Le dépôt de candidature, l’étape cruciale dans le processus électoral en vue des législatives prend fin. Un épisode émaillé de suspense, de zones d’ombre, de cachotterie, de placage par derrière, des coups bas mais aussi de dépits tire à sa fin.
A partir de ce jour, 11 avril, les choses sont claires. Qui sont les adversaires de qui ? Qui pourront être les alliés de qui ? Après le coup d’envoi lancé par la HCC, suite à la proclamation des listes officielles et définitives des candidats retenus à parcourir pour le scrutin du 29 mai, les choses sérieuses pourront enfin commencer.
Dans le camp de la mouvance présidentielle, au sein de la Coalition de la majorité présidentielle (CMP), une plate-forme qui regroupe des ex de ceci et des anciens de cela qui ont rejoint le camp du candidat Rajoelina lors de l’élection présidentielle de novembre, certains des ténors des formations ont exprimé tout bas leur désenchantement. En fait, des voix s’élèvent déjà quelque part qu’ils ont fait l’objet de laissés-pour-compte, de la cinquième roue, au profit des briscards du TGV. L’épisode de l’établissement du casting pour le choix des candidats fut un tremplin pour certains (des TGV) tandis qu’un dépit pour d’autres. Tous les postes de choix dans les grandes agglomérations, entre autres, les chefs-lieux des Faritany, ont été raflés par les grandes figures du TGV, des fidèles parmi les fidèles, sinon de la plate-forme initiale le MAPAR. Exit les nouveaux venus ! Ils doivent se rendre à l’évidence que le Président Rajoelina n’est du genre à marginaliser ses fidèles compagnons au profit des « nouveaux arrivants » qui agissent en « parvenus ». En général, Rajoelina Andry ne fait facilement le chemin avec de nouvelles têtes surtout en politique politicienne. La prudence est de rigueur ! Il se donne le temps de bien apprécier. Il se méfie des aventuristes !
Du côté de l’Opposition, c’est le branle-bas. Le « samy mandeha samy mitady » prend le dessus. Le « Firaisankina » et le « Kolektifa » ne parviennent pas ensemble à s’arranger. C’est normal dans la mesure où le « chacun pour soi » prédomine. A l’allure où vont les choses, il parait assez compliqué pour les deux facettes de l’Opposition à s’imposer sur terrain. D’ailleurs, il sera difficile pour les électeurs de faire leur choix judicieux entre deux opposants. Le Malagasy lambda qui aimerait jeter son dévolu pour le camp d’en face aura le tournis voire le vertige devant la scène chaotique.
La troisième option, les « indépendants », risque de tirer les épingles du jeu. Faisant figure « d’outsiders », ils vont bousculer les rangs de la CMP et de l’Opposition (les deux tendances confondues). Favorite au départ, la Coalition aura fort à faire dans certaines Circonscriptions pour se débarrasser de certains candidats qui choisissent le camp des indépendants. En tout cas, nombre de personnalités sinon des notables des localités données descendent sur terrain pour tenter leur chance sous les couleurs « indépendants ».
L’élection des députés devient, au fil des années, des enjeux pour les politiciens avides d’intérêts. Les observateurs se désolent de constater qu’on se précipite au portillon non pas pour défendre les intérêts du peuple mais pour de petits calculs mesquins.
