Plusieurs quartiers de la Capitale seront encore privés d’eau cette semaine. En effet, les travaux au sein de la station de Mandroseza ne sont pas encore terminés. La compagnie nationale d’eau et d’électricité (JIRAMA) a promis qu’au plus tard, la distribution d’eau reviendra à la normale ce week-end.
Etant donné que l’électropompe n’est pas fonctionnelle, les quartiers suivants sont encore sans eau : Ivandry, Analamahitsy, Ambohitrarahaba, Ilafy, Soavinandriana, Soavimbahoaka, Amboditsiry, Ankadifotsy, Anjanahary, Manjakaray, Ankaraobato, Ankadilalampotsy, Belambanana, Fort-Voyron, Faravohitra.
Néanmoins, la JIRAMA, comme solution à court terme, va dépêcher dans ces quartiers des camions-citernes pour que les habitants puissent avoir de l’eau. En plus, dans quelques quartiers comme Analamahitsy, Ambatomaro, Ankatso et Ankaraobato, des tours de distribution d’eau seront organisés à partir de la station de Mandroseza.
Il est à rappeler que le besoin en eau potable de la ville d’Antananarivo tourne autour de 300.000 m3 par jour. Mais actuellement, la Jirama ne peut offrir que 220.000 m3 en raison de la vétusté des installations. Il faut ajouter à cela les vols d’eau à cause des branchements illicites et les gaspillages au niveau des pompes publiques. Avec l’arrêt des deux machines à Mandroseza, 27.600 m3 par jour sont encore à ajouter à ce manque d’eau.
Dans les quartiers cités précédemment, les bidons jaunes envahissent les bornes-fontaines, en attendant une reprise de la fourniture d’eau. Mais d’ici là, les habitants se contentent de l’eau venant des puits ou s’approvisionnent ailleurs.
« Nous, on a les moyens de transporter de l’eau avec notre voiture. Ainsi, quand on part travailler, on s’arrête en route pour prendre au moins deux bidons d’eau destinée aux tâches vitales à la maison », selon Maurice, un habitant de la cité d’Ambohipo.
D’autres personnes utilisent des charrettes pour s’approvisionner en eau dans des quartiers qui ne sont pas touchés par la coupure, quitte à payer un peu plus cher.
N.R.
Intempestives, les coupures d'électricité nocturnes sévissent dans la plupart des quartiers de la Capitale. Les crieurs ont annoncé la mauvaise nouvelle, provoquant un retard de sortie pour la plupart des journaux locaux. Les boulangers et les épiciers ont également été touchés, avec une absence de livraison de pain et de produits alimentaires frais, laissant de nombreux résidents sans options pour leur petit-déjeuner. La JIRAMA, qui semble ne pas avoir d'heure fixe pour ces délestages techniques, chamboule le programme de tous les travailleurs nocturnes. Cette situation a eu un impact dramatique sur de nombreux secteurs, y compris les petits commerces, qui ne disposent souvent pas des ressources nécessaires pour faire face à de telles interruptions imprévisibles. Cette crise énergétique sévit depuis plusieurs jours maintenant, principalement en soirée, affectant gravement les activités commerciales nocturnes dans la région. Ces pénuries électriques surviennent alors que le pays est en période d'étiage, où le niveau d'eau disponible pour les centrales hydroélectriques est au plus bas. Un contexte qui entraîne aussi des coupures d’approvisionnement en eau dans certains quartiers de la Capitale. Cela a exacerbé la situation déjà difficile pour les habitants et les entreprises locales. Bien que les délestages ne soient pas rares en Afrique, la situation à Antananarivo semble particulièrement chaotique, car aucune heure précise n'est communiquée aux usagers pour prévoir ces interruptions. À titre de comparaison, l'Afrique du Sud connaît également des délestages, mais ceux-ci sont planifiés de manière stricte, permettant aux citoyens de s'organiser en conséquence.
