Le projet Filets sociaux de sécurité (FSS) arrive à son terme tandis que le projet Filets de sécurité et de résilience (FSR) bat son plein. Plus de 1 177 000 ménages vulnérables bénéficieront de ces programmes de protection sociale non contributive dont 281 000 nouveaux ménages soutenus à travers les programmes classiques, et plus de 671 600 autres par le biais des programmes d’urgence en réponse aux chocs. Le projet FSR intervient dans 23 Régions de Madagascar, de 2023 jusqu' en 2027, en offrant aux familles les plus démunies les moyens d’améliorer leurs conditions de vie et de renforcer leur résilience, à travers le développement du capital humain et la création d’activités génératrices de revenus. Les filets sociaux favorisent l’égalité des chances pour tous. En améliorant les compétences productives et financières des communautés vulnérables, ces programmes promeuvent l’inclusion économique et sociale et favorisent l’accroissement des actifs productifs.
La question de la place des femmes et des jeunes filles dans le système éducatif à Madagascar revêt une importance cruciale. Elle soulève des enjeux sociaux, économiques et politiques qui affectent non seulement les individus, mais aussi le développement global de la société malagasy. Le projet « Femmes Engagées à Madagascar », organisée par le programme de l’Union européenne d’appui à l'émancipation de la femme et de lutte contre les violences basées sur le genre, ayant débuté à l’université d’Antananarivo, vise à aborder ces questions fondamentales à travers une série de dialogues.
Quelque part dans les Saintes Ecritures de la Bible, il est dit : « Un temps pour toute chose ! » « Un temps pour se taire, un temps pour parler ! » « Un temps pour pleurer, un temps pour rire ! » Bref, chaque chose a son temps ! Mais, pour les « insensés », bibliquement et peut-être politiquement parlant, « un temps pour parler, un autre pour… parler sinon pour divaguer ! »
Le 8 novembre prochain, la Maison des Sciences de l'Homme Paris accueillera une journée d'étude captivante centrée sur le rythme « tsapiky », sous la direction du chercheur et professeur Julien Mallet. Intitulée "Des funérailles comme studio : Ethnographie d’une cérémonie composite à Madagascar", cette journée met en lumière la richesse culturelle de la Grande île à travers le prisme de la musique et des rituels. Le projet se déroule dans un contexte particulièrement poignant, étant donné qu’il explore le thème des "secondes funérailles" de la mère de Damily, un artiste malagasy éminent qui a récemment fait sa résidence en France.
En toute discrétion mais avec une réelle implication, la Princesse Stéphanie de Monaco continue de prouver que l’engagement humanitaire ne se limite pas aux belles paroles. En effet, elle a effectué un séjour discret dimanche et lundi dans la Grande île pour ses engagements.
Ce n’est pas la première fois que la Princesse pose le pied à Madagascar, mais cette fois, son retour revêt une signification particulière. A l’occasion des 20 ans de Fight Aids Monaco, celle qui a toujours eu à cœur de défendre les causes humanitaires a choisi de revenir là où tout avait commencé pour elle avec l’association : Madagascar.
Après sa subite disparition à Talatamaty, avant-hier matin, une jeune femme de 22 ans a été finalement retrouvée à Anosiala Ambohidratrimo, vers 4h du matin, hier. La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre, du moins sur les réseaux sociaux, où l'on a parlé du kidnapping de la concernée, du fait qu'elle aurait été également droguée, mais qui se serait d'ailleurs fait déposer par des inconnus en 4x4, à Anosiala, sur les bords de la RN4. Notons au passage que la concernée souffre d'un léger trouble mental. Actuellement, elle a pu rentrer chez elle après que son père, aidé par la Gendarmerie, est venu la récupérer hébétée et sans voix, depuis.