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Jusqu’à hier, 117 personnes sur les 2 152 testées au PCR ont été déclarées positives au coronavirus par l’Institut Pasteur de Madagascar (IPM). Statistiquement parlant, environ 4,65 % des personnes testées sont contaminées, soit deux individus sur 50 analysés. Mais en tout, 2 357 tests au PCR ont été effectués à Madagascar. « Les 33 personnes guéries ont passé au moins deux test PCR avant de sortir de l’hôpital pour confirmer leur rétablissement, ce qui explique l’incohérence entre les chiffres se rapportant aux personnes auscultées et le nombre de tests effectués », avance la porte-parole du Centre de commandement opérationnel Covid-19 situé à Ivato, Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle. Des jours avant la déclaration officielle de la première contamination par le Président de la République Andry Rajoelina, le 19 mars dernier, 80 personnes ont déjà bénéficié d’une analyse en laboratoire. Et ce diagnostic PCR a concerné entre autres les personnes présentant quelques symptômes du coronavirus, arrivant des pays étrangers, et considérées comme étant des cas suspects. Par la suite, on a recensé les gens arrivés par des vols entre le 11 et 19 mars 2020, testés positifs aux Tests de diagnostic rapide (TDR) effectués à Ivato et à Ankorondrano, ainsi que les personnes observées et isolées au niveau des 50 sites dédiés à la mise en quarantaine. A cela s’ajoutent les personnes en contact avec les contaminés.
Outre les tests PCR, des milliers de Tests de diagnostic rapide ont été également réalisés notamment au Centre de conférence international Ivato, au Jumbo score Ankorondrano, ainsi qu’aux sites de mise en quarantaine. Rien que les deux premières journées, 2 244 TDR ont été effectués dont 12 se sont révélés positifs. Et bien avant ce dépistage massif, 700 TDR ont également été réalisés.
De nouveaux cas contacts confirmés
Madagascar assiste actuellement à des cas communautaires de coronavirus. Selon le Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle, le virus circule déjà au sein de la communauté. Durant les dernières 24 heures, 6 nouveaux cas contacts viennent s’ajouter aux 111 cas identifiés jeudi dernier. 3 d’entre eux sont localisés à Antananarivo et concernent deux femmes âgées respectivement de 41 ans et 18 ans, ainsi qu’un homme de 23 ans, tous de nationalité malagasy. Les trois autres personnes ayant contracté le Covid-19 résident dans  la Région Est de la Grande île. Ce sont deux hommes âgés respectivement de 41 et 35 ans ainsi qu’une femme de 18 ans.
Par ailleurs, le nombre de cas de guérison reste 33. Ce qui fait un total de 84 hospitalisés au niveau des établissements sanitaires.
K.R.



La seconde période d’état d’urgence sanitaire prend fin ce samedi 18 avril 2020. L’ancien Président Didier Ratsiraka recommande le renforcement des mesures de prévention et de confinement.
Cela fait un mois que Madagascar est dans un état d’urgence sanitaire à cause du coronavirus présent dans le pays. La seconde période d’état d’urgence prend fin ce samedi 18 avril 2020. Le Président de la République Andry Rajoelina aura à prendre une décision importante ce week-end sur la vie nationale. Il prononcera son discours à la Nation, dimanche prochain. La question qui pend aux lèvres de tout un chacun demeure la même : l’état d’urgence va-t-il être prolongé ?
Face à cette situation, l’ancien Président de la République Didier Ratsiraka est sorti de son silence. Il a partagé son opinion sur sa page Facebook. Il affirme que les décideurs se trouvent face un « nœud gordien ». Poursuivre le confinement ou reprendre la vie normale, il est près de prendre une telle décision car l’enjeu est tellement grand. La santé publique et l’économie nationale sont les principaux concernés dans cette situation.
La décision finale revient au Président de la République et à lui seul. Il peut demander l’avis de ses proches collaborateurs, l’avis des autres institutions, l’avis de tout le monde. Mais au final, lui et lui seul a le dernier mot. L’ancien Président Didier Ratsiraka soutient qu’ « il n’est pas facile de conseiller aux dirigeants du monde car ce sont eux qui en font les frais ». Il ajoute que « les conseilleurs ne sont pas les payeurs ».
Aussi, « il vaut mieux s’occuper de nos compatriotes qui vivent dans la précarité et la pauvreté mais bien vivants », poursuit l’ancien Président. La santé étant la première des richesses, il vaut mieux protéger la population face à cette pandémie. Ceci étant, il recommande l’adoption de mesures d’accompagnement. Ainsi que l’amélioration de la distribution de l’aide à la population, surtout celle qui se trouve dans une situation de précarité.
Pour appuyer ses propos, l’ancien Président argumente que  « nous n’avons sûrement pas assez de lits, de respirateurs et de scopes pour soigner 1 000 à 2 000 malades et nous avons encore moins de pneumologues et de réanimateurs ». Il ajoute alors qu’ « il vaut mieux continuer et renforcer les mesures de prévention et de confinement qui ont été prises jusqu’ici, quitte à les adoucir en fonction de l’évolution de la situation, plutôt que d’annuler et reprendre après ».
« Pensons au sacrifice et l’abnégation de nos médecins, infirmiers et de tout le personnel soignant ainsi que les Forces de l’ordre », poursuit l’ancien Président. Il conclut qu’il faut penser à « la souffrance des patients et de leurs familles qui sont dans l’angoisse et ne peuvent apporter de réconfort à leurs êtres chers ».

