proches des victimes se sont finalement manifestés pour venir au chevet de ces enfants dont les parents ont trouvé la mort dans le drame.
Franck R.

Publié dans Société
lundi, 24 janvier 2022

Et rebelote !

Décidément, personne n’est responsable dans ce beau pays ! On se lance la balle ! On se file la patate chaude ! On se rejette la responsabilité ! Et rebelote !
20 décembre 2021, le bateau M/S Francia fait naufrage au large de Soanierana-Ivongo. Le bilan est lourd : 36 décès, 49 disparus et 45 rescapés (seulement) sans oublier les dégâts matériels.
Un boutre destiné uniquement au transport de marchandises partait de Toamasina. Non seulement il est bourré à bloc, mais il y avait également à bord des passagers clandestins au nombre de 130. En somme, le bateau est totalement surchargé et se trouva dans une condition difficile à manœuvrer ! Les conditions météorologiques défavorables étant, le capitaine- propriétaire du bateau n’arrivait plus à maîtriser le contrôle du commandement. Résultat : le naufrage faisant de nombreuses  victimes ! A noter qu’en plus ce drame a coûté la vie à deux brillants colonels de l’Armée des suites du crash d’un hélico dépêché sur place à savoir, le colonel Hery Rakotomiliarison, commandant de la Base aéronavale d’Ivato, un pilote hors pair mais le sort en a voulu autrement et  le colonel Olivier Andrianambinina, directeur de la sécurité à la Primature. Par contre, le Général Gellé, secrétaire d’Etat chargé de la Gendarmerie et l’adjudant-chef Laitsara Jimmy à bord du même hélico ont pu être récupérés vivants. Le Chef de l’Etat Rajoelina décréta une journée de deuil national ce jeudi 23 décembre 2021. C’est une tragédie nationale !
Depuis cette date du 20 décembre jusqu’à ce jour, la responsabilité de ce drame n’a jamais été rétablie. Et pour cause, les principaux responsables tournant autour se rejettent la balle à commencer par l’APMF en passant par le BGNRC en arrivant au ministère de tutelle. Au final, personne n’est responsable ! A signaler que le capitaine-propriétaire du bateau demeure introuvable.
Le lundi 17 janvier, à l’issue de fortes précipitations, les eaux montent et inondent les zones de basse altitude d’Antananarivo et environs immédiats. Les lits des rivières d’Ikopa et de Sisaony débordent et menacent la Ville des Mille. Les populations des bas quartiers se sauvent et prennent d’assaut les habituels centres d’hébergement (gymnase d’Ankorondrano, stade couvert de Mahamasina, etc.) Pris de court, les dirigeants s’affolent, quelque peu, et tentent de prendre en main le contrôle de la situation. Le Président de la République en personne dirige et coordonne les opérations sur terrain. On déplore un  lourd bilan : 26 décès, au moins 35 362  sinistrés et 27 022 déplacés sans compter les importants dégâts matériels (maisons d’habitation, etc.)
Observateurs et simples citoyens se rejoignent à l’idée que deux phénomènes majeurs expliquent les débordements d’eaux sinon les crues constatés dans les bas quartiers causant de grosses pertes en vies humaines et des dégâts matériels non négligeables. D’abord, les remblaiements sauvages sur la plaine de Betsimitatatra et dans certains quartiers de la ville. Ensuite, les ordures et détritus jetés n’importe où obstruant les canaux d’évacuation déjà en état de délabrement.
Maintenant, il va falloir établir les responsabilités face à cette anarchie ambiante dans la gestion des remblais qui conduisent à des dégâts en vie humaine et en matériels importants
Mais dommage, personne n’est responsable. On se jette la balle entre BGNRC, CUA et le ministère de tutelle. Et rebelote !
Ndrianaivo