Ndrianaivo
Pallier le manque de magistrats dans les Cours malagasy et accélérer les décisions de justice. C’est dans cette optique que 81 nouveaux juges ont rejoint la grande famille du ministère de la Justice. Ils ont prêté serment à la Cour suprême d’Anosy samedi dernier. » . Ils jugeront selon la loi, la justice et l'équité, et ils ne feront pas preuve de favoritisme, ils ne révéleront pas les secrets du tribunal et ils garderont la vérité et l'intégrité liées au fait d'être juges selon leurs actes », d’après les propos recueillis sur place. Portant le nom de « Ilo », cette promotion sera répartie dans différentes régions de la Grande île. Selon la décision du Conseil suprême de la magistrature (CSM), aucun d’eux ne sera muté à Antananarivo. « Certains tribunaux n’ont que deux juges voire même un seul pour tout un District, à l’instar de Maintirano, Ikongo ou Ihosy, Sainte-Marie », indiqua la ministre de la Justice, Landy Mbolatiana Randriamanantenasoa. Avant cette prestation, la cérémonie de remise de diplôme s’est tenue lundi dernier au Centre de conférence internationale (CCI) Ivato. « Ilo » compte 41 magistrats de l’ordre judiciaire, 20 magistrats de l’ordre administratif et 20 magistrats financiers. Ils ont suivi une formation de deux ans auprès de l’ENMG dont une première année en académique et la deuxième en stage pratique.
La ministre des Affaires étrangères du Japon, bientôt à Madagascar. A l’approche de la Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD), des discussions préliminaires seront au programme de Yoko Kamikawa, ministre des Affaires étrangères du Japon. Il sera d’abord question sur la réunion ministérielle de la TICAD en 2024 à Tokyo en vue de préparer la TICAD 9 de 2025 Yokohama, mais aussi la promotion de l'Organisme de formation pour adultes professionnels (OFAP). Il est à rappeler que la dernière édition (8e) a été organisée à Tunis (Tunisie). Elle est organisée par le Gouvernement du Japon, les Nations Unies, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la Banque mondiale et la Commission de l’Union africaine (CUA). Le Japon a de nombreux projets à Madagascar. Le cas de l’exploitation minière à Ambatovy, l’extension du port de Toamasina, les aides dans la réhabilitation d’infrastructures routières et autres appuis à travers la JICA seront également au menu de cette visite.
Réduire la facture numérique. C’est le focus de la rencontre entre la nouvelle ambassadrice de la Corée du Sud, Park JiHyun, et le ministre du Développement numérique, des Postes et des Télécommunications (MNDPT), Tahina Razafindramalo. Tournant autour de ce thème, trois points ont été notamment émergés lors des discussions. D’abord, un projet d’amélioration de la salle TIC (Internet Access Center) de l'école Polytechnique de Vontovorona puis le renforcement des échanges entre les deux Gouvernements sur divers sujets tels que l’e-Gouvernance, les smart cities et l'Internet des Objets (IoT). Enfin, l'organisation d’échanges et de visites avec le secteur privé coréen, notamment avec Korea Telecom, a été évoquée. Celui-ci a commencé à déployer la 6G depuis 2023 et partagera ses expériences dans la mise en place de smart cities dans le monde. Au cours de cette visite de courtoisie, l’ambassadrice n’a pas manqué de féliciter les efforts déployés par le ministère, notamment dans le domaine de l’e-Gouvernance.
Lors de la rencontre, l’ambassadrice a réitéré le souhait du ministre sud-coréen de la Science et des TIC, M.Lee Jong-Ho, d’inviter le ministre du MNDPT à participer au 10ème Forum mondial sur le leadership en TIC (Global ICT Leadership Forum), prévu le 5 juin prochain à Séoul. Cet événement se tiendra en parallèle au sommet Corée - Afrique 2024.
Le Gouvernement américain, à travers l'USAID, va allouer des fonds pour la mise en place d'un Centre d'urgence pour la lutte contre les maladies animales transfrontalières (ECTAD) à Madagascar. Ce projet vise à renforcer les services de santé animale dans le pays pour prévenir et réduire les risques associés aux maladies zoonotiques telles que le choléra, la peste et la fièvre de la vallée du Rift, la peste bovine, à la fièvre aphteuse, à la PPCB, aux pestes porcines classique et africaine. Le projet est dirigé par la FAO Representation - Madagascar Comores Maurice Seychelles et sera mis en œuvre en étroite collaboration avec plusieurs départements ministériels comme la Santé publique, l’Agriculture et l’élevage, l’Environnement ou celui de l’Enseignement supérieur.