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Bouffée d’air

Bouée de sauvetage. Bonne nouvelle, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, tout récemment, un allègement de la dette au profit de vingt-cinq pays dont dix-neuf Etats africains. Madagasikara figure parmi les bénéficiaires de la « manne », plutôt de la bouée de sauvetage. Une bonne nouvelle qui ne manque de raviver les espoirs des pays pauvres surtout en cette période de difficulté innommable et imprenable que l’on traverse. Kristalina Georgieva, l’économiste bulgare, qui avait remplacé Christine Lagarde au poste de directeur général du FMI depuis le 1er octobre 2019, annonça la nouvelle. Et la décision prend effet immédiatement.
En effet, dans le cadre du Fonds fiduciaire réaménagé d’assistance et de riposte aux catastrophes (ARC), le FMI vient au secours des pays en situation de précarité pour alléger le Service de la dette leur permettant, selon la directrice générale, de consacrer une plus grande partie de leurs faibles ressources financières aux soins médicaux et aux autres efforts de secours d’urgence vitale. Pour le cas de Madagasikara, le « geste » significatif du FMI donnera l’occasion d’effacer la dette à hauteur de 428,1 milliards d’Ar soit 114 millions de dollars correspondant au montant du Service de la dette à rembourser au titre de la Loi de Finances (LF) 2020. Une véritable bouffée d’air pour un pays comme le nôtre qui, au-delà des préoccupations habituelles, a « d’autres chats à fouetter ».
Mais il convient de souligner que ledit accord des membres du Conseil d’administration ne découle pas d’une évidence gratuite. Il s’agit d’une décision motivée par des critères stricts d’ « éligibilité » valables pour tout le monde.
En premier lieu, la bonne gouvernance en particulier des ressources financières publiques et des affaires nationales en général. Le FMI n’accorde point d’aide ou de soutien financier à n’importe quel Etat dont la gestion de la Caisse publique est sujette à des suspicions sinon à des allégations de détournements ou de malversations quelconques.
La transparence dans le traitement des affaires financières surtout, un des éléments majeurs de la bonne gouvernance, pèse beaucoup sur la balance dans la prise de décision. Une gestion opaque de l’argent public bloque, d’emblée, le processus d’accord. Il est inadmissible aux yeux des bailleurs traditionnels de constater que l’argent débloqué ne suit pas la règle de la déontologie et de l’orthodoxie financière reconnue universellement. Une gestion floue suscite toujours d’interrogations de la part des acteurs et des partenaires socio-politiques nationaux et internationaux. Ainsi, le grand argentier malagasy Randriamandranto Richard tenait souvent à le faire savoir à qui veulent l’entendre que la transparence dans la gestion des aides extérieures encore plus des ressources locales ne fait pas l’ombre d’un doute. Il invite chacun de bien vouloir consulter librement le site et le compte Facebook du ministère (MFB) pour en avoir le cœur net. Qui de ses prédécesseurs a eu le courage de convier tout le monde, à tout moment, entre autres les membres de l’opposition ou les simples citoyens curieux d’en faire autant ? Et le souci de la transparence passe honnêtement par là.
Madagasikara, face à l’énorme défi financier imposé par Covid-19, aura une bouffée d’air et certaines coudées franches tant soit peu afin de venir à bout de ses préoccupations de l’heure.