Impuissance
Plusieurs quartiers de la ville et de ses environs sont touchés par ces coupures d'électricité imprévisibles, et aucun n'est épargné. La JIRAMA a récemment déclaré qu'il ne s'agissait pas de délestages économiques, mais plutôt de coupures nécessaires pour effectuer des travaux d'entretien des infrastructures électriques. Cependant, les habitants en souffrent énormément, sans aucune garantie que ces délestages temporaires résoudront les problèmes à long terme. Les dirigeants de la JIRAMA sont critiqués pour leur manque de transparence et de communication avec les usagers, laissant ces derniers frustrés et impuissants. Malgré les protestations et les critiques, la compagnie d'électricité et d'eau semble peu encline à prendre des mesures pour résoudre ces problèmes de manière satisfaisante. Les habitants d'Antananarivo continuent de faire face à des incertitudes quant à la disponibilité de l'électricité, ce qui rend difficile la gestion quotidienne de leurs activités. Ils espèrent que les autorités prendront des mesures concrètes pour résoudre cette crise énergétique et garantir un approvisionnement en électricité stable et prévisible à l'avenir. En attendant, la population locale reste dans l'obscurité, littéralement et métaphoriquement, face à un avenir incertain.
Hary Rakoto
Jusqu’à quand et jusqu’où notre pays sera-t-il amené à voguer sur de fictives vagues vers nulle part ailleurs, vers l’impasse ? Le ridicule ne tue pas. N’empêche que vous les supposés acteurs politiques du pays, vous vous lancez comme des clowns potentiellement ridicules à exécuter sur scène des numéros au lieu de faire rire sinon amuser la galerie font grincer les dents. Au final, certains des acteurs de la classe politique nationale font pitié.
Si les uns passent sans transition ni scrupule d’un camp à l’autre jusqu’à vendre leur âme et tourner indéfiniment leurs vestes, d’autres s’amusent à faire des bêtises, à dire n’importe quoi. D’autres encore s’entichent à alimenter de vaines polémiques. D’autres enfin se tiennent debout respectant l’éthique politique tout en restant fidèles, corrects et intègres.
A l’approche de la date butoir de 9 novembre, des alliances se font et se défont ! Des paniers à crabes ici et des alliances contre nature là ! Des resserrements des rangs par-ci et des divorces par-là ! Des ennemis d’hier, amis d’aujourd’hui ou vice-versa ! Du ridiculement vôtre mesdames et messieurs les politiques !
Sur les treize candidats retenus officiellement, les uns attendent « sagement » et peaufinent les stratégies afin de convaincre les concitoyens électeurs. Ils se mettent prêts à démarrer la campagne aussitôt le coup d’envoi donné. Prudence est de rigueur, vigilance est de mise, ce premier lot de prétendants fait montre d’un comportement politiquement correct. D’autres notamment les onze postulants regroupés dans le « Collectif des candidats » prennent le devant de la scène et jouent la cocasse. Tantôt on tire des boulets rouges sur la CENI ainsi que son mode de travail ! Tantôt on remet en cause la légitimité de la candidature du Président sortant Rajoelina Andry ! Tantôt on vilipende la décision de la HCC en particulier relative à la mise en place du Gouvernement collégial ! Tantôt on rejette la tenue du scrutin du 9 novembre et tantôt on le reconnait !
Et le commun des mortels dans tout cela ? Il y en a qui rit. D’autres raillent. Mais la grande majorité affiche leur indifférence. Tellement occupés sinon submergés par les soucis de la vie quotidienne, les Malagasy lambda n’ont qu’à se faire des gesticulations ridicules des acteurs politiques du pays. En fait, à la longue, dans un autre sens, ils s’habituent à ce genre de « conneries ». Spectacles qui frisent le ridicule !
Le Gouvernement collégial n’a qu’une chose en vue : la tenue de l’élection présidentielle le 9 novembre prochain et le 20 décembre pour un second tour si ce sera nécessairement le cas. La hantise à reporter le scrutin dont certains misent discrètement serait une entorse grave à l’esprit de la Constitution. La HCC, la gardienne de la Loi fondamentale, avec le soutien des Forces Vives, les vraies, de la Nation ainsi que les Forces de la Défense et de la Sécurité (FDS), veille strictement au respect à la lettre au Texte fondamental. Aucune tentative de trouble ni des manœuvres de déstabilisation ne seront jamais tolérées. La Communauté internationale veille au grain de manière à ce que la date de 9 novembre ne soit nullement remise en cause.
