En perpétuel mouvement, la planète Terre bouge dans tous ses états. Fallait-il rappeler qu’elle évolue, non-stop, autour du soleil tout en tournant sur elle-même. Notre planète, la seule habitée jusqu’à preuve du contraire, subit depuis ses origines jusqu’à nos jours de grands chamboulements d’ordre naturel, de grandes évolutions humaines et de grands bouleversements des systèmes sociaux, économiques et politiques. Certainement, le phénomène global perdurera jusqu’à la … fin du monde ! En l’état actuel des choses, les bouleversements sociaux et politiques focalisent nos attentions. Tellement, leurs impacts influent trop sur l’évolution générale du monde que nous ne pouvons pas les ignorer surtout nous dissimuler ni nous soustraire.
La passion se trouve au cœur des valeurs promues par TELMA mais aussi par Mvola. C'est pourquoi, pour la troisième année consécutive, TELMA soutient toujours des grands noms artistiques du pays à l'occasion de l'évènement « Nosy Be Jazz Festival ». Et pour cette édition, l'opérateur est même devenu le sponsor officiel de cet événement avec sa solution de paiement par mobile, Mvola. Du 19 au 22 avril prochain, il va ainsi apporter sa contribution à la réussite de ce grand festival de jazz. Pour cette première collaboration, les organisateurs miseront ainsi sur l'usage de MVola en tant que système de paiement garanti pour faciliter l'accès à l'événement. Un service en package est ainsi proposé aux adeptes de jazz souhaitant y assister. Les tarifs préférentiels sont surtout valables pour des groupes composés de deux à quatre personnes.
C’est confirmé ! Les membres du bureau permanent au sein du Sénat, et le président du perchoir Rivo Rakotovao particulièrement, se trouvent sur un siège éjectable. En effet, ces derniers qui sont issus de l’ancien régime risquent de faire l’objet d’une démarche en vue de leur déchéance. L’information a déjà fait le tour des couloirs de la Chambre haute depuis quelques jours voire quelques semaines. Cela aurait même déjà fait du bruit lors de la session extraordinaire qui s’est tenue au mois de janvier dernier. Un retournement de situation qui pourrait fortement coûter cher au chef de file des cravates bleues.
08 personnes ont été déférées au Parquet du Tribunal de Mahajanga. Auditionnés dans le cadre d’une affaire de faux et usage de faux et abus de fonction, deux d’entre eux ont été placés sous mandat de dépôt. En l’occurrence, le directeur régional de la pêche de Mahajanga et le secrétaire pédagogique de la faculté des Sciences, de Technologie et de l’Environnement de l’Université de Mahajanga. 06 autres personnes entendues ont quant à elles bénéficié d’une liberté provisoire, à l’issue de leur audition. La branche territoriale de Mahajanga du Bureau Indépendant Anti-Corruption (BIANCO) a ouvert une enquête suite à une doléance anonyme relatant des faits soupçonnés de corruption par l’utilisation de faux diplômes perpétrés par le directeur régional de la pêche et des ressources halieutiques de cette localité.
Les techniciens ont surtout pu échanger entre eux et partager leurs expériences durant le tirage au sort. « C’était bien d’entendre Gernot Rohr nous parlait de la préparation du Nigeria pour le Mondial 2018 », se félicite Nicolas Dupuis, sélectionneur de Madagascar.Pour les observateurs, c’est un groupe prenable pour les Barea, il reste à surmonter le complexe. « Il nous reste à accomplir ce devoir qui est de nous mettre dans la grande nation du football. Je pense qu’il n’y a plus de grande et petite équipe. Si nous sommes partis dans cette compétition c’est pour aller jusqu’au bout, ce n’est pas pour avoir peur d’affronter n’importe quelle équipe », avance le sélectionneur national de Madagascar. Quant au capitaine de l’équipe nationale, Faneva Ima Andriantsima, il a souligné que « nous sommes dans un groupe très difficile avec le Nigeria qui est une équipe ayant participé au dernier mondial de la Russie.
