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Dans notre édition du jeudi 24 septembre, l'Institut national des sciences comptables et de l'administration d'entreprise (INSCAE) réagit sur l'article intitulé « L'Exécutif amorphe contre Raoul Arizaka Rabekoto ». Il y était mentionné que ce dernier, en fuite à l'étranger, est un enseignant dudit institut. La direction générale de l'INSCAE a tenu à préciser qu'effectivement Raoul Arizaka Rabekoto y enseignait mais il est parti sans aviser qui que ce soit à l'institut et n'a donné la moindre explication de son absence.

La Vérité (LV). En tant que statisticien, pouvez-vous faire parler les chiffres pour éclairer sur la situation sanitaire qui prévaut à Madagascar à la date d'aujourd'hui concernant particulièrement la pandémie de Covid-19 ?

Rabetsitonta Tovonanahary Andriamaneho (R.T.A). Je vous remercie de m'avoir invité à m'exprimer sur le sujet. Il est vrai qu'à ce moment précis de cette crise sanitaire mondiale, il s'avère nécessaire de se livrer à une analyse transversale de la pandémie de Covid-19. Pour ce faire, je vous invite à visualiser une photographie du coronavirus à la date du 26 septembre 2020, avec la comparaison des indicateurs dans une dizaine de pays situés dans plusieurs régions du monde. (Voir graphique, ndlr)

Le Premier ministre Christian Ntsay a participé à la 75è assemblée générale des Nations unies. Le numéro deux de l'Exécutif a représenté le Président de la République lors de ce grand rendez - vous international à New York. Cette réunion, qui a lieu chaque année au siège de l'organisation à New York, s'est déroulée cette année de différentes manières. Le locataire de Mahazoarivo, à l'instar des dirigeants des Etats membres, s'est ainsi exprimé à travers un message préenregistré, en raison de la pandémie, depuis la Grande-île. La pandémie, justement, a été le point focal du discours prononcé par le Chef du gouvernement. 

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La une du 28 septembre 2020

Au fur et à mesure, les promesses présidentielles se concrétisent comme c’est le cas du District d’Ankazobe. Outre les infrastructures comme le grand marché de la ville, qui n’attend que son inauguration officielle, prochainement, sans parler des routes qui relient les Communes dudit District, le stade est en voie de finition.  La Commune urbaine d’Ankazobe sera probablement la première localité qui verra son terrain « manara-penitra » livré parmi tant d’autres dans tout Madagascar. Les travaux sont déjà terminés à 70%. D’ici une semaine, la répartition des gravillons qui accueillera le terrain synthétique sera terminée avec la toiture de la tribune centrale de 14 m de longueur. Une fois que l’achèvement du gradin pouvant recevoir 1000 places sera terminé, l’équipe passera à la superfinition, la peinture etc. Effectivement, selon notre estimation, le stade sera livré dans un délai de 30 ou 40 jours », avance Alvin Randrianorosoa, chef de chantier. Le terrain d’Ankazobe sera aussi doté d’une piste d’athlétisme en tartan de 7 couloirs. En un mot, l’infrastructure sera apte à recevoir des matches internationaux après son ouverture.

Chose promise, chose due. Le Centre national d'enseignement de musique et de danse (CNEMD), anciennement appelé Centre national d'éducation musicale de Madagascar (CNEM), se trouve actuellement sous  un nouveau décor. « A notre arrivée en janvier 2019, l'équipe du ministère de la Communication et de la Culture (MCC) a hérité d'un bâtiment vétuste sur le point de s'effondrer. Les murs ont été fissurés et défraichis, sans parler d'une surface considérable de parquets  détruits. Dans le cadre de la promotion de la musique et de la danse, non seulement le bâtiment a été rénové mais une restructuration du programme éducatif a également été élaborée », lance Lalatiana Andriatongarivo, numéro un du MCC, hier, en marge de la cérémonie d'inauguration du centre réhabilité. 

Vers 7h hier, des jeunes issus du quartier de Tsararano et celui de Fifio à Mahajanga se sont violemment affrontés. Il y eut deux blessés dont un grave tandis que deux autres personnes ont été arrêtées. En effet, un jeune habitant de Fiofio, en se rendant au marché a été brutalement agressé avec un morceau de pierre, ayant atteint de plein fouet son crâne.  L'accrochage a également occasionné des dégâts : des gargotes ou autres épiceries du coin ont été dévastés. C'était le fait de jeunes très remontés de l'un des deux camps en conflit contre leurs adversaires. Le heurt s'est traduit par un échange de jets de pierres entre les deux camps rivaux. « Les jeunes d'un quartier étaient venus en masse, et pas les mains vides ! 

81 247. Tel est le nombre de vues que Vonjy Razafimahefa Razafitsifa - « vlogeuse- influenceuse » sur les réseaux sociaux - a amassées pour une seule vidéo évoquant l’égocentrisme, publiée le 1er septembre dernier. Sur Facebook, elle est à 95 121 abonnés sur son compte personnel et à plus de 22 000 followers sur sa page professionnel, un bon point qui fait d’elle la nouvelle influenceuse y faisant fureur. Effectivement, Vonjy Raza, cette comédienne malagasy jouant un rôle dans des films, théâtres et comédies musicales, est devenue actuellement une " vlogeuse-influenceuse " sur les réseaux sociaux à travers des sketches et vidéos. 

Une nouvelle organisation s'implique au cimetière d'Anjanahary. Effectivement, seuls 60 % des propriétaires de tombes dans ce lieu sont enregistrés au sein du Bureau municipal d'Hygiène (BMH), tandis que les 40 % restants sont inconnus et n'y disposent d'aucun tombeau familial. Afin d'éviter la gabegie, ceux qui voudraient inhumer un corps dans ce cimetière devront disposer des décisions d'attribution de parcelles. D'après le docteur Njarasoa Rasoanomenjahary, chef de service de l'hygiène auprès de la Direction de l'eau, de l'assainissement et de l'hygiène auprès de la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA), les familles concernées devront prouver qu'elles disposent légalement d'une tombe dans ce cimetière. D'ailleurs, tous les propriétaires disposent déjà d'un arrêté municipal qui leur donne le droit de disposer ou d'y construire une tombe. Ceci stipule leur responsabilité envers le cimetière, entre autres en payant les taxes.

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En avant, la relance !

Le pays suffoque. L'économie s'agenouille. La pandémie de Covid-19, la faucheuse, menace toujours. C'est dans une telle atmosphère moribonde que le peuple malagasy est appelé à avancer, à relever ensemble le défi de la relance. L'Etat desserre l'étau du confinement. Apparemment, le bilan de la Covid s'améliore au fil des jours. Le nombre de décès diminue considérablement jusqu'à descendre à zéro ces derniers jours. Certes, le bilan des nouveaux cas de contamination continue à garder son rythme mais les chiffres restent modérés jusqu'alors. Raison pour laquelle les décideurs politiques au niveau de l'Etat osent prendre des mesures courageuses dans le sens du déconfinement. Il en faut bien du fait que tout le pays risque de payer trop cher le coût d'un confinement continu.

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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