Gare à vos gesticulations ridiculement vôtre messieurs les politiques !
Ndrianaivo
Les faits remontent vers minuit à Sarimanina, Fokontany de Falihavana à Ampangabe, dans l'Atsimondrano. Des coups de feu y ont déchiré le silence des dormeurs. Sur le sol gisait le corps sans vie d'un inconnu. Il s'agit de l'un des quatre larrons qui ont voulu voler des boeufs, et que les gendarmes ont éliminé lors de leur intervention.
Effectivement, ces tirs d'arme à feu étaient le fait des éléments du poste avancé de la Gendarmerie locale pour mettre hors d'état de nuire un gang spécialisé dans le vol de boeufs. Sur place, les quatre membres de ce gang étaient sur le point de commettre leur vol lorsque le “fokonolona” a donné l'alerte.
Sitôt informés, les membres des Forces de sécurité se sont dépêchés à l'endroit pour en découdre avec ces bandits. Sur le terrain, l'affrontement entre les deux camps s'est déroulé dans l'obscurité totale. Rapidement, c'était la débandade, côté malfaiteurs. Pour leur part, les gendarmes ont dû employer les grands moyens pour empêcher les fugitifs de s'échapper. C'était au cours de cette fusillade que l'un des fugitifs, le prénommé Tovo, fut mortellement atteint par les balles des gendarmes. Le défunt était un résident d'Ampandrilaza. On lui a trouvé encore un téléphone portable et une barre pince. Après un constat par le médecin, sa dépouille avait été transportée à la morgue de l'HJRA, Ampefiloha. Ses compagnons n'étaient pas non plus indemnes : ils ont été blessés mais ont réussi à prendre la fuite.
Franck R.
La voile est levée depuis le 21 septembre dernier pour la première édition du Festival du film documentaire « Ant’Sary Doc Festival ». Un événement qui réunit le public et les professionnels du monde de la cinématographique. Un lieu de rencontre et d’émergence de nouveaux projets. Pour ce faire, ce festival s’engage pour l’éducation à l’image des jeunes créations, ainsi que pour créer de l’impact et de l’innovation dans le milieu du 7ème art à Madagascar et à l’échelle internationale.
Au cœur de ce grand festival se découvre un concours de films documentaires qui a attiré des réalisateurs venus monde entier, marquant ainsi une ouverture internationale. Une trentaine de films documentaires en provenance de Madagascar, du Maroc, du Sénégal, du Burkina Faso, de l’Afrique du Sud, de Maurice, de Mayotte, et d’autres pays ont été soumis, parmi lesquels vingt-quatre ont été sélectionnés pour la compétition.
Le lancement officiel des films en compétition dans le cadre de cette première édition du Festival du film documentaire a démarré en fanfare au « Tranompokonolona » Analakely depuis lundi dernier avec le film « Tavela ». Il s’agit d’une œuvre réalisée par Geoffrey Gaspard. Celle-ci relate la vie de la population de la ville de Diégo à travers le « moraingy », un sport de combat traditionnel malagasy.
Le programme se poursuivra ce jour avec la projection du film court-métrage du réalisateur malagasy Ary-Misa Rakotobe, intitulé « Taste of the sun ».Un film qui proposera un voyage en terre aride, dans le grand Sud de Madagascar, où Zafisolo Louis (l’acteur) considère l’élevage caprin comme une réponse efficace au changement climatique, et notamment à l’extrême sécheresse. S’ensuivra la projection d’autres films tels que « Coumba la Mère des eaux » de Moustapha Fall (Sénégal), « La Fenêtre du Destin » d’Eliane Tekou Donchi (Cameroun), « Le Destin d’un Peintre Paysan » de Sylvaince Christien (Haïti), « Histoire partagée de la Grande guerre en Guadeloupe » de Chantaléa Commin (Guadeloupe), toujours dans la catégorie « courts-métrages ».
