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5 000 demandes en instance. « Transparency International » a présenté hier à l’hôtel Panorama, Andrainarivo le résultat de son étude concernant le risque de corruption dans l’octroi des permis miniers. En effet, malgré le gel en 2011, huit permis sont délivrés durant l’ancien régime. « Le Gouvernement a suspendu l’octroi des permis en 2011. Malgré cette disposition, huit permis ont pu être délivrés dont deux en 2017 et six en 2018. Et pourtant, 5 000 demandes restent en instance. Vu cette situation, l’octroi de permis miniers rend impossible l’application du principe " premier venu, premier servi " car ceci ne garantit pas le respect de l’ordre de priorité pour la séquence des signatures au niveau du ministère.

Le début d’une économie circulaire. Une première usine de valorisation des déchets verra bientôt le jour dans le fokontany d’Antsaramasina, à 5 km de la ville de Toamasina. Construite sur une superficie totale de 8 000 m2, cette usine va ainsi produire, à partir des déchets de la ville portuaire, du charbon et des sachets écologiques. L’objectif étant de supplanter le charbon de bois et les sachets en plastique, réputés comme nocifs pour notre environnement. « La ville de Toamasina sera une ville pilote pour voir le développement de l’usine et du triage des déchets. Ainsi, cette usine transformera les ordures de la ville et de ses environs.

Lalatiana Andriatongarivo a fait le point sur la situation, hier, face à la propagation du Covid-19.  Et ce, au cours de l'émission hebdomadaire « Tsy ho tompotrano mihono » sur les ondes de la Radio nationale malagasy et d'une centaine d'autres radios privées de la Grande île. Le porte-parole du Gouvernement a appelé les citoyens à ne pas entrer dans “un état de panique”, à l'égard de la pandémie du virus. Tout en soulignant le sérieux de la situation dans son intervention, Lalatiana Andriatongarivo a souligné qu'il n'y avait aucune raison de céder à la panique. Elle a souligné la nécessité de ne pas verser dans la « surréaction » et à rester calme.

Un coup d'arrêt à la polémique ! Les contestations autour de la légitimité des institutions en place issues des dernières élections organisées depuis l'année 2018 n'ont plus lieu d'être. « Les Institutions issues de ce processus électoral ont été reconnues comme pleinement légitimes, grâce à l'implication et la maturité démocratique de tous les acteurs de la vie politique nationale », peut - on lire dans un communiqué du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), hier. Cette agence onusienne souligne ainsi le caractère incontestable des résultats électoraux et met désormais à la disposition du public un rapport relatif au bilan du cycle électoral 2017 - 2019. Un rapport issu d'un atelier organisé le 28 au 30 janvier derniers à l'initiative de la Haute Cour constitutionnelle et de la CENI, avec l'appui technique et financier du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), à travers le projet de Soutien au cycle électoral à Madagascar (SACEM). 

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La une du 14 mars 2020

« Herold » prochain nom du système qui atteindra les critères de baptême. Un risque de cyclogenèse est prévu à l’Est de Cap Masoala plus précisément  vers la fin de la semaine
 La probabilité de voir évoluer la zone suspecte en une tempête tropicale est supérieure à 90% à partir de Dimanche. Cette information publiée par cycloneoi, blog spécialisé sur les cyclones tropicaux dans la journée d’hier a été confirmée par Météo Madagascar dans un communiqué  spécial. Les études météorologiques effectuées par les prévisionnistes d’Ampandrianomby  annoncent une poursuite progressive de l’intensification de la zone perturbée pour les prochaines 48 heures. « La zone suspecte suivie depuis plus d’une semaine a connu une amélioration de configuration durant les dernières 24 heures. Des amas nuageux se sont développés autour de son centre avec une consolidation de la circulation en basse couche. La pression au centre reste pour le moment estimée à 1004 Hpa. Le vent le plus fort est de l’ordre de 46 Km/h assez loin du centre » précise la Direction Générale de la Météorologie (DGM)
Pour toutes raison, souligne-t-elle, le stade de Tempête Tropicale pourrait être atteint vers samedi ou dimanche prochain. En termes de trajectoire, le scénario probable retenu ce jour (Ndlr : hier) dirigera le système vers les îles sœurs (Maurice/Rodrigues), ce qui laissera Madagascar à l’abri de danger potentiel. Toutefois, des convergences améliorées pourront déclencher des orages sur Analanjirofo et SAVA en liaison avec le système. « Le temps à Madagascar devrait ainsi rester de type classique mixte hivernal et estival suite à la persistance des alizés. Le risque de formation d’une Tempête Tropicale à l’Est de Madagascar est revu en hausse de modérée à fort à partir de demain. Une situation est désormais placée sous surveillance » rajoute météo Madagascar. « Les habitants de l'ensemble des Mascareignes et dans une moindre mesure de l'Est de Madagascar  notamment entre la péninsule de Masoala et Tamatave devront se renseigner régulièrement de l'évolution de la situation ces prochains jours » avance cycloneoi pour sa part.
Toujours selon la DGM, les conditions environnementales semblent s’améliorer lentement par humidification de la moyenne troposphère, baisse du cisaillement de vent et une diffluence soutenue en altitude. Le contenu énergétique de l’océan est correct (29°C).
Recueillis par KR.