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lundi, 24 janvier 2022

La une du 25 janvier 2022

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Le passage de la dépression tropicale devenue cyclone « Ana » a laissé de lourds dégâts à Madagascar. Outres les inondations, plusieurs routes nationales ont été coupées à cause de glissements de terrain. A l’instar de la route nationale N°2 qui est coupée depuis dimanche au niveau de Moramanga et Manjakandriana ou encore la RN21 et RN44 ayant recensé au moins une quinzaine d'éboulements et des glissements de terrain. Sur la RN2, la buse qui a traversé cet axe n’a pas résisté à la pression de l’eau et cédé, entraînant un affaissement sous forme d’énorme trou au milieu de la voie. La circulation y est complètement interrompue et de nombreux véhicules y sont bloqués. Le Premier ministre Christian Ntsay a fait le déplacement à Moramanga pour constater de visu les dégâts et trouver des solutions avec le ministre des Travaux publics, Jerry Hatrefindrazana. D’aucuns n’ignorent le rôle stratégique de cette RN2, si ce n’est que pour le transport des marchandises en provenance ou à destination du Port de Toamasina.
En attendant que la voie soit rétablie à son état initial, une mesure d’urgence qui consiste à l’installation d’une déviation ainsi que la mise en place d’un point Bailey au PK 108+600 à l’entrée de Moramanga a été décidée. Il s’agit d’une solution provisoire en attendant la réhabilitation du dalot emporté par les eaux. Les matériels et équipements dans ce sens ont déjà été transportés sur les lieux. Parallèlement, les engins destinés à la réhabilitation des infrastructures routières ont été mobilisés pour enlever les crues et rendre les axes opérationnels.
Aucune pénurie en vue
Le chef du Gouvernement a rassuré la population face à la crainte d’éventuelles ruptures de stock en matière de carburant. « Les stocks à Antananarivo sont entièrement suffisants. Une fois que la circulation sera rétablie, les produits et marchandises continueront aussi d’être acheminés normalement », a déclaré le locataire de Mahazoarivo. En effet, les périodes de catastrophes constituent des périodes favorables aux spéculations perpétrées par des personnes malintentionnées. A part les carburants, les produits de première nécessité sont également les cibles des profiteurs. A en croire le chef du Gouvernement, aucune pénurie n’est donc pas en vue.
Sur un tout autre sujet relatif à coupure d’eau qui frappe la ville de Moramanga depuis trois jours, le numéro deux de l’Exécutif promet un retour progressif de l’approvisionnement en eau à partir de ce jour ou dans l’après – midi au plus tard. Moramanga fait partie des localités touchées par le passage du cyclone Ana pendant le week – end. La ville compte près de 1000 sinistrés qui sont pris en charge par les autorités concernées telle que le BNGRC.
S.R.

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Depuis une semaine, le bilan ne cesse de s’alourdir à cause des déluges qui s’abattent sur l’Est, le Nord-ouest, et surtout le centre du pays dont la Région d’Analamanga. D’après un bilan provisoire du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), l’on compte plus de 34 morts. Là, c’est encore Analamanga qui détient la triste palme avec 26 morts, l’Alaotra-Mangoro avec 7 autres, enfin 1 décès dans l’Est. Selon le BNGRC, ces statistiques sont susceptibles d’un changement. Mais une information reçue de ce Bureau au cours de l’après-midi hier, avance 3 décès à Fianarantsoa. Les deux autres décès, toujours du fait des fortes pluies, et qui étaient recensés à Moramanga vendredi dernier, n’ont encore été pris en compte.
Par ailleurs, le drame a généré 62112 personnes sinistrées, statistiques touchant 7 régions de l’île. Pour le seul grand Tanà, qui est d’ailleurs le plus touché, 35 262 personnes déplacées, réparties sur 63 sites d’hébergement, du moins jusqu’à nouvel ordre.
Toujours concernant la Capitale, c’est dans cette ville, étant la plus proche, que l’on trouve donc le plus grand nombre de sinistrés. Actuellement, 27 022 sans-abri ont été accueillis dans les sites d’hébergement.
Ces habitants, à la suite d’une alerte lancée depuis dimanche soir, ont dû alors quitter leurs villages et autres Communes rurales bordant les rivières Sisaony, qui représente l’une des plus sérieuses menaces, d’Ikopa, d’Imamba ou encore du canal d’Andriantany et celui du C3. “Le boulot d’étranglement de Bevomanga n’arrive plus à contenir les eaux provenant des 5 plus importants cours d’eau ou autres fleuves qui longent ces localités d’Antananarivo-Atsimondrano ou de l’Avaradrano,ce qui a rapidement provoqué cette montée fulgurante du niveau de l’eau, sinon des inondations, ou du moins causer de sérieuses menaces d’inondation subites de toutes ces localités”, explique un expert. C’est le cas de Tanjombato, actuellement coupé du reste de la Capitale à cause de ces menaces.
Mais les grosses pluies ont également provoqué de très importants dégâts, notamment du point de vue infrastructures routières, cette fois-ci à l’échelle du pays. C’est l’axe de la RN2 reliant la Capitale et Toamasina, qui est le plus durement touché. Du coup, la circulation fut totalement interrompue sur cet axe reliant l’Est à cause des éboulis, particulièrement nombreux et autres ruptures de ponts. D’après une information de dernière heure, il faudra même installer en toute urgence un pont Bailey, du moins au PK111 près de Moramanga, et pas moyen de rejoindre Brickaville où la voie est rendue impraticable, au PK86 de cette localité. Mais la RN1 n’a pas été épargnée non plus. Le trafic y est fortement perturbé du fait de l’effondrement d’un pont situé à 3 kilomètres de Miarinarivo.
Franck R.