En outre, dans la catégorie « longs-métrages », il y aura « Je veux ma part de Terre – Madagascar » de Jean Marie Pernelle (La Réunion) et « Gran Kanal » de Klein Nicolas (La Réunion). A noter que ces projections sont ouvertes au grand public. A l’issue de la compétition, des trophées seront décernés aux meilleurs documentaires dans trois catégories dont le long métrage, le court métrage et l’expérience digitale, ce jeudi 28 septembre à l’Hôtel de ville, Analakely.
En parallèle avec ces projections, des ateliers de rencontre avec des cinéastes et ainsi que des projections de films hors-compétition se dérouleront aussi ce jour à l'Association des médiateurs culturels au niveau du Centre de ressources des arts actuels de Madagascar ADMC-CRAAM, Ankatso, suivis d’une rencontre axée sur l’éducation à l’image auprès des élèves du CEG Antanimena, prévue le 28 septembre. La cérémonie de clôture dudit festival et la remise des trophées auront lieu ce jeudi, toujours à l’Hôtel de ville, Analakely.
Si.R
Le verdict est tombé. Alors que plusieurs rumeurs avaient surgi ces derniers jours affirmant que l’Algérie, candidate aux CAN 2025 et 2027, allait retirer sa candidature, c’est désormais officiel. Dans un communiqué paru ce mardi, la FAF a annoncé le retrait de sa candidature alors que l’annonce officielle des pays hôtes pour les deux tournois allait être faite ce mercredi.
Dans son communiqué, la Fédération algérienne de football explique cette décision par une volonté de se tourner vers le développement du football sur son sol : «La Fédération Algérienne de Football (FAF) a officiellement transmis à la Confédération Africaine de Football (CAF) un courrier par lequel elle l’informe de sa décision de retrait de la candidature de l’Algérie pour l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations Total Energies (CAN), édition 2025 et 2027. Dans cette correspondance, l’instance fédérale a expliqué que ce retrait est motivé par la nouvelle approche de la FAF relative à la stratégie de développement du football en Algérie. La FAF concentre désormais ses efforts dans la réorganisation et la redynamisation du football en Algérie de même qu’elle réitère son engagement indéfectible au profit du développement du football africain. A cette occasion, la FAF adresse ses vifs remerciements à la grande famille du football africain pour la compréhension de sa décision qui ne signifie nullement un désengagement de l’Algérie par rapport au sport- roi en Afrique».
En raison du retrait de l’Algérie, qui n’a plus organisé de CAN depuis 1990, les pays restants en lice sont, pour 2025 : le Maroc, le duo Nigeria-Bénin, la Zambie ; pour 2027 : le Botswana, l’Égypte, le Sénégal et le trio Kenya-Ouganda-Tanzanie. Le Maroc serait le grand favori pour obtenir la CAN 2025.
La rédaction
Le collectif des candidats continue dans sa logique. Depuis quelques semaines, les onze candidats à la présidentielle que compte ce collectif effectuent un road trip à travers la Capitale. Des rencontres au cours desquelles ils croisent différents acteurs de la vie publique. Des rencontres qui, selon les prétendants à Iavoloha, se sont poursuivies ces deux derniers jours. L’objectif réel de ces rencontres reste jusqu’ici une question sans réponse. D’autant qu’à l’issue des rencontres aucune déclaration n’est jamais faite. Dernièrement, ils ont daigné livrer quelques mots pour affirmer notamment qu’il est indispensable de tenir les élections aux dates prévues. Il s’agit en réalité d’une pure comédie. Les propos et agissements de ces candidats trahissent leur véritable objectif qui est et reste de semer les graines de trouble dans le pays. Ils contestent par exemple des décisions de la Haute Cour constitutionnelle réputées pourtant être irrévocables au lieu de se focaliser déjà sur la préparation de leur campagne électorale. La candidature du Président sortant est la principale cible de ces candidats qui manquent d’ambition. Ils jettent également le discrédit sur le processus électoral dirigé par la HCC et la CENI, alors qu’en même temps ils participent à ce processus en ayant effectué le tirage au sort de l’apparition sur le bulletin électoral ou encore en effectuant une précampagne dans les Régions.