Le braquage survenu vendredi soir dans un taxi-brousse et qui a visé trois propriétaires bovins du côté d’Ambohidratrimo, provoque un tollé général. En effet, il s’avère qu’un gendarme était dans le coup. Mais dès le samedi après-midi suivant, l’agent des Forces de l’ordre en cause s’était rendu de son propre chef auprès des autorités. Une information récemment confirmée par la Gendarmerie a indiqué qu’il a d’abord contacté cette dernière par téléphone pour annoncer qu’il était prêt à se rendre. « Nous étions informés sur sa volonté de se rendre dès samedi matin et il l’a fait au cours de l’après-midi », commente une source du côté d’Andrefan’ Ambohijanahary. Avant son possible déferrement prévu normalement ce jour, il était encore soumis à un interrogatoire par ses collègues enquêteurs tout au long de la journée d’hier. Avec son grade « trois barrettes », le concerné travaille au Toby Ratsimandrava. Quant à son rôle dans ce braquage, il est le propriétaire de la Peugeot 309 qui a transporté les bandits. D’ailleurs, sa photo laissée dans la voiture, a facilité la tâche de ses collègues pour l’identifier.
Aucune irrégularité tolérée. Les commerçants opérant dans les pavillons d’Analakely ont fermé leurs portes hier, et cela afin de montrer leur mécontentement face au déplacement des stands de friperie devant leurs échoppes. D’après la vice-présidente de l’association des commerçants des pavillons (FIPAVA), Lantoniaina Sarah, ce n’est que le début de leur grève. Afin de resoudre ce problème, une réunion avec le Préfet de police d’Antananarivo, la CUA, ainsi que les représentants des deux camps adverses, aura lieu ce jour. « En attendant la décision de la CUA, nous continuons notre activité. Pourtant, nous ne tolèrerons aucune irrégularité dans notre enceinte », avance la vice-présidente de l’association FIPAVA. L’installation des marchands de friperie devant les pavillons ne sera pas définitive. Normalement, une fois les travaux terminés, ces derniers reprendront leur ancien emplacement.
A part la gabegie se trouvant sur les routes, les désordres et irrégularités sont constatés surtout sur les arrêts de bus. Bousculades ou la loi du plus fort, ce sont souvent ceux qui ont les plus gros bras qui arrivent à entrer dans le bus, ne laissant aucune chance aux plus petits mais surtout aux personnes handicapées. C’est justement pour réglementer la circulation et mettre de l’ordre au niveau des transports en commun que les « cadenceurs » existent depuis quelques temps. Certes, ces derniers sont peu nombreux pour le moment, mais leur objectif est justement de garantir la sécurité et la sûreté des passagers mais aussi des transporteurs dans la Capitale. Justement, une formation spéciale pour ces cadenceurs a été donnée par le ministère des Transports, et cela à travers la Direction de la sécurité et la sûreté des transports et du tourisme. C’était hier dans la salle de conférence du ministère à Anosy où une vingtaine de cadenceurs ont répondu présents.
Suspicion de corruption. L’affaire concernant l’évacuation sanitaire d’une prisonnière sent à mille lieues la corruption. D’ailleurs, elle –même l’aurait déclaré lors de son audition par la Police suite à la doléance déposée par son poursuivant qui n’est autre que le propriétaire d’une zone franche dans laquelle elle travaillait pendant une décennie. Elle y était en tant que cadre supérieur et bras droit de l’investisseur étranger qui possède à part cette usine à Madagascar sise sur la RN2, deux autres, une en France et une aux Etats-Unis. De cette absence permanente du propriétaire, c’est à la Dame en question, une certaine C.R, à qui il a confié la gestion de son usine. Une confiance trahie par cette employée qui a réussi à détourner 2 milliards Ar dans l’entreprise. Le pot aux roses découvert, C.R. a reconnu les faits et est placée en détention préventive à Antanimora, le mois de novembre dernier.