L'Ordre national, symbole de reconnaissance et d'honneur, revêt une importance capitale dans la promotion des valeurs qui unissent une nation. Lors de la première réunion du Conseil de l’Ordre national de Madagascar, le Président Andry Rajoelina a clairement énoncé que « les médailles doivent être attribuées à ceux qui en sont réellement dignes ». Cela implique un processus rigoureux où le Conseil se doit de discerner les individus qui ont apporté une contribution tangible au développement et à la prospérité de Madagascar. En portant haut les couleurs de notre pays, ces personnes doivent incarner l'exemplarité et l'engagement envers les valeurs nationales.
Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex.
Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.
Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex.
Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.
Question pour un champion « menace permanente ! ». Ou un énoncé pour les amateurs de mots croisés, des cruciverbistes, passionnés des exercices cérébraux, « menace permanente » pour 10 cases. Celui ou celle qui ambitionne d’avoir un corps sain et dynamique doit se soumettre à des activités physiques continues. Celui ou celle qui aspire à un esprit pointu et un cerveau vivace a intérêt faire des exercices faisant travailler les méninges au quotidien (lecture, mots croisés, sudoku, etc). La rouille atteint facilement et rapidement le cerveau inactif. « Qui veut aller loin, ménage sa monture » !
La réponse à ce jeu cérébral, vous le saviez déjà « INSECURITE ». C’est un problème permanent du monde notamment d’aujourd’hui. Aucun pays ou Etat pauvre ou riche, de Sud ou du Nord, d’Est en Ouest, ne peut prévaloir le luxe d’être épargné par la menace permanente liée à l’insécurité. Certes, il y a des nuances à relever entre « insécurité et insécurité » celle dans les pays nantis et celle dans les pays en difficulté d’ordre social et économique. Elle peut dépendre de la Région du globe où l’on se trouve. Au Moyen-Orient ou Proche-Orient, en Afrique (proche du Sahel, subsaharienne, dans la région des grands lacs, etc). En Europe, aux Amériques, etc. Dans l’Océan Indien, etc. A chaque Région correspond à peu près à son type d’insécurité.
Mais, il ne faut pas confondre « insécurité » et « situation de guerre » ! Un pays qui n’est pas en guerre pourrait être victime de grave insécurité. Un autre qui souffre des atrocités des conflits armés, pourrait également subir d’insécurité. La population vit ainsi sous la coupe de deux enfers !
Madagasikara, de par sa situation géographique, pays insulaire, n’a jamais connu de guerre. Cela n’empêche pas que les malagasy souffrent des affres de l’insécurité récurrente. Mise à part la problématique de la misère contre laquelle le pays est confronté au quotidien, l’insécurité a pris ces derniers temps une ampleur compromettante et préoccupante. En ville tout comme en milieu rural, il n’y a pas un jour sans que la presse fasse état des actes sinon des délits alarmants. Panique en ville, psychose à la campagne ! Kidnappings, viols souvent suivis de meurtres à l’encontre des mineures, vols à main armée, braquage sur les routes nationales, etc. Les éléments des Forces armées ne pouvaient plus dissimuler leur limite pour ne pas avouer leur impuissance. A Toamasina, la capitale économique de Madagasikara, les bandits de grand chemin imposent leur loi. Ils tuent, dérobent et font main basse sur les biens de la population. A Mahajanga, la plus grande ville de destination, la population locale et les personnes de passage souffrent de la panique et de la psychose dues aux attaques brutales et meurtrières des malfrats. A Antananarivo, la capitale du pays et les environs immédiats, la recrudescence des actes de banditisme ont pris des allures terrifiantes. Les gendarmes et les policiers multiplient les contrôles et traquent les voyous jusqu’à sévir contre leurs vies. Mais, il reste encore beaucoup à faire. D’autres faits troublants comme les meurtres de Narindra Rasazy à Ambatofinandrahana et des coréens à Morararano Gare assombrirent davantage le tableau.
Le combat s’annonce dur !
Ndrianaivo
L’affaire retient l’attention de tout Nosy Be. Huit gendarmes et quatre civils sont présentés ce jour devant le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo dans une affaire de détournement de drogue dure, d’abus de fonction et de corruption. Parmi les gendarmes figurent, selon des sources informées, un officier supérieur, un gendarme principal hors classe exceptionnelle, un gendarme de première classe, un autre de deuxième classe et ainsi de suite. Ils sont soupçonnés d’implications dans une affaire de détournement de drogues saisies, de corruption et d’abus de fonction.