Publié dans Société


Aucun candidat n’a eu le courage de se mesurer au président sortant de l’ASIEF (Association sportive interministérielle pour l’entretien des fonctionnaires) pour le prochain mandat dudit président de   cette association. Le dépôt des dossiers de candidature a pris fin le 21 janvier dernier. Le président sortant Jean Aimé Andrianarison dit John Love est l’unique prétendant pour briguer un deuxième mandat. Il est conscient de la difficulté de la mission notamment la sensibilisation des agents publics à faire du sport un créneau, avec l’organisation de compétitions interministérielles et interinstitutionnelles. Cela aurait poussé les autres prétendants au poste à faire machine arrière même s’ils ont déjà annoncé leur intention de s’y présenter.
L’élection est prévue le 28 janvier prochain au Palais des sports de Mahamasina. Les responsables de la commission sport au siège général de chaque ministère et les officiels auront droit de vote. Même s’il y a candidat unique, le statut stipule un vote par la voix des urnes et c’est la majorité qui le remporte.
John Love,  un habitué à convaincre les gens et gérer la situation, veut aller au bout de ses ambitions. Celui d’apporter sa pierre à l’édifice. Pour lui, le sport est un levier pour l’épanouissement des fonctionnaires et un outil pour le développement de chaque ministère.
« Malgré  les petits bémols aperçus durant le premier mandat, nous avons déjà accompli plus que 80 pour cent de notre tâche. Mais les 20 pourcent restant sont le plus dure dans cette mission. A début de notre mandat, seulement 25 pourcent des agents publics faisaient du sport dans leur département respectif. Au terme de notre premier mandat, les chiffres se sont inversés car plus 75 pourcent ont commencé à pratiquer du sport, qui est comme un médicament gratuit pour notre corps. En tant qu’agent Paramed, j’ai mené une petite enquête dans les hôpitaux publics. Ainsi, le nombre de fonctionnaires victimes d’AVC ou du diabète et certaines maladies a considérablement diminué. Ce qui est bénéfique non seulement pour eux mais aussi pour la caisse de l’Etat dans le traitement de ces agents en cas de maladie », a-t-il expliqué.
Rappelons qu’au tournoi national tenu à Mahajanga au mois d’octobre dernier, les participants ont atteint un chiffre record de douze mille participants. Pour la première fois, un Premier ministre,chef du Gouvernement - accompagné de quelques ministres - a participé au rendez-vous national de l’Association.
Elias Fanomezantsoa