Actuellement, une des trois femmes entraînées dans une affaire d’un voyage clandestin vers  Dubai, croupit en prison après le déferrement de l’affaire mardi. Il s’agit d’une présumée passeuse. La genèse de l’affaire. Samedi dernier, cette dernière  fut arrêtée par les limiers de la Police des enquêtes spécialisées. Le fil de l’enquête a permis  de retrouver ses traces dans le quartier des 67ha. L’interpellation a été rendue possible à la suite de sa  dénonciation par l’une des candidates au voyage. Mardi dernier, la première fut provisoirement incarcérée à l’issue de son déferrement.

L’affaire   a démarré par le guet-apens que la Police a tendu à l’une des candidates à l’émigration à Dubai. Elle était sur le point de demander une attestation de déclaration de perte en vue du remplacement d’un passeport lorsque le pot aux roses a été étalé au grand jour, du moins aux yeux de la Police. Pourtant, lorsqu’on l’avait soumise à une série d’interrogatoire, la dame n’a pas pu nier les faits. En effet, elle a fini par avouer son intention de partir pour Dubai où elle envisagera de travailler comme femme de ménage.

L’enquête a  aussi permis de savoir que son amie à elle était également sur le point de s’embarquer pour Dubai le 7 mars dernier, et qu’elle a déjà tous les papiers nécessaires comme le visa ou le billet d’avion lorsque la Police l’a interpellée. Enfin, elle a indiqué la piste de la présumée commanditaire, celle qui avait été interpellée aux 67ha.
Depuis ces deux dernières années, Dubai apparaît comme l’Eldorado pour certaines femmes du pays. Conscient de cette fascination de celles-ci pour cette nouvelle « Terre promise », le réseau de trafic d’êtres humains travaille d’arrache- pied pour y trouver une source d’argent facile, et ce, par l’arnaque pure et simple. C’est ce qui s’était produit en août 2019 lorsque les autorités aéroportuaires d’Ivato ont intercepté sept travailleuses malagasy. Comme avec cette récente affaire aux 67ha, les victimes se sont vu également le même genre de promesse, un emploi, alors qu’il n’en a été jamais question, sauf que sur le papier bien sûr.
Franck R.
 

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De la mauvaise foi !