Chaos
La dernière en date dans cette stratégie du chaos entreprise par ces candidats est cette annonce faite autour d’une manifestation au Palais des Sports et de la Culture de Mahamasina. Le collectif a annoncé avoir déposé une demande d’autorisation de manifester auprès de la Préfecture de police d’Antananarivo pour pouvoir tenir cette manifestation ce vendredi. Les observateurs pensent à juste titre que les membres du collectif ont donc déjà obtenu l’autorisation de la part de Tafita, responsable de la gérance du Palais de Sports. Cependant, cela ne semble pas le cas. Ces candidats n’ont même pas obtenu une autorisation de disposer de la salle à Mahamasina. L’un des candidats membres de ce groupe affirme avoir « discuté » avec les responsables avant d’avoir tranché la date. Discuter ne veut toutefois pas dire qu’une réservation a été faite ou qu’une avance a été payée. Tafita vient d’ailleurs d’informer qu’il est faux d’affirmer qu’il y aura une réunion des 11 candidats au Palais des Sports de Mahamasina le vendredi 29 septembre. Selon cet organisme, la rencontre prévue par le collectif des candidats n’est pas inscrite au programme du Palais des Sports. Il existe, selon Tafita, un programme clair prédéfini sur la base des demandes reçues et autorisées et celui du collectif des candidats n’en fait clairement pas partie. A l’image de leur impréparation pour la présidentielle, ces candidats ne semblent également pas capable d’organiser une réunion aussi simple au Palais des Sports et de la Culture dans les règles de l’art. A moins que d’autre part, l’intention n’était pas de tenir la réunion, mais de se servir du refus qui va vraisemblablement leur être administré par les responsables pour tenter de rameuter l’opinion à leur cause ou tout simplement pour effectuer un forcing avec les conséquences que cela pourrait entraîner.
La rédaction
La banque BNI Madagascar a organisé un déjeuner en guise de retrouvailles entre les lauréats du fameux « Trophée des jeunes entrepreneurs », hier à Ivandry. L’ancien Président Andry Rajoelina a répondu présent à ce rendez-vous des lauréats de ce concours, et ce depuis son lancement en 2003 jusqu’à aujourd’hui. Ce fut l’occasion pour ces entrepreneurs de discuter et d’échanger de point de vue concernant le monde des investissements et la promotion de l’entrepreneuriat dans le pays.
Pour rappel, Andry Rajoelina a été le premier lauréat de ce concours en 2003. Il a obtenu le prix grâce à son initiative exemplaire dans la création de son entreprise avec succès à l’époque. Comme son nom l’indique, le TJE récompense des jeunes entrepreneurs, hommes ou femmes, à la recherche de nouvelles opportunités et d’innovation avec une initiative exceptionnelle. Les lauréats bénéficient d’un trophée et d’un appui financier conséquent leur permettant de développer leur entreprise.
Ford et Ford Fund, en partenariat avec Tibu Africa, déploient le Global Caring Month 2023 à Madagascar et s'engagent à soutenir les nouvelles générations par le sport. Du 14 au 30 septembre 2023, Tibu Africa, avec le soutien de Ford, déploie une série d'activités spécialement conçues pour améliorer la qualité de vie et les perspectives d'avenir de ces jeunes dans plusieurs pays en Afrique à savoir le Maroc, la Côte d’Ivoire et Madagascar.
Au total, le programme Tibu Summer Camp by Ford s'efforcera de toucher 500 bénéficiaires directs. « Nous croyons fermement que l'éducation par le sport est la clé pour libérer le potentiel de chaque individu », déclare Mohamed Amine Zariat, Ashoka Fellow et président de l'ONG Tibu Africa.