Balise. Pour assurer le respect du cadre légal des petites exploitations minières, le ministre des Mines et des Ressources stratégiques, Olivier Rakotomalala, a rencontré les autorités dans la capitale de la Région de Vakinankaratra et a réuni les petits mineurs qui ont été autorisés à travailler dans la Zone d'encadrement de la Région. Ainsi, neuf coopératives de mineurs artisanaux issus des Districts d'Antsirabe II, Betafo et Mandoto ont rempli les conditions et ont reçu le cahier des charges leur permettant de travailler dans la zone désignée. Cette initiative a été prise afin de mettre en œuvre la gestion du patrimoine des ressources naturelles. Cela inclut les ressources minérales qui sont des ressources naturelles non renouvelables qui nécessitent une stratégie particulière.
Pluie de trophées. Le week-end dernier, la 17ème édition de l’évènement « RDJ Mozika », ayant célébré les talents musicaux de la Grande île, a été une affaire de stars avec une overdose de musique. De plus, il y avait clairement du beau monde. Encore une fois, les chanteurs malagasy se sont sentis honorés en passant sur le tapis rouge, sous le feu des projecteurs des paparazzis. Organisée par la station RDJ et ses collaborateurs, la cérémonie a accordé des récompenses et a encore fait de nombreux heureux, surtout chez les jeunes artistes venus en nombre.
Lourde peine. Un ressortissant malgache s'est vu infliger une peine de 11 ans de prison pour importation d'héroïne à l'île Maurice. L'information a été rapportée par la presse de l'île voisine hier. L'homme a été interpellé par les membres de l'Anti Drug and Smuggling Unit (ADSU) affectés à l'Aéroport Sir Seewoosagur Ramgoolam le 19 décembre 2017, lors d'un contrôle. Deux colis contenant des sachets en plastique remplis d'héroïne avaient été saisis sur l'individu.
Des parents ont perdu de vue leurs gosses lors des festivités liées à l’accueil triomphal des onze de Barea-CHAN, dimanche dernier au stade du même nom que l’équipe nationale à Mahamasina. Même la mère d’un nourrisson figurait dans la liste des adultes ayant perdu les leurs durant cet évènement. Toute une énigme plane du moins pour tenter de savoir comment le bébé a pu être arraché des bras de l’adulte.
Un violent affrontement a endeuillé le District d’Amboasary-Sud, samedi soir dernier. Là, deux groupes d'individus opposés, issus du fokontany d'Emitray et d'Esira Besakoakely, armés de lances et de machettes, ont fait un brutal face-à-face. Ce sanglant bras-de-fer aurait duré plus d'une heure, et ses conséquences furent très lourdes : six protagonistes des deux camps ont perdu la vie tandis qu'une dizaine d'autres ont été blessés. Ce sont les combattants originaires d'Esira qui ont essuyé les pertes les plus sévères en termes de vie humaine. Les belligérants en étaient venus jusqu'à mettre le feu sur les habitations des deux quartiers opposés. Bilan : 11 maisons furent réduites en flammes.
Pour l'heure, une question de règlement de compte a été évoquée comme ayant été à l'origine du conflit. Il s’agit d’un règlement de compte en lien avec un meurtre, selon une source locale. Et les habitants d'Esira auraient accusé ceux d'Emitray d'avoir perpétré l'assassinat. De leur côté, les Forces de défense et de sécurité ont dû se déployer rapidement sur place pour s'interposer. Leur intervention a permis de faire baisser d’un cran l'accrochage sans qu'elle n'ait pour autant permis de dissiper totalement les vives tensions qui font s'entredéchirer les deux groupes en hostilité. Certes, des pourparlers ont été entamés. Mais cela n'a pas permis de réconcilier les belligérants. Même constat d'impuissance chez d'autres entités qui se sont proposé comme médiateurs tels que les chefs fokontany, les « kalony » et autres « Jado ». Même fiasco dans les efforts menés par les maires des localités concernées pour un apaisement. A preuve, les deux parties rivales auraient juré de déclencher encore les hostilités.