Soyons honnêtes ! Les acteurs politiques malagasy, hommes et femmes confondus, notamment  ceux ou celles évoluant dans la sphère de l’opposition, manquent cruellement du sens de l’honnêteté, entendre intellectuelle. L’éthique politique leur fait défaut. Sous d’autres cieux où la démocratie joue pleinement son rôle de moteur du changement et de stabilisateur du pays, l’opposition en tant que force de la contrebalance contribue à  l’équilibre du pouvoir. Dans un pays comme le nôtre, les acteurs de l’opposition agissent en véritables déstabilisateurs sinon en authentiques destructeurs. Ils sapent la démocratie à la base et créent des foyers de tension ici et là. De par leur comportement, ils font preuve de la mauvaise foi ! Une absence complète d’un code de conduite politique indigne d’anciens Chefs d’Etat et d’éventuels hauts responsables du pays. Des gestes et actes qui désorientent l’opinion. Les simples citoyens perdent le Nord et s’inquiètent de l’avenir de la Nation.
Des candidats échouant à l’élection présidentielle de 2018 ainsi que des élus parlementaires des formations politiques  des deux anciens régimes TIM et HVM réclament ou exigent, c’est selon, qu’on annule tous les votes d’à partir de 2018 et par la suite qu’on passe à de nouvelles élections sur la base d’une nouvelle liste électorale. Soyons honnêtes et sérieux !
Tout était parti de la controversée déclaration du vice-président de la CENI Rakotonarivo Thierry  selon laquelle il existe de « graves anomalies » dans la liste électorale mise à l’usage des électeurs. A qui la faute ?
Pour un esprit obtus et irresponsable, la faute incombe toujours aux « autres ». Néanmoins, si les états-majors politiques, surtout ceux de l’opposition, ont pris la peine de vérifier ou contrôler la liste électorale au bureau du Fokontany, un acte que la CENI recommanda à plusieurs reprises aux dirigeants politiques de le faire, les anomalies ont pu être détectées en temps opportun. Le TIM et le HVM et bien d’autres formations se sentant victimes n’ont qu’à mordre le petit doigt. Et s’ils considèrent que les élections à partir de 2018 sont nulles et non avenues, ils doivent en premier lieu démissionner de leurs postes, s’ils sont honnêtes envers eux-mêmes.
Au Sénat, le dernier rempart du HVM, les sénateurs font montre d’une mauvaise foi et d’une malhonnêteté intellectuelle sans précédent. Ils cherchent la petite bête, tout juste pour retarder le processus de régularisation  relatif à la ratification des 9 ordonnances prises par le Chef de l’Etat et cela dans un cadre purement légal et … constitutionnel. Tellement idiots et inconséquents qu’ils arrivent jusqu’à bloquer l’ordonnance relative au recouvrement des avoirs illicites inscrit dans le projet de loi n° 2/2020. Conséquence immédiate, les sénateurs se trouvent nez-à-nez face à l’armada des instances en charge de la traque de la corruption telles  que le Conseil supérieur de l’intégrité (CIS), le Bureau anti-corruption (BIANCO), le Service des renseignements financiers et le Pôle anti-corruption (PAC). Chose que Rakotovao et autres n’ont pas prévue. Dénués du bon sens, ils se font piéger par leur propre ineptie. Au banc des accusés, les sénateurs HVM auront fort à faire pour se disculper.
De toute manière, quoi qu’il en soit de leur mauvaise foi, TIM et HVM ne pourront pas prendre en otage la vie et les intérêts supérieurs de tous les Malagasy.
Ndrianaivo


Le vice-prйsident de la Commission йlectorale nationale indйpendante Thierry Rakotonarivo a dйmissionnй hier de son poste. Une dйmission acceptйe par le bureau permanent de la commission. La CENI a saisi la Haute Cour constitutionnelle pour constater la vacance de poste afin d’entamer la prochaine dйmarche pour son remplacement.
« Le 11 mars, monsieur Thierry Rakotonarivo a déposé sa démission auprès de monsieur le président de la CENI, qui a été constatée le même jour par le bureau permanent par une délibération ». C’est ce qu’a lu hier le président de la CENI Hery Rakotomanana lors d’un point de presse à Alarobia en présence des membres de cette commission. C’est donc la version officielle concernant cette affaire qui dure depuis quelques semaines. Le vice-président de la CENI a donc fini par démissionner de ladite commission.
Et dans le même communiqué lu par le président de la CENI, il a été écrit en premier lieu que « Cette procédure de destitution a été décidée de manière concertée avec monsieur Thierry Rakotonarivo, avec une prise de conscience commune, que c'est la seule démarche qui puisse ramener le calme au pays ». Il s’agit bel et bien de la requête en destitution du bureau permanent de la CENI à l’encontre de son vice-président et qui a fait polémique, en date du 5 mars 2020.
Mais que s’est-il passé au sein de cette commission entre le 5 mars, date de dépôt de la requête en destitution par le bureau permanent, et le 11 mars 2020, date de dépôt de la démission de Thierry Rakotonarivo ? Que s’est-il réellement passé durant ces 6 jours ? Mais aucune explication n’a été apportée par la CENI hier, le président de cette commission s’est juste contenté de lire le communiqué, en ne répondant pas aux questions des journalistes. Le motif avancé est de ne pas aggraver la situation et d’apaiser les tensions qui existent aujourd’hui.
En tout cas, la CENI a saisi hier la HCC pour faire constater la vacance de poste en son sein. « Si Ia HCC va répondre favorable à cette requête de constatation de vacance de poste, nous allons saisir l'Assemblée nationale pour entamer les formalités de remplacement du concerné », poursuit la CENI. Le remplacement de Thierry Rakotonarivo est donc lancé. Le vrai motif de cette « destitution » est « d'avoir livré des informations non recoupées, qui n'ont pas eu I ‘aval du bureau permanent de la CENI, mais qui ont apporté des troubles au pays », révèle le président de la CENI.
La commission a expliqué que cette anomalie ne date pas de la présente CENI mais avait toujours existé dans le fichier électoral depuis la refonte de 2013. Elle a avancé à titre d’exemple que 94,09 % des CIN avec numéros à doublon étaient délivrées avant 2018. Affirmant qu’elle a toujours joué la transparence, la CENI explique que cette situation a été révélée pour la première fois lors de I'audit de l'OlF en septembre 2018, puis lors de son rapport annuel de 2018 et celui de 2019. - Enfin, cette information est encore sortie lors de I'atelier-bilan du SACEM qui s'est déroulé le mois de janvier dernier.
Le sort de Thierry Rakotonarivo est donc scellé. La constatation de la vacance de poste par la Cour d’Ambohidahy déclenchera la procédure de remplacement. Thierry Rakotonarivo est en effet le représentant de l’Assemblée nationale au sein de cette commission.