L’affaire remonte au 2 août 2024, lorsque la Gendarmerie de Nosy Be a procédé à la saisie d’une importante quantité de cocaïne destinée à être détruite. Cependant, des doutes sont rapidement apparus sur la quantité réelle de drogue saisie, des versions contradictoires circulant à ce sujet. Un officier supérieur aurait même admis que deux colis ont été retrouvés en sa possession.
En raison d'une suspicion légitime, de la nécessité d'une bonne administration de la justice et pour des raisons d'ordre public, la Cour Suprême a dessaisi le Tribunal local au profit du PAC d’Antananarivo. L’enquête a révélé des faits de corruption, certains des suspects ayant reconnu les faits et restitué des sommes indûment perçues. Les accusés étaient placés en garde à vue au Service des recherches criminelles (SRC) avant leur déferrement de ce jour devant le PAC. Ce dossier, mêlant atteinte à la probité, corruption et trafic de drogue, sera examiné en détail pour établir les responsabilités et assurer que justice soit faite.
Force est de constater que le trafic de cocaïne fait les choux-gras de la presse ces temps-ci dans la Grande île. Le mois dernier, un important réseau de trafic de drogue a été mis au jour après l’interception de 16 kg de cocaïne en provenance du Pakistan et destinés à l’île Maurice. L’enquête, menée par le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo, a conduit à plusieurs arrestations, dont huit personnes placées en détention provisoire à Tsiafahy et une femme incarcérée à Antanimora. Certains suspects, notamment des ressortissants mauriciens, restent en fuite. L’affaire implique également des membres des Forces de l’ordre et un grand hôtel de la Capitale, soupçonnés d’avoir facilité le trafic. Les inculpations portent sur des infractions liées au narcotrafic, au blanchiment de capitaux et à la corruption.
Les investigations se poursuivent avec des mesures judiciaires telles que la saisie du navire ayant transporté la drogue, le gel des comptes bancaires et l’extraction des données téléphoniques. Le PAC collabore avec Interpol pour retrouver les suspects en fuite et remonter l’ensemble du réseau.
La Rédaction
Lutte contre les trafics par voie maritime. Une importante visite d’officiers de renseignement criminel d’INTERPOL, orchestrée dans le cadre du projet SAFE SEAS for Africa et appuyée par la direction des opérations en mer, s’est déroulée sous l’égide de la direction générale de l’APMF. Cette initiative stratégique a pour objectif principal de consolider la collaboration entre l’APMF (Agence portuaire maritime et fluviale) et INTERPOL. L’ambition est de développer un projet bilatéral ambitieux, orienté vers l’instauration d’une sécurité et d’une sûreté maritimes harmonisées, répondant aux défis croissants posés par la criminalité en mer et contribuant à un environnement maritime plus sûr et plus stable.
Une évaluation approfondie des bureaux fonciers est en cours. La Direction générale des services fonciers (DGSF) a récemment mené des visites d'évaluation à Maevatanana et au guichet unique de Marovoay, afin d'identifier les obstacles opérationnels et de proposer des solutions concrètes pour optimiser l'efficacité du système. Ces missions sur le terrain visent à dresser un état des lieux précis des difficultés rencontrées par les agents et à élaborer des stratégies d'amélioration ciblées. Ce travail d'évaluation est complété par un soutien logistique important du ministère de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire (MDAT), en collaboration avec la DGSF et la Direction des logistiques et des patrimoines (DLP), qui a fourni du mobilier, des équipements d'archivage et du matériel informatique pour améliorer les conditions de travail. Ces actions s'inscrivent dans le cadre du Programme national foncier II (PNFII 2025-2030), la feuille de route gouvernementale pour une gestion foncière plus efficace et durable à Madagascar durant la période 2025-2030. L'objectif global est de consolider les acquis de la réforme et d'assurer sa pérennité grâce à une meilleure coordination entre les acteurs et une amélioration sensible des conditions de travail des agents fonciers.