De guerre lasse, les élus locaux, à savoir le gouverneur, les conseillers municipaux, les députés de la Région, et enfin le chef de l’Organe mixte de conception ou OMC local, ont convoqué une réunion d'urgence pour étudier une résolution, et cela afin de tenter de mettre un terme à ce conflit meurtrier.
Franck R.
Une grande perte pour le milieu culturel malagasy. L’historien et talentueux conteur, salué pour son érudition et son enthousiasme dans l’art de transmettre sa passion, a rendu l’âme samedi dernier. Jaoravoana Paul dit « Paul Congo », le passeur d’histoire le plus célèbre de la partie nord de l’île, s’en est allé à l’âge de 71 ans. « C’est avec une profonde tristesse que nous apprenons la disparition de l’historien et militant Jaoravoana Paul dit « Paul Congo. Il vient de nous quitter dans sa Province natale à Antsiranana pour rejoindre les ancêtres dans la matinée du samedi 4 février », annonce l’association « Fikambanan’ny Mpikabary Malagasy » (FIMPIMA) et la Direction régionale de la communication et de la culture - Diana dans leurs pages Facebook.
Cette annonce ravivera à coup sûr les souvenirs émus de plusieurs générations d’enfants bercés par sa voix. Paul Congo, né vers 1952 à Takoamanondro du District Ambanja, c'est d'abord une voix, celle d'un passionné d'histoire qui captivait la partie nord de Madagascar dans les années 1990 et 2000, en faisant l’animation à la station « Radio Varatraza ». Il a été élevé au grade de Commandeur de l'Ordre national, hormis de nombreuses distinctions honorifiques qu’il a obtenues. Ce grand historien possède une immense culture et une étonnante curiosité aux rapports existant entre mythe et histoire. Il est également un spécialiste et fin connaisseur des contes sakalava-antakarana. Doté d’une exceptionnelle capacité, il enseignait, à sa manière, la sagesse ancestrale à travers ses contes.
Un homme accompli
Mais l’homme n’était pas seulement un conteur de talent. Paul Congo a également beaucoup accompli dans le domaine de la communication et de la culture. De nombreux auditeurs ont savouré les histoires qu’il a réalisées et diffusées à la radio régionale « Radio Varatraza » dans les années 1990 et 2000. Il est aussi l'un des fondateurs de l’association « Fikambanan’ny Mpikabary Malagasy » de la Province d'Antsiranana et président de ladite association depuis 2007. Il a également été pendant longtemps à la tête du service culturel de la Région de Diana. Selon le communiqué du ministère de la Communication et de la Culture et d’après ceux qui l’ont connu, Paul Congo était un homme de paix et de dialogue. Il a passé sa vie entière à faire aimer l’histoire au grand public. Cet homme était toujours accessible. Il n’était pas avare de conseils et n’hésitait pas à transmettre sa connaissance et ses expériences aux jeunes. L’historien n’a eu de cesse de familiariser le grand public avec l’histoire. Le défunt a laissé derrière lui une épouse et 10 orphelins.
Sitraka Rakotobe
L’équipe nationale Barea’ se hisse au troisième rang, du niveau continental, en battant par un but à zéro les « Mena », l’équipe nationale du Niger. Un but signé in extremis par Jean Yves Razafindrakoto à la 89ème minute, du temps réglementaire. Pour la première fois de l’histoire du football malagasy, version CHAN, que Madagasikara accède en demi- finale et gagne le match pour la troisième place en décrochant ainsi la médaille de bronze et sacrée « troisième meilleure équipe du continent ». Un niveau jamais atteint durant les cinquante dernières années.
