Mardi matin dernier, l’hôtel Mercury sis à Andravoahangy- Ambony découvre avec consternation le décès de son propriétaire prénommé Pierre, ce Français de 77 ans. La victime avait été retrouvée sur le lit de sa chambre dans l’appartement sis à l’étage, en sang. Une blessure occasionnée par la balle d’une arme à feu aurait été constatée au niveau de son menton. D’ailleurs, une arme aurait été retrouvée non loin du corps. L’objet avait été saisi par la Brigade criminelle, depuis. En tout cas, la blessure était fatale au septuagénaire.
Pour le moment, le mystère reste encore entier pour connaître l’origine de ce tir, de savoir s’il relèverait d’un suicide ou bien d’un tir accidentel. Cependant, des sources convergentes penchent pour le suicide. « Pour l’heure, la thèse d’un suicide n’est pas encore confirmée. Et au cas ou elle s’avérerait fondée, cela mettra un terme à l’enquête », précise une source policière.
Parallèlement, une autre source, cette fois-ci officieuse, souligne qu’il y eut une détonation. Et que celle-ci aurait provoqué la surprise générale chez le personnel de l’hôtel, et l’a poussé à donner l’alerte à la Police. 
Perplexe, l’un des collaborateurs de la victime, qui s’est récemment exprimé sous le couvert de l’anonymat, n’en croyait toujours pas ses yeux. «Contrairement à ce que les gens ont avancé, nous n’avons entendu aucune détonation. Seulement, le mardi matin dernier, nous étions étonnés à ce que le septuagénaire n’était toujours pas sorti de la pièce qu’il a occupée. il a alors fallu constater de visu. C’était dans ces circonstances qu’une désagréable surprise liée au constat de décès du septuagénaire,  nous a attendu ! », confie notre interlocuteur.
En attendant que l’affaire soit tirée au clair, rien ne semblait transparaître le doute à propos du Français. Pas de femme, pas d’addiction à la drogue, ni à l’alcool, etc. du moins selon ceux qui l’ont vu de son vivant. La veille du drame, la victime s’était comportée le plus normalement du monde, donc comme à ses habitudes, selon toujours une source. « Dans la chambre qui se trouve au-dessus du défunt, logent des étrangers, qui ne seraient autres que des amis du septuagénaire. Ces derniers, eux aussi affirment n’avoir rien entendu, ni vu quelque chose de suspect », continue-t-il. Et que, mardi matin dernier, c’est-à-dire juste au même moment où le drame a été consommé, ces amis de la victime n’étaient pas à l’hôtel. Ce n’était seulement qu’à leur retour à l’hôtel qu’on leur a informé du décès de Pierre. L’enquête suit son cours.
Franck R.

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jeudi, 16 mars 2023

La une du 17 mars 2023

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La presse internationale avait annoncé que le roi du Maroc Mohammed VI pourrait de nouveau visiter Madagascar dans le courant de ce mois. L’information n’a été confirmée par aucune autorité compétente. Cependant, des sources autorisées confirment à l’heure actuelle que cette visite dans la Grande île a été reportée à une date ultérieure. L’information émane du ministère des Affaires étrangères de Madagascar. Ce ne serait que partie remise puisque la visite pourrait se tenir au mois d’avril prochain. Le roi Mohammed VI était attendu à Madagascar pour une visite d’amitié et de travail. Dans son programme, un déplacement du côté d’Antsirabe devrait figurer. Il devrait y procéder à l’inauguration de certaines infrastructures financées par son royaume. Dans une de nos précédentes éditions, nous rappelions que la dernière visite du souverain marocain dans le pays remonte à 2016, à l’occasion du sommet de la Francophonie. Il avait effectué un pèlerinage du côté d’Antsirabe où ses aïeuls en l’occurrence son grand père Mohammed V et son père Hassan II, avaient été envoyés en exil au début des années 50.
L.A.

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« Ceux avec qui j’ai fait du karaté, ceux qui me connaissent savent que l’homme qui se dresse devant vous est un combattant, un guerrier. Dès lors que je monte sur un tatami, la victoire est acquise. Cela s’est déjà produit. Ce ne sont pas de simples paroles. Dès que je regarde mes adversaires, je sais leur point faible. C’est cet esprit de combattant qui m’anime. Je n’ai aucune crainte et je ne reculerai pas. Quand j’avance, je vais jusqu’au bout, jusqu’à la victoire ».
Les mots sont ceux du Président de la République Andry Rajoelina. Et ce, au cours d’une allocution prononcée lors de l’inauguration des nouvelles infrastructures de l’Ecole primaire publique de Mahabo dans le District d’Atsimondrano, hier dans la matinée. Sous cette allégorie au karaté, le numéro Un du pays s’adresse à la population et surtout à ses adversaires politiques et aux prétendants à la magistrature suprême du pays. En effet, le locataire d’Iavoloha fait vraisemblablement une fois encore référence à la prochaine élection présidentielle prévue dans un peu moins de huit mois. Le Chef de l’Etat affirme donc également être prêt à en découdre.
Jusqu’ici cependant, il se garde de se prononcer sur une candidature pour briguer un second mandat à la tête du pays. Ce n’est pas la première fois que le Chef de l’Etat fait des insinuations à cette élection. A Mananjary, il y a quelques semaines, le Président Rajoelina avait affirmé que « lorsque que je participe à une compétition, c’est pour gagner, j’ai gagné et si je participe une nouvelle fois, c’est pour gagner et je vais gagner ».
Notons en tout cas que le Président de la République a procédé hier à l’inauguration de nouvelles infrastructures à l’Ecole primaire publique de Mahabo- Andoharanofotsy. Une initiative qui cadre avec le Velirano no4 du Président de la République qui est « L'éducation pour tous ». L’EPP Mahabo comptait auparavant deux salles de classe pour plus de 400 élèves, obligeant à des rotations, selon le maire d’Andoharanofotsy Henintsoa Rakotoarimanana dit Tôta.
Le Président Andry Rajoelina a dédié cette infrastructure, avec la population d'Andoharanofotsy venue en grand nombre, hier à l’inauguration. En plus des nouvelles infrastructures, les écoliers de l'EPP Mahabo- Andoharanofotsy ont également reçu des dons de l'ONG Samaritan's Purse. Les trois premiers enfants de chaque classe ont reçu des bicyclettes du Président. Un stade standard sera également construit à Iavoloha- Atsimondrano. La pose de la première pierre a eu lieu sur place après une marche d’Andoharanofotsy à Iavoloha.
Lalaina A.






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jeudi, 16 mars 2023

Ambigüité !


La grande coalition ARMADA existe-t-elle encore ? Soutenant le candidat n° 13 Rajoelina Andry Nirina  et le conduisant vers la victoire lors de l’élection de novembre/décembre, l’Alliance démocratique républicaine (ARMADA) au sein de laquelle adhèrent des formations politiques épousant le bien fondé des  fondamentaux de l’IEM, Initiative pour l’émergence de Madagasikara, accompagne le candidat vainqueur dans la composition du Gouvernement. Au départ, six partis composent l’ARMADA à savoir l’IRD (TGV), MMM, Hiaraka Isika, AVANA, les Verts et l’AVI.
Ces derniers temps, on a  remarqué des traces de fissure sur la façade principale de l’Alliance allant jusqu’à briser l’union sacrée. Si les uns se font discrets, d’autres prennent carrément ses distances et certains entretiennent l’ambigüité.
Au gré des vagues de remaniements, une certaine formation comme les Verts de Sarah Georget Rabeharisoa fait profil bas et préfère jouer la carte de la discrétion. Visiblement éreinté par les caprices sinon des comportements pour le moins indélicats de certains éléments influents de l’IRD/ TGV, le parti MMM de Hajo Herivelona Andrianainarivelo claqua la porte. La formation politique de Norbert Lala Ratsirahonana, quasiment oubliée dans son coin pendant un certain temps, affiche une attitude ambigüe vis-à-vis du régime Orange.
En effet, la dernière en date de la sortie du président fondateur de l’Asa vita no ifampitsarana (AVI) sème le doute. Norbert Lala Ratsirahonana, un des faiseurs de rois, à travers sa rhétorique plutôt déconcertante, inquiète les observateurs et même au niveau de l’instance dirigeante du pays. En effet, ce vieux loup de mer plutôt grand spécialiste ou expert en changement de « palitao » d’après ses dires va faire cavalier seul lors des municipales et des législatives, et en sus le président du parti « donne carte blanche » à ces membres, le libre choix pour l’élection présidentielle à venir.
En d’autres termes, l’AVI ne présente pas officiellement de candidat au scrutin de novembre mais aussi et surtout ne soutient aucun candidat en lice. Norbert Lala Ratsirahonana, le magicien du verbe et orateur hors pair, fin technicien du grand écart, toujours membre de l’Alliance républicaine de Madagasikara (ARMADA), connu pour être proche du régime Orange du moins jusqu’à maintenant, ne donne aucune consigne pour le soutien de l’éventuel candidat de l’IRD. L’ AVI prend ses distances vis-à-vis de l’Alliance. Si ce n’est pas une trahison à la cause de l’union sacrée, cela ressemble trop ! Un poignard dans le dos qu’un certain Rajoelina encaisserait difficilement et semblerait ne pas le digérer si facilement.
Vivement le relai des jeunes générations dans la conduite de la lutte politique dans la Grande île. Les dinosaures de la taille de Ratsirahonana doivent incessamment céder la place aux jeunes. En perte de vitesse, ces anciens poids lourds ne parviennent plus à suivre le rythme. Ils divaguent.
D’ailleurs, même si le président fondateur de l’AVI s’aventurerait à donner une consigne de vote en faveur du candidat de l’IRD, il n’est pas certain que les fidèles lieutenants iront le suivre. Certains d’entre eux  ont déjà choisi leurs camps. Pour éviter le bérézina, être désobéi dans son propre camp, le vieux avait pris le devant.
Difficile de croire que l’AVI soit encore en odeur de sainteté à l’endroit de l’ARMADA et vice-versa.
Face à cette ambigüité ambiante, l’avenir de la majorité présidentielle broie du noir. 
Ndrianaivo

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Des avancées notables constatées. Près de 500 femmes, issues des 23 Régions, ont bénéficié d’un soutien et de formations professionnalisantes dans leurs activités, mais aussi au niveau de la santé et de l’éducation. Le rapport de la campagne des 100 jours d’actions en faveur des filles et des femmes, remis hier au Carlton, Anosy, fait part de ces résultats. Menée sous le thème « une fille qui apprend, une femme qui gagne », il s’agit d’une initiative de la Banque mondiale avec la Première dame de Madagascar, Mialy Rajoelina. Grâce aux formations dispensées, ces femmes sont désormais des actrices du développement, en réalisant qu’elles ont un potentiel individuel et productif. Elles vont être capables de résoudre des problèmes, de communiquer efficacement, d’être créatives et de s’adapter à différents environnements et situations.
Si les conditions de la femme n’évoluent pas dans notre pays, cela aura des impacts considérables sur notre société et notre économie. La gent féminine doit être considérée comme un potentiel pour bâtir une Nation inclusive et productive. « Les femmes sont des leaders-nées (...) Une fille éduquée aujourd'hui est une femme autonome demain. L’éducation est