En outre, afin de minimiser les risques de contamination à grande échelle, des précautions doivent être entreprise. Il faut vacciner les animaux, traiter les animaux malades, optimiser les conditions d'élevage (densité, température, hygrométrie…) et assurer la mise en place de clôture ou de filet, blocage de l'accès aux points d'abreuvement…pour éviter le contact avec les animaux sauvages.
Ce partenariat vise à assurer une approche holistique dans la lutte contre les maladies animales transfrontalières à Madagascar, en combinant les expertises de différents secteurs pour une réponse efficace et coordonnée.
Vaste coup de filet du commissariat d'Alasora après un vol de survenu récemment dans une entreprise franche, filière textile à Behintsy. En effet, et grâce à un renseignement, les éléments dudit commissariat ont intercepté le véhicule qui a servi au transport des 12 machines volées auprès de ladite société franche, mardi dernier.
Parallèlement, la Police a arrêté 10 suspects dans l'affaire. D'après l'information, une machine vaut 8 millions ariary, l'unité. Mais les bandits auraient envisagé de revendre les machines clandestinement à 700 000 ariary, chacune.
"Tous sont des receleurs de vol. Et ils se sont dénoncés", confie une source policière. Car si 7 d'entre eux ont été arrêtés dans le véhicule sur cette route à Behintsy, véhicule d'ailleurs actuellement immobilisé par le commissariat, les 3 autres larrons le furent également à la suite d'un piège tendu à leur encontre. "Tout comme les 7 premiers, les 3 autres suspects furent arrêtés, cette fois-ci à Analakely, et à la suite d'un piège de la Police. On a fait savoir à ces derniers que la marchandise était fin prête et qu'il leur fallait se rendre à Analakely pour la réceptionner. C'était dans ces circonstances que les trois larrons y étaient cueillis comme des fruits mûrs", renchérit cette source.
Bien entendu, il y a des complices dans cette affaire. Un employé de cette entreprise franche est déjà dans le collimateur de la Police. Mais ce dernier n'est pas le seul. L'enquête sur cette affaire n'est donc pas près de se terminer. A propos, ses complices sont activement recherchés tandis que le déferrement des suspects évoqués plus haut est prévu ce jour, sauf imprévu.
Une autre entreprise franche, également dans la filière textile a été la cible d'un vol à Tanjombato, il y a à peine une semaine de cela. Des suspects, tous des employés de cette entreprise,ont été alors arrêtés et jetés en prison, depuis. Il a fallu au propriétaire brandir la menace d'un chômage technique - si jamais les fils à coudre industriels volés ne sont pas retrouvés- pour que les salariés en cause soient amenés à se dénoncer puis à faire l'aveu.
Franck R.
L’une des plus grandes fêtes musulmanes. Les pratiquants de l’Islam dans tout Madagascar ont célébré comme il se doit l’Eid-al-fitr, hier. Cette célébration symbolise non seulement la fin du mois sacré du Ramadan, mais renouvelle également la foi, le partage et la charité pour les musulmans. D’ailleurs, ces derniers attendaient avec impatience cette journée « bénie ».
Pour Antananarivo, les musulmans ont pris d’assaut les lieux de culte, hier matin. Si la grande prière de clôture du Ramadan s’est tenue au stade Maki d’Andohatapenaka, les mosquées de divers quartiers ont également accueilli les fidèles, venus en masse et unis dans la foi. Pour Mahajanga, la grande prière a été célébrée sur la plage du Petit Village, en présence du gouverneur de la Région Boeny, tandis que celle de Toamasina s’est tenue sur l’Avenue de l’indépendance, honorée par le maire et le gouverneur de la Région Atsinanana.
