La Confédération africaine de football a dévoilé, hier, 12 janvier, la date de la prochaine CAN (2023). La Côte d'Ivoire devra accueillir la 34ème édition de la compétition en été, du 23 juin au 23 juillet. La Confédération africaine de football (CAF) se tourne déjà vers l’édition 2023. En effet, le comité exécutif a annoncé vendredi que le tirage au sort du tour préliminaire des qualifications à la CAN 2023 sera effectué le 21 janvier prochain à Douala, au Cameroun. Le lendemain, le 22 janvier, c’est le tirage au sort des barrages de la Coupe du monde 2022 qui sera au programme.
Près de quatre jours après l’assaut de bandits ayant visé la propriété d’un couple de fonctionnaires de la santé publique, et qui a coûté la vie à une femme médecin de 53 ans, lundi soir dernier à Ivandry, l’enquête évolue. D’après une information policière, un suspect dans le meurtre avait été arrêté. Mais avec une information distillée au compte-gouttes, il était encore impossible de savoir davantage sur ce sujet.
1 096 personnes atteintes de la Covid-19 ont succombé en 2021 au niveau des 5 Arrondissements de la Commune urbaine d'Antanarivo, à l'exception du sixième situé à Ambohimanarina. Selon le docteur Anjarasoa Rasoanomenjanahary, chef de service de la promotion de l'hygiène auprès de la Direction de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène au sein de la CUA, connu auparavant sous le nom de Bureau municipal d'hygiène (BMH), la majorité de ces individus emportés par le coronavirus viennent des zones périphériques de la Capitale.
1700. Tel est le nombre de postes disponibles pour le recrutement massif au Québec Canada. Proposés par 80 entreprises, ces postes concernent divers secteurs à savoir l’administration, le génie civil, l’hôtellerie et restauration, la manufacture et fabrication, la production audiovisuelle, la santé, les technologies de l’information ainsi que le transport et mécanique. « Madagascar fait partie des pays éligibles pour ce recrutement massif.
Contrer à tout-va. C'est le principe qui dicte certains face à tous les projets élaborés par le régime en place. Les arguments avancés pour les refuser tournent pourtant autour d'un mot, « ce n'est pas le moment ». De la ville nouvelle à Ambohitrimanjaka au projet téléphérique en passant par le stade des Barea et les logements sociaux. Une frange, minoritaire mais bruyante et activiste sur les réseaux sociaux, est la principale instigatrice de ce front de refus.
Le secteur privé aux premières loges. Le ministre du Tourisme a convié, hier, les représentants des groupements des professionnels en tourisme et hôtellerie du pays à Faravohitra pour se concerter sur les mises à jour qui doivent être apportées à la feuille de route pour la relance du secteur touristique au vu du contexte sanitaire qui perdure.
En danger. Les économies en développement, à l’instar de celle de la Grande île, risquent de pâtir de la croissance mondiale qui n’aura de cesse de ralentir jusqu’au second semestre de l’année prochaine, selon les perspectives économiques mondiales publiées par la Banque mondiale. La croissance mondiale devrait ralentir sensiblement, pour s'établir à 4,1 % en 2022 et 3,2 % en 2023, contre 5,5 % en 2021. La propagation rapide du variant Omicron laisse présager que la pandémie continuera probablement de perturber l’activité économique à court terme.
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras ! C'est sûrement le sentiment de la délégation malagasy conduite par le ministre de la Justice, Imbiky Herilaza, à son retour des Comores hier. Des deux principaux objectifs que la délégation s'est fixée au départ, un a été atteint. Les 49 kg de lingots d'or saisis à l'aéroport international de Moroni le 28 décembre dernier et dont le rapatriement à Madagascar a été un des sujets de ce déplacement de l'équipe malagasy, ne font pas partie du « voan-dàlana » de cette dernière.
Les discussions entamées en novembre 2019 à Antananarivo entre une délégation malgache et une délégation française afin de mettre en place une commission mixte dédiée aux îles Eparses, vont-elles enfin reprendre ? La deuxième réunion devait se tenir à Paris dans la foulée. Ces pourparlers découlaient d'une promesse des Présidents français et malgache, qui en mai 2019 avaient conjointement annoncé la réouverture des discussions sur le sort de ces îles revendiquées par Madagascar. Ce second round des négociations n'a jamais pu avoir lieu faute de pandémie de Covid-19 et aucune date de la reprise des discussions n'est jusqu'ici annoncée.