Deux compétions phares incarnent le football africain : la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) et le CHAN (Championnat d’Afrique des Nations). Un modèle de compétitions valable dans tous les continents sous les auspices de la FIFA. CAN et CHAN ont chacun son aura particulière et géré par la même instance à savoir la CAF (Confédération africaine du football). Si la première donne l’accès à tous les joueurs évoluant à l’extérieur, les expatriés, le second est réservé uniquement aux joueurs locaux. Des deux versions de compétition, il y a tout de même une tacite classification qui ne dit pas son nom, Barea et Barea’ (ainé et cadet). La CAN jouit d’un rayonnement beaucoup plus large que le CHAN. Un fait incontestable !
Les cinquante dernières années, Madagasikara brillait par son absence à toutes les phases finales des compétitions de foot, CAN et CHAN confondus. Les équipes nationales n’ont pas pu franchir au-delà du Canal de Mozambique. Toutes les tentatives échouèrent. Le Club M de Schnitger a bien failli briser le cercle vicieux mais quand Dame politique et Monsieur régionalisme s’invitent au jeu, c’est la déroute ! Il fallait attendre le tout début du troisième millénaire, à partir de 2000 pour que les choses bougent et changent progressivement si bien qu’en 2019, le pays a fait un bond en avant. Espérons que la tendance se confirmera.
Jean-Claude de l’Estrac avait entièrement raison quand il affirmait tout récemment lors d’une interview que « Madagascar était l’eldorado de l’océan Indien ». Un constat partagé par des observateurs confirmés. En effet, la Grande île des années 60 brillait presque dans tous les domaines d’activités allant du socio-culturel à l’économie en passant surtout par le sport. Les produits d’exportation agricoles prospéraient et caracolaient au top dix du continent. La vanille, le girofle, le letchi malagasy, à titre d’exemple, excellèrent sur le marché mondial (européen, américain …). Les consommateurs européens raffolaient du riz de luxe blanc malagasy le « Madrigal », les Américains du « riz rouge », etc. L’université de Madagascar Charles de Gaule, de par son rayonnement, attirait des étudiants africains, mauriciens, etc. Le domaine du sport n’était point en reste. Madagascar se mesurait sans complexe face aux grandes équipes africaines du Sénégal, de la Côte-d’Ivoire, du Cameroun, etc. et ce, en basketball, volleyball ou football ou en rugby. Mais les évènements de 72 ont tout chamboulé. Depuis, le pays recule et rétrograde.
Seulement, avec l’exploit des Barea’, on ose espérer que le pays puisse enfin accéder à l’étage supérieur. En tout cas, ce n’est pas impossible dixit Roro, notre brillant entraineur.
A la lumière avec laquelle ils ont été royalement reçus hier, avec quelle effervescence populaire, nos jeunes héros étaient aux anges.
Ndrianaivo
Célébration populaire. Des centaines de milliers de personnes de la Capitale malagasy ont réservé un accueil triomphal, digne de champions, à leur équipe nationale après l’exploit de celle-ci au Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), une compétition réservée aux joueurs évoluant dans les championnats locaux africains. Un exploit historique car les Barea A’ ont remporté la première médaille continentale au football malagasy.
Madagascar a écrit une nouvelle page de l’histoire de son football après le parcours des Barea au CHAN. Après avoir battu le Ghana (2-1), le Soudan (3-0) en match de groupe puis le Mozambique (3-1) en quarts de finale, la Grande-île, pourtant novice de la compétition, décrochait son ticket pour les demi-finales où le pays a fait face au Sénégal contre lequel il s’est incliné seulement sur le petit score de un but à zéro. Ils ont terminé sur une bonne note après un parcours héroïque, face au Niger en remportant le match pour la troisième place en gagnant cette petite finale (1-0) sur un but salvateur de Jean Yves à la 89eme de jeu.
Madagascar devient ainsi le seul pays d’Afrique à parvenir à la troisième place de la compétition depuis sa création pour une première participation.