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La grogne se fait entendre chez les prétendants à un  voyage à Madagascar au départ de l’île de La Réunion. En effet, le coût du billet proposé par Air Austral dépasse l’entendement car il est largement supérieur à un vol Réunion-Paris.
 « J’ai demandé pour une place à destination d’Antananarivo dans le courant du mois prochain et ça devrait me coûter dans les 700 euros. Pour un vol d’une heure vingt minutes, c’est un peu exagéré. Et dire que pour aller à Paris on ne paie que 600 euros pour 12 heures de vol », tonne un quadragénaire malagasy qui désire rendre visite à ses parents dans la Grande île. Il n’est pas le seul à monter le ton face à la cherté du billet proposé par Air Austral sur cette ligne. Il suffit de voir les nombreux commentaires qui crient au scandale sur les réseaux sociaux pour se rendre compte de ce diktat d’Air Austral. Cette dernière est effectivement la seule compagnie aérienne qui assure la liaison entre les deux îles depuis l’ouverture des frontières aériennes de Madagascar. Pour des raisons techniques ou autres, Air Madagascar reste dans l’ombre pour les vols régionaux et laisse aux autres concurrentes le soin de desservir Madagascar à partir des îles voisines, notamment  l’île Maurice et l’île de La Réunion.
Air Austral effectue deux rotations par semaine sur la ligne Réunion –Antananarivo et vient d’adresser une demande auprès de l’Aviation Civile de Madagascar (ACM) d’augmenter la fréquence. La hausse de demandes, selon Air Austral, justifie cette quête qu’elle a émise aux dirigeants malagasy.
Plus d’un se demande si en obtenant une troisième fréquence, Air Austral envisagerait de baisser le tarif appliqué actuellement ou elle le maintiendrait. Mais apparemment, même avec ce tarif jugé exorbitant, l’offre d’Air Austral ne parvient pas à satisfaire la demande. Il y a peu de chance ainsi qu’elle diminue le coût du billet de transport, sauf peut –être en basse période.
La Rédaction

Publié dans Politique


La sortie en mer de la perturbation tropicale ayant parcouru la Grande île le week-end dernier d'Est en Ouest n'est qu'un soulagement passager pour la population. Actuellement, Météo Madagascar  surveille déjà un nouveau système.  Sur l'extrême Est a été  détectée une autre zone suspecte qui présente des signes d’organisation. Selon le communiqué de Météo Madagascar hier vers midi,  les données en surface révèlent déjà une circulation cyclonique encore allongée avec des vents de 50 à 60 km/h loin du centre sous les amas nuageux. Pour cette raison, elle pourrait s’approcher de nos côtes à longue échéance. «  Les tendances des données analysées permettent d’anticiper une condition atmosphérique et océanique favorable au maintien et au développement de cette zone suspecte. Une évolution nette est attendue vers mercredi. Jusqu’au début de la semaine prochaine, un déplacement modeste vers l’Ouest-Sud-Ouest à Sud-Ouest est envisagé avec une chance accrue de développement en une nouvelle tempête tropicale. Dans cette  perspective de trajet, celle-ci s’approchera d’abord des îles Mascareignes », a prévu la Direction générale de la Météorologie. Cependant, elle tient à rassurer la population qu'aucune menace d’une perturbation cyclonique n’est pour le moment envisagée.
Vigilance « rouge »
En outre, la situation météorologique à Madagascar demeure toujours favorable aux inondations généralisées, à la stagnation des eaux,  aux glissements et éboulements de terrains. Les études prévisionnistes  effectuées par la Direction  générale de la Météorologie sise à Ampandrianomby ont encore confirmé que le temps reste maussade dans plusieurs localités. Des pluies localement abondantes  persistent notamment sur le Nord-ouest et le centre Est. « Des vents forts de 40 à 50 km/h avec des rafales de 70 Km/h ainsi que des mers agitées vont persister », ont indiqué les prévisionnistes. Et d'ajouter que la vigilance « rouge » reste en vigueur pour les Régions de Sofia, Analanjirofo, Alaotra, Boeny et Betsiboka. Les habitants des Districts de Besalampy, Maintirano  Toamasina I et II, ainsi que Brickaville et Vatomandry doivent particulièrement rester vigilants.

En ce qui concerne la perturbation cyclonique qui se trouve dans le canal de Mozambique, comme prévu, elle s’est intensifiée et a été baptisée au nom d’ANA. Hier, vers 3h locales, son centre a été positionné à 251 km à l’ouest du Cap Saint-André (Vilamatsahy). Le vent moyen est monté à 75 km/h  avec des rafales de 105 km/h. Elle a poursuivi son cap vers l’Ouest à raison de 18 km/h. Et elle a atterri à Mozambique hier.

Publié dans Société

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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