 
 

Le choix du nouvel équipementier des Barea de Madagascar par le comité ad hoc désigné par la Fédération malagasy de football est très attendu. Néanmoins, la fuite des documents mettant en première place une société inconnue du bataillon a fait couler beaucoup d’encre, cette semaine. Après Patrick Pisal de la société Telma, du sélectionneur national Nicolas Dupuis, Abel Anicet Andrianantenaina est sorti du silence pour avancer son point de vue.
A travers un appel vidéo, le capitaine de l’équipe nationale n’y est pas allé par quatre chemins pour exprimer son avis de vive voix aux supporters des Barea. Et ce comme à son habitude, sur un ton souriant. Mais il est ferme sur sa position en tant que meneur de l’équipe. «  Non, ce n’est pas bon, ce n’est pas bon du tout... Et d'ailleurs, je vais là-bas demain », annonce Anicet Abel. Et d’ajouter : « Je ne suis pas d’accord. Madagascar et nous les Barea de Madagascar, on mérite un équipementier de renom.»
« Les Barea ont fait rêver tous les Malagasy. Ils ont enchanté tous les Africains et même au-delà. Nous rêvons tous d’une participation à la "Coupe du Monde"», continue-t-il ...Les Barea méritent un équipement à la hauteur de leurs attentes et de leurs ambitions.
Le contrat avec Garman prendra fin le 27 avril prochain. Et en attendant un nouvel accord avec le nouvel équipementier, Telma a pris les choses en main en achetant le nouveau maillot de Barea pour ses prochains matchs sur demande du sélectionneur et la FMF.
En attendant cette échéance, les passionnés du foot malagasy suivent de près l’évolution de la situation.
Elias Fanomezantsoa



Depuis l’arrêt de la circulation des transports en commun dans la Capitale et Toamasina afin de limiter la propagation du coronavirus, les femmes enceintes et leurs familles ont des difficultés à rejoindre les centres de santé et maternités pour un examen pré-natal ou un accouchement. Sur ce, bon nombre d’entre elles sont contraintes de trouver d’autres alternatives comme le recours à des matrones ou accoucheuses traditionnelles. Cependant, cette pratique est dangereuse pour la femme et le nouveau-né, puisque c’est la principale cause de la mortalité maternelle et infantile.
Face à l’inquiétude croissante des femmes, le ministère de la Santé publique, en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), met à la disposition des femmes enceintes un transport gratuit jusqu’au 15 mai prochain. Ce service est destiné uniquement aux femmes enceintes et accompagnateurs résidant à Antananarivo et ses environs et qui doivent se rendre à la maternité Befelatanana ou au Centre hospitalier de référence de District (CHRD II) Itaosy pour leur examen pré-natal ou pour accoucher. Assurant des services 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, des lignes téléphoniques sont disponibles pour les bénéficiaires, à savoir le 034 14 202 95 (jour) et 034 14 202 84 (nuit), pour la maternité de Befelatanana et le 033 28 307 08 pour le CHRD II d’Itaosy. Pour Toamasina, un transport est aussi disponible pour relier la ville avec la maternité d’Analakinina.
Pour l’association Compassion Madagascar, elle propose également un transport gratuit pour les femmes enceintes  habitant dans la Commune d’Antananarivo Atsimondrano, Avaradrano et également Toamasina. D’après un responsable au sein de cette association, la récupération est faisable jusqu’à 30 km d’Antananarivo ville. En cas de nécessité de leur service, le numéro 034 14 202 91 est disponible durant la journée, tandis que le 034 14 202 84 est joignable durant la nuit et le week-end. Non seulement, les organismes et institutions œuvrant pour la santé proposent ces genres de services durant cette période de confinement, mais également des citoyens de bonne volonté. Ces dispositifs visent à garantir la qualité des prises en charge et de prendre en compte les contraintes de distance, en proposant une offre adaptée de suivi pré et post-natal.
Anatra R.