A Madagascar, la communauté musulmane représente actuellement entre 10 et 15% de la population. L’effectif des fidèles ne cesse d’augmenter ces dernières années, à en croire les associations cultuelles. De plus, les journées de l’Eid-al-fitr et de l’Eid-al-adha figurent sur la liste des jours fériés depuis ces dernières années. D’ailleurs, cette communauté commence à avoir son poids au sein de la société, notamment avec les actions sociales qu’elle effectue régulièrement, au profit des plus vulnérables. Récemment, le Président de la République Andry Rajoelina a passé l’iftar avec l’association FSM, pour exprimer sa solidarité.
L’Eid-al-fitr est une fête de solidarité et de partage envers les plus nécessiteux. Avant la grande prière, il est obligatoire pour tous les musulmans de s'acquitter de la « Zakât el-Fitr ». Il s’agit d’une aumône pour les pauvres, correspondant à 3 kg par de la nourriture de base selon chaque pays ou l’équivalent de 10 500 ariary. Chaque membre de famille doit s’en acquitter. C’est le père de famille qui doit payer pour toutes les personnes à sa charge obligatoire, parent trop âgé, épouse et enfants. C'est une pratique obligatoire de l’Islam.
Comme toute fête religieuse, l’Eid-al-fitr comporte de nombreux rituels, dont les grandes ablutions avant de se rendre au lieu de prière. Sur le plan spirituel, cette célébration permet de revenir sur le mois de jeûne, de faire le point sur les bonnes ou les mauvaises actions accomplies. Parfois, c’est aussi l’occasion de visiter les tombes de proches disparus…
Recueillis par P.R.
Triste nouvelle. Après l’annonce de la disparition de la danseuse Ophélie, de Mikakely bassiste, c’est le domaine du septième art qui est aujourd’hui touché. Un grand acteur considéré comme l’un des pionniers de la saga « Malok’ila » et de la maison de production Scoop Digital, Emmanuel Andriamahefa, s’est éteint hier à l’âge de 63 ans, à la grande tristesse des cinéphiles malagasy. Il était l’un des acteurs le plus aimé des téléspectateurs grâce à son talent et son savoir-faire. Malheureusement, la maladie se fiche que l’on soit célèbre ou talentueux. Aussi, selon sa famille, l’acteur charismatique Emmanuel a été emporté par une maladie qu’il combattait depuis deux ans. Rappelons qu’il est atteint de la maladie de Parkinson. Il a rejoint ainsi, ses quatre camarades de scène du « Malok’ila » entre autres, Marinnah, Randrenja, Johary et Ralay. En effet, tous ceux qui l’ont aimé et connu lui ont rendu hommage sur le réseau social Facebook. Des souvenirs, et surtout des expressions de chagrin ont afflué sur Facebook, en apprenant la triste nouvelle. Une chose est sûre, le personnage d’Emmanuel restera gravé à jamais dans la mémoire des cinéphiles malagasy. Agé de 63 ans, Emmanuel Andriamahefa a laissé une veuve et deux orphelins. Son parcours cinématographique se termine.Pour rappel, il a fait ses débuts dans la saga Malok’ila. Convaincue de son talent, la maison de production Scoop Digital lui a donné un rôle dans d’autres feuilletons tels que « Adisanina », « Gisa Mainty »… Même si depuis quelques années on ne l’a plus vu à l’écran, il n’en demeure pas moins que cet acteur est présent dans les mémoires des cinéphiles malagasy, à travers ses œuvres qui font toujours rire et satisfaire les férus du 7e art. La carrière cinématographique d’Emmanuel Andriamahefa aura duré bien plus d’une dizaine d’années. La rédaction du journal La Vérité s’associe au deuil de la famille et à ses amis, nous leur adressons également nos sincères condoléances.