Un exploit qui ne vient pas du hasard, contrairement à ce qu’affirme un consultant français lors d’une émission française. Sur les cinq matchs disputés, Madagascar a remporté le titre de meilleur joueur quatre fois, à commencer par Tsiry contre le Ghana puis par Koloina dit Racool contre le Mozambique et Dax l'a gagné deux fois, en demi-finale contre le Sénégal et lors du match pour la troisième place contre le Niger. Le football malagasy a gagné encore une fois de plus le respect du continent et du monde entier.
Un exploit salué comme il se doit par la population malagasy. Depuis l’aéroport d’Ivato, toutes les routes de la capitale étaient bondées de gens, brandissant de drapeau tricolore malagasy, vêtus de tee-shirt floqué « Misaotra Barea », et de vêtements de couleurs blanc-rouge-vert.
Les rues reliant l’aéroport et le stade Barea Mahamasina, sur lesquelles passait l’équipe nationale, depuis le hall de l’aéroport, de Tsarasaotra- Ankorondrano- Analakely jusqu’à l’entrée du stade Mahamasina sans compter ceux qui ont déjà rempli le stade, étaient remplies par une foule en liesse venue acclamer leur héros national. Des images de liesse qui rappellent de bons souvenirs. Les Barea ont encore une fois de plus réuni tout un peuple après 2019 après la CAN d’Egypte.
Le Président de la République Andry Rajoelina, dans une prise de parole hier au stade Barea Mahamasina, a annoncé qu’il allait remettre des distinctions honorifiques aux membres de l’équipe nationale pour avoir « porté haut les valeurs du pays ».
Elias Fanomezantsoa
Qu’importe le domaine d’activité professionnelle, on ne peut plus faire l’impasse sur le marketing d’influence pour faire parler d’elles et soigner leur marque. Les influenceurs ont un pouvoir considérable sur leur communauté et les sociétés doivent s’en servir. Passionné de voitures avec près de 60.000 abonnés, Jean-Baptiste Ramananjanahary (fb : Jean-Ba Mécano), un grand bonhomme de 52 ans, marié et père de quatre enfants, transmet quotidiennement des conseils de mécanique, des avis sur des modèles, des pièces, des astuces et des recommandations à ses abonnés.
A l’affût des progrès technologiques
Présentement, Jean-Ba Mécano dirige, d’une main de fer, son garage composé d’une dizaine d’apprentis et de mécaniciens chevronnés, situé sur la route du By Pass. Autodidacte dans le sang, l’homme ne s’est pourtant pas tourné directement vers la mécanique dans ses choix académiques. En effet, spécialisé dans l’électrotechnique à l’école nationale supérieure polytechnique de Vontovorona, rien ne le prédestinait à s’engager vers la voie mécanique. Du moins d’après ses dires.
Cependant, avec l’avènement des importations de voitures récentes avec à leurs bords, de plus en plus de technologie électronique, il était tout à fait naturel que les demandes en main- d’œuvre spécialisée dans l’entretien de ces modèles modernes soient boostées par le marché. C’est dans ce contexte que Jean-Ba Mécano, après ses années d’études en électrotechnique et son expérience, il a très vite compris qu’il est nécessaire pour lui d’aller au-delà de sa formation initiale, en se spécialisant. Il choisit donc de se consacrer notamment à tout ce qui est en rapport avec les modèles de véhicule BVA ou boîte de vitesse automatique. Il s’intéresse précisément aux systèmes hydrauliques, électroniques et électrotechniques qu’il manipule et répare les yeux fermés.
Il s’est alors tourné vers ce marché florissant depuis 2014. Depuis cette année charnière dans sa carrière professionnelle, il a accueilli et formé près d’une quarantaine de jeunes mécanos qui partagent avec lui cette même passion pour la technologie. Parmi ces jeunes, Jean-Ba ne désespère pas encore de dénicher la perle qui pourra assurer la relève dans la mesure où aucun de ses enfants n’a, pour le moment, décidé de suivre les pas du patriarche. Un sens du partage qui l’amènera à se projeter vers une extension de ses activités à l’international dans un futur proche dans la mesure où il est déjà en contact avec plusieurs professionnels européens pour ce projet.