Le BNGRC solidaire avec les pensionnaires de l’Akany Avoko. Le personnel féminin du BNGRC, sous la direction de la directrice générale adjointe Mme Mirana Miarimanana Razafimanantsoa, a manifesté une solidarité exemplaire envers les jeunes filles de l’« Ankany Avoko » Faravohitra, victimes de violence et de difficulté sociale. Conscientes des besoins de ces jeunes, les femmes du BNGRC ont organisé une collecte de denrées alimentaires et de fournitures essentielles, comprenant riz, céréales, huile, savon, lait, etc., allégeant ainsi la précarité de leur quotidien. Au-delà de l'aide matérielle, le message porté par la directrice générale adjointe a été porteur d'espoir et d'encouragement. Elle a insisté sur l'importance de leur persévérance face aux défis, rappelant que ces jeunes filles représentent l'avenir du pays. Cette action s'inscrit parfaitement dans le thème de la célébration : « Egalité et autonomisation de toutes les femmes et filles », illustrant concrètement l'engagement du BNGRC pour l'épanouissement de la gent féminine. Le partage et l'accompagnement apportés par les femmes du BNGRC témoignent d'une implication profonde et d'une solidarité agissante.
L’avenir du développement passe par celui de la formation professionnelle. Le développement de la jeunesse malgache passe par une amélioration significative de sa préparation technique et professionnelle. C'est pourquoi les ministères de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle et du Tourisme et de l'Artisanat unissent leurs efforts pour rehausser le niveau des formations dispensées. La visite conjointe des ministres Rasoloarisoa Marie Marcelline et Viviane Dewa à l'Institut national du tourisme et de l'hôtellerie (INTH) Ampefiloha le 5 mars 2025 témoigne de cet engagement. La réhabilitation et l'amélioration des centres de formation, comme l'INTH, sont au cœur de cette stratégie visant à fournir aux jeunes une formation de qualité, véritable socle de leur insertion professionnelle et du progrès national. En investissant dans une préparation technique et professionnelle performante, le Gouvernement malgache place la jeunesse au centre de son projet de développement économique et social, reconnaissant son rôle crucial dans l'essor du pays. L'accompagnement des jeunes dans leurs études professionnelles est perçu non seulement comme une priorité, mais comme la clé de voûte d'un avenir prospère pour Madagascar.
L'affaire qui suscita la plus grande polémique ! Comme nous l'avions rapporté dans l'une de nos précédentes publications, le sort des 18 personnes impliquées dans le meurtre de la mairesse de Mangataboahangy, Narindra Ranivoarivony, alias « rasazy » Narindra, a été fixé vendredi dernier, du moins après leur déferrement. Si 16 d'entre elles ont été placées sous mandat de dépôt (MD) à Tsiafahy, deux autres le sont à Antanimora pour association de malfaiteurs, homicide volontaire et complicité. A propos justement, le frère de la victime, celui qui était dans la même voiture qu'elle au moment de la fusillade, et au grand étonnement de l'opinion, est l'un des suspects jetés à Antanimora. D'après une source, c'est la Justice qui a décidé son incarcération provisoire à la Maison centrale d'Antanimora.
D'où cette vive réaction de la mère du concerné qui proteste la désinformation que certains ont véhiculé sur les réseaux sociaux, comme quoi son fils, le prénommé Tsitohaina figure aussi parmi ceux qui ont assassiné sa propre sœur : « Les deux sont tous mes enfants. Nous sommes une famille soudée, qui travaille ensemble. A preuve, ma défunte fille a mis son frère Tsito en tête de liste comme son conseiller. Et c'est faux que ce dernier cherche le pouvoir », déclare Marguerite Herisoa Rakotomavo, la mère de feue mairesse de Mangataboahangy.
Dans la même foulée, notre interlocutrice apporte une précision à propos des circonstances du décès de son mari, également maire, de son vivant : « Mon époux n'a pas succombé durant une fusillade comme des internautes l'ont avancé. En réalité, il était souffrant à Mangataboahangy. Et il nous a fallu l'évacuer à Antsirabe où il mourut de cette maladie », poursuit-elle. De fait, elle affirme ne pas comprendre pourquoi on a enfermé son fils alors que tous les deux, Narindra et Tsito, ont voulu apporter le développement dans notre Commune, et ce, d'après le conseil du Chef de l'Etat.
Dire que « rasazy » Narindra allait regagner sa Commune, et ce, après qu'elle eut reçu officiellement son écharpe à Ambositra, la marque qu'elle a été élue mairesse lorsque la mort l'a guettée en chemin. En effet, des tireurs embusqués ont arrosé le véhicule 4x4 qui transportait la victime et son frère, d'une pluie de balles entre Ambavaloza et Itremo. « Rasazy » Narindra fut mortellement touchée. Par la suite, l'enquête menée par la Gendarmerie, a débouché sur l'arrestation, d'abord de 6 suspects. Finalement, 18 personnes étaient tombées dans le filet de la Gendarmerie, et elles ont été toutes incarcérées provisoirement, en attendant le procès sur cet acte de barbarie.