Si.R
Innovation. Dans le monde connecté d'aujourd'hui, l'accès à Internet est devenu un pilier essentiel du développement socio-économique. Mais dans de nombreuses régions reculées ou isolées, cette connexion reste un défi majeur. C'est là qu'intervient Starlink, le système de connectivité satellite qui s'apprête à faire son entrée à Madagascar, promettant de transformer la façon dont les gens se connectent au monde et qui vise à déployer une constellation de satellites en orbite basse autour de la Terre pour fournir un accès Internet à haut débit, rapide et fiable, même dans les régions les plus éloignées. Avec des milliers de satellites déjà en orbite et des plans pour en déployer des milliers de plus, Starlink a le potentiel de connecter des millions de personnes à travers le globe, y compris à Madagascar. L'une des principales caractéristiques de Starlink est sa capacité à fournir une connectivité robuste dans les zones où les infrastructures terrestres traditionnelles sont limitées ou inexistantes. Cela en fait une solution précieuse pour les régions éloignées, telles que les carrières de mines lointaines ou les navires en mer où une connexion Internet fiable est cruciale pour les opérations quotidiennes. Cependant, bien que Starlink offre une solution innovante pour les zones isolées, son prix reste un obstacle pour de nombreux utilisateurs potentiels, en particulier dans les pays en développement comme Madagascar. Le coût initial pour l'équipement et l'abonnement peut être prohibitif pour de nombreuses personnes, sans réelle économie d'échelle pour le grand public.
Investissements
En comparaison avec les systèmes de connectivité classiques, tels que le haut débit hertzien ou la fibre optique, Starlink présente à la fois des avantages et des inconvénients. Alors que les infrastructures terrestres nécessitent des investissements considérables pour être étendues dans des zones reculées, les satellites Starlink peuvent offrir une connectivité rapide et fiable presque instantanément. Cependant, le coût initial et les frais d'abonnement peuvent rendre Starlink moins accessible pour de nombreux utilisateurs par rapport aux solutions terrestres qui peuvent bénéficier d'économies d'échelle sur le long terme en effet pour le matériel de départ, il faudra compter entre 225 et 450 euros. A Madagascar, où des licences satellites sont déjà exploitées, la venue de Starlink pourrait représenter une concurrence significative pour les fournisseurs de services Internet établis. Alors que les opérateurs existants se concentrent souvent sur les zones urbaines et densément peuplées, Starlink pourrait étendre son empreinte dans les régions rurales et reculées, offrant une alternative attrayante pour ceux qui cherchent une connectivité fiable et rapide. En somme, l'arrivée imminente de Starlink à Madagascar promet de transformer le paysage de la connectivité Internet, en offrant une solution novatrice pour les régions isolées. Cependant, son prix et sa disponibilité restent des défis à surmonter pour assurer un accès équitable pour tous.
Hary Rakoto
Après le championnat national, le premier semestre de l’année 2024 sera très chargé pour la discipline Judo. D’ailleurs, toutes les disciplines olympiques sont dans la dernière ligne droite pour la qualification à Paris en vue des JO de 2024. Pour la Fédération malagasy de judo, l’objectif est focalisé sur la qualification de Laura Rasoanaivo. Cette dernière a de son côté les yeux rivés sur les Jeux Olympiques de Paris. En effet, elle est la seule judokate en course dans la quête de son ticket olympique pour les moins de 70kg.
Drame au sein d'une petite famille de Befitarika, District de Tsiroanomandidy, vendredi dernier. Des coups de feu étaient partis. Et ils ont fait une victime en la personne d'une petite fille de 9 ans. Le projectile s'est enfoncé dans son cou avec une blessure qui ne pouvait être que fatale pour la victime. A l'index, un garçon d'un an son aîné, et qui n'est autre que le propre frère de la fillette. Tous les deux sont les progénitures d'un couple dont le mari est un haut fonctionnaire et non moins candidat aux prochaines législatives. De sources convergentes, l'on parle d'un jeu qui a très mal tourné entre les deux enfants. Et que le drame est survenu pendant l'absence des adultes à la maison. Nous y reviendrons encore.