« Vous n’avez pas besoin de faire des études d’ingénieur pour réparer des voitures. Par contre, les formations pour devenir mécanicien sont nombreuses et dépendent du nombre d’années d’études que vous souhaitez effectuer et des connaissances en mécanique, sur les propriétés des fluides, en technologie et informatique que vous voulez avoir », lance-t-il entre deux coups de clés à douille sur le montage de la boîte de vitesse d’une Ford Ranger qui a été malmenée après des milliers de kilomètres de sortie off-road.
Rigueur et professionnalisme
Recevant une vingtaine de clients hebdomadairement, l’équipe de mécaniciens dirigée par Jean-Ba s’impose une manière de travailler méthodiquement.
« D’abord et avant tout, il faut se questionner à savoir quelle utilisation veut-on faire du garage. Plusieurs produits sont intéressants à utiliser dans le garage, ceux-ci optimisent l’espace. Les étagères ou les tablettes sont incontournables. Des armoires verrouillables sont aussi essentielles dans un garage. On peut y ranger les produits chimiques, les outils dangereux et les objets de valeur. En conclusion, il est simple d’utiliser son garage efficacement. Il faut acheter le matériel nécessaire, prendre le temps d’y réfléchir et se débarrasser du matériel inutile. C’est un endroit sous-estimé qui se doit d’être utilisé à son plein potentiel ».
Par ces quelques indications, on voit tout de suite la rigueur et le professionnalisme que le chef mécanicien s’efforce de transmettre à ces jeunes collaborateurs. Une efficacité qui se reflète ainsi sur la façon même que l’équipe a, de ranger tout l’ensemble des outils du garage après chaque utilisation, contrairement à certains endroits où le bric- à - brac est monnaie courante et où la douille de 10mm peut se perdre facilement dans les dédales d’un amas de clés entassées ou éparpillées partout dans l’atelier.
« Devenir un mécanicien chevronné nécessite une bonne formation de base, beaucoup d’expériences et un développement de nouvelles compétences à travers l’apprentissage. Lorsqu’il est question de trouver des solutions pour réparer un véhicule en atelier, les apprentis tout comme les mécaniciens les plus chevronnés peuvent s’informer sur les bonnes pratiques », avance notre chef de garage.
En effet, pour éviter les problèmes, les mécaniciens-réparateurs d’automobiles doivent, dans un premier temps, suivre les manuels des constructeurs et de ses procédures de diagnostic. Les informations disponibles dans ces manuels permettent de comprendre pourquoi le remplacement d’une pièce est nécessaire, par exemple.
L’amour de l’automatique
L’équipe de JBM est composée de partenaires forts de plusieurs années d'expérience en boîtes de vitesse automatique. Nous intervenons sur tout type de boîtes automatiques et proposons également des boites reconditionnées. En cas de panne, nous réalisons le diagnostic et établissons gratuitement le devis. A noter que l'essentiel des pannes de boite de vitesse automatique est imputable à un défaut ou un retard de vidange.
Une boite automatique est un assemblage minutieux comportant une multitude de pièces différentes. Sa robustesse dépend de la précision avec laquelle l'assemblage est réalisé. Souvent, les propriétaires de boite automatique se plaignent que ces équipements sont sensibles ou fragiles. Un constat qui est dû le plus souvent à un manque d’entretien. On rencontre en effet le même type de problème qu'avec un moteur sans entretien ni vidange. En cas de dysfonctionnement, il est possible d’opter pour un échange standard, faute d'équipement suffisant pour procéder à une réparation. Ainsi, l’équipe de JBM peut proposer un échange standard ou une réparation, plus adaptée et bien moins coûteuse. Une boîte automatique est en effet robuste et réparable dans la plupart des cas.