Principe de navette parlementaire oblige, les 6 ordonnances prises par le Président de la République contenues dans le projet de loi n°001/2020 et le projet de loi n°002/2020 ont de nouveau atterri à l’Assemblée nationale. Suite au rejet par le Sénat de ces deux projets de loi, des travaux de commission ont eu lieu hier dans la matinée au niveau de l’Assemblée nationale. Dans le milieu de l’après-midi, les ordonnances ont été examinées et adoptées en séance plénière par 82 députés de l’IRD et les députés indépendants du Groupe parlementaire républicain. Les députés du TIM se sont visiblement abstenus de voter.  Aucun amendement n’a été apporté par les députés. Saluant le vote à main levée, le ministre de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics, représentant l’Exécutif,  Hajo Andrianainarivelo a évoqué des députés fidèles à leurs principes et qui ont tenu parole. Pour rappel, le projet de loi n°001/2020 du 26/02/2020 autorise la ratification des ordonnances 2019-002 du 15 mai 2019 portant loi organique modifiant et complétant certaines dispositions de la loi organique n°2018-008 du 11 mai 2018 relative au régime général des élections et des référendums, 2019-006 du 28 mai 2019 portant loi organique modifiant certaines dispositions de la loi organique 2015-007 du 3 mars 2015 fixant les règles relatives au fonctionnement du Sénat ainsi qu’aux modalités d’élection et de désignation des sénateurs de Madagascar, et 2019-009 du 22 juillet 2019 modifiant et complétant certaines dispositions de la loi modifiée 99-022 du 19 août 1999 portant code minier. Le projet de loi n°002/2020 du 26/02/2020 autorise la ratification des ordonnances 2019-001 du 10 mai 2019 relative au patrimoine routier, 2019-007 du 06 juin 2019 relative à l’ordre national et 2019-015 du 15 juillet 2019 relative au recouvrement des avoirs illicites.
Les deux textes seront de nouveau transmis au Sénat. Les textes vont faire l’objet d’une nouvelle lecture au Sénat qui devrait se conclure, sauf grande surprise, par leur rejet. Une commission mixte paritaire devra alors être mise en place. En cas de désaccord entre les deux Chambres, c’est l’Assemblée nationale qui aura le dernier mot. En tout cas, la corde est raide entre l’Exécutif/l’Assemblée nationale d’un côté et le Sénat de l’autre. Au cours d’une conférence de presse organisée hier à Tsimbazaza, les députés majoritaires à l’Assemblée nationale ont dénoncé le « blocage » du Sénat, consécutif à une « rancune » politique des sénateurs majoritaires envers le Président de la République qui avait annoncé son intention de dissoudre le Sénat.  Parlant notamment de tentative de déstabilisation, les élus du Groupe des parlementaires républicains et du Groupe parlementaire Isika rehetra miaraka amin’ny Prezida Andry Rajoelina affirment que la ratification des ordonnances ne devait être qu’une simple régularisation et que les débats de fond devraient donc être exclus durant les examens de ces textes. La ratification est nécessaire étant donné le maintien en vigueur des ordonnances. Elle doit préserver la continuité de l’Etat et la sécurité juridique, avait précisé la HCC dans sa décision relative à la demande aux fins de caducité des ordonnances prises par le Président de la République. Pour les députés conférenciers, le blocage de l’adoption de ces textes est assimilable à un blocage de l’application d’une loi en vigueur.
La Rédaction

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Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

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