Franck R.
« Egalité des droits et autonomisation pour toutes les femmes et jeunes filles ». Tel a été le thème adopté lors de la Journée internationale des droits de la femme (JIDF), célébrée en grande pompe à travers de multiples activités à Mahajanga. Le jour J de la célébration a été marqué samedi dernier par un grand défilé au Village touristique, avec la participation de plusieurs centaines de jeunes filles et des femmes issues des institutions, associations et bénéficiaires des activités.
Une occasion de mettre en avant les femmes et les jeunes filles. Ces dernières ont été mises en avant par la Première Dame Mialy Rajoelina, non seulement durant son discours mais aussi dans la plupart des activités entreprises. Outre les messages d’encouragement s’adressant aux jeunes filles, la Première dame a également rappelé les nombreux défis auxquels elles doivent faire face, dont l’abandon scolaire et le mariage précoce. « Chers parents, la clé d’un meilleur avenir de Madagascar, à travers l’éducation de nos jeunes filles, est entre vos mains. Envoyez vos filles en classe et soutenez-les pour réussir leurs études. Les jeunes filles sont intelligentes. La preuve, bon nombre de lauréats et majors se composent de filles », s’est-elle adressée aux parents. Et d’ajouter : « Personnellement, je reste convaincue que les jeunes filles éduquées deviendront des femmes autonomes, capables de surmonter des obstacles et de tracer leurs voies. Elles deviendront des femmes actrices du développement du pays ». D’après l’épouse du Président de la République, il suffit de donner aux filles la clé de la connaissance pour qu’elles puissent ouvrir la porte du développement. « Ne les forcez pas à se marier précocement. Laissez-les changer le monde au lieu de subir les changements du monde dus à l’injustice et l’absence de choix (…) », sollicite la présidente-fondatrice de l’association Fitia.
Des actions concrètes
Trêve de parole, place aux actions. La célébration de la JIDF de cette année a été marquée par de multiples réalisations, en faveur des femmes et des filles. La formation intensive ou « bootcamp » sur le leadership, la gestion de projet et l’entrepreneuriat en fait partie. 1.500 jeunes filles issues des quatre coins de l’île y ont participé activement. Les bénéficiaires se disent prêtes à apporter des changements, que ce soient pour elles que pour leurs communautés. A cela s’ajoute la formation « HOPE » ou « Espoir » à l’endroit de 300 collégiennes et lycéennes âgées de 10 à 21 ans. La formation, fruit du partenariat entre l’association Fitia et le cabinet Henka Suru, s’est focalisée sur le leadership au féminin, le développement personnel ou encore la découverte ou l’exploitation des talents que possèdent les jeunes filles. Elles n’ont pas manqué de s’exprimer librement et de partager leurs vécus et rêves durant les 2 jours de formation à Mahajanga, sous le thème « J’écris mon avenir ».
D’un autre côté, les femmes et jeunes filles de Mahajanga peuvent désormais bénéficier des prestations auprès du « Safe space » ou « Tranon’ny viavy mandroso », le lieu de l’espoir et de sécurité pour elles, en particulier celles victimes de violence. Elles peuvent y bénéficier des conseils psychologiques, entre autres.
P.R.
Soutien permanent de l’Etat pour les femmes
Présent à la célébration de la JIDF 2025 qui s’est déroulée dans la cité des fleurs, aux côtés de son épouse, le Président de la République Andry Rajoelina a confirmé, une fois de plus, son soutien envers les femmes. L’Etat déploie des efforts conséquents pour ce faire, entre autres dans l’octroi de terre où les femmes peuvent pratiquer l’agriculture et l’élevage, ainsi que la dotation de matériels et intrants agricoles. A cela s’ajoutent les formations professionnelles en coupe et couture, artisanat, l’utilisation des nouvelles technologies, etc. Des femmes sont équipées pour démarrer des activités génératrices de revenus, et ainsi devenir autonomes. « Vous n’êtes pas seules puisque je suis et je serai toujours à vos côtés pour vous soutenir. D’ailleurs, une grande partie du budget de l’Etat est destinée pour appuyer les femmes et les associations féminines reparties dans toute l’île (…) », conclut le Chef de l’Etat.