La vie de la Nation traverse une période de grande fragilité généralisée exacerbée par le changement inexorable d’habitudes motivé par la lutte contre le Covid-19. La sérénité est plus qu’un besoin impérieux dans ce contexte et chaque institution se doit d’y jouer son rôle pour apaiser l’atmosphère pesante. Les actualités judiciaires sont en règle générale remarquablement très suivies en temps de crise.
La plupart du temps, certaines affaires qualifiées de chaudes retiennent l’attention et peuvent catalyser ainsi le mécontentement. La loi est dure mais la loi est toujours la loi. Rien à discuter là-dessus. L’appareil judiciaire, en tant qu’institution de la République, est l’instrument majeur de l’ordre public. Beaucoup comprennent mal l’utilisation de son indépendance vis-à-vis des autres appareils d’Etat. Dans l’opinion publique, c’est toujours l’Etat qui donne l’ordre d’emprisonner un tel ou tel membre de l’opposition, par exemple.
En matière de détention préventive, seuls le juge d’instruction ou la chambre de détention peuvent la décider. Cette mesure exceptionnelle, souvent source de vives discussions dans les médias, a lieu si elle est jugée nécessaire pour « conserver les preuves et les indices matériels, examiner toutes possibilités d’influencer les témoins ou les victimes, ou éviter une concertation frauduleuse entre inculpés et complices, préserver l’ordre public et protéger l’inculpé ou garantir son maintien à la disposition de la justice en empêchant une éventuelle fuite de sa part ».
Haute personnalité
La durée de la détention préventive est de six mois en matière correctionnelle et de huit mois en matière criminelle. Elle s’exécute normalement dans une maison d’arrêt ou un quartier séparé de l’établissement pénitentiaire, après la phase d’instruction jusqu’à l’entrée en phase de jugement. Tout inculpé y jouit d’un certain nombre de droits prévus par la loi. Il y a quand même des cas qui font parler d’eux. En l’absence de communication claire, ils ont à eux seuls le pouvoir de nourrir des débats passionnés à n’en plus finir.
Lorsque ceux-ci se présentent, les hommes de la loi, notamment les représentants du Parquet s’arrangent pour fournir des explications jugées opportunes pour l’opinion. Cette pratique s’observe ailleurs, notamment dans les pays de l’Ouest. Par exemple, en cas d’arrestation d’une haute personnalité suivie de sa mise en détention préventive, le procureur de la République convoque de son propre chef la presse à des fins d’explication dans le but de préserver l’ordre par le truchement des média professionnels.
Une telle initiative est encore de rare occurrence à Madagascar. Pourtant, l’on sait qu’un arrêté ministériel sorti en 2018 laisse libres les autorités judiciaires habilitées de s’adresser aux journalistes pour expliquer les tentants et aboutissants d’une affaire d’une certaine sensibilité en dépit de la préservation du secret de l’instruction. Ce texte réglementaire les y encourage même chaque fois que les circonstances le permettent.
Les juridictions d’Antananarivo, de Toamasina et de Morondava, entre autres, ont le mérite de s’y conformer de temps à autre mais pas systématiquement. Pour les sujets à polémique qui donnent lieu à des requêtes de mise en liberté provisoire, le procureur de la République a le privilège exclusif de requalifier l’infraction et le reste en suivra la logique après coup.
La Rédaction

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la une du 18 avril 2020

La restriction de moyens pour circuler en ville dans les véhicules de transport comme les taxis-ville ou les taxis-be dans ce contexte du COVID-19, a fait apparaître momentanément des types de locomotion plutôt rudimentaires dans la Capitale. Depuis quelques jours, le public est de plus en plus habitué à voir des bicyclettes ou autres carrioles transportant des citadins,  supplantant temporairement ainsi les minibus immobilisés. Ainsi, des débrouillards, si on peut les qualifier comme tels, profitent de la situation pour s’inventer le métier de transporteurs,  faute  de taxis ou de taxis-be.

Pour la énième fois, la portion de la voie rapide à Tsarasaotra Ivato, a été le théâtre d’un accident mortel vers le milieu de la matinée, hier. Un véhicule tout-terrain Toyota V8 immatriculé 28…TBM, roulant à vive allure et conduit par un homme de 30 ans, a percuté un vélo. Résultat, le cycliste, un jeune homme de 17 ans fut tué sur le coup. Mais  au lieu de s’immobiliser sur- le- champ, le 4x4 a continué sa route sur la même allure pour prendre la direction de Morarano Ivato. Alors que les témoins à la scène ont cru à un délit de fuite de sa part, le chauffeur en cause s’est pourtant rendu à la Gendarmerie d’Ivato. C’est là que les éléments de la brigade des accidents de la Police à Tsaralalàna étaient venus l’y récupérer et l’embarquer au commissariat central où le trentenaire a été placé en garde à vue. 

Depuis que le Président de la République, Andry Nirina Rajoelina a annoncé le 19 mars dernier les trois premiers cas de contamination au coronavirus, des doutes se sont installés sur l’existence de cette pandémie à Madagascar. Des allégations ont été même formulées insinuant une dissimulation de la réalité au niveau des Centres hospitaliers  universitaires (CHU) respectifs par le Gouvernement actuel.  Qu’il s’agit surtout d’une histoire montée de toutes pièces.

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Editorial

  • A bannir !
    Ignoble, l’inceste aggravé par des allégations de viol et de sévices physiques et moraux n’en finit pas de secouer l’opinion. La semaine qui tire à sa fin a vu passer par presse interposée des actes barbares d’un père à l’encontre de ses propres enfants. Des actes à bannir. Un ancien footballeur, demi-célèbre et artiste local, aurait violé et parfois violenté sa propre fille pendant… dix-neuf ans. Toutefois, le terme « viol » devrait être saisi avec précaution. Des actes de viol sur sa propre progéniture 19 ans durant sans que la victime ne réagisse pour tenter de condamner le comportement abominable du père-auteur seraient… impossibles en soi. Il aurait dû y avoir un consentement tacite quelque part. D’ailleurs, des internautes et pas des moindres condamnent l’attitude de la… victime de son silence. Peut-être à des moments différents, elle aurait pu trouver ses comptes. Elle aurait pu soutirer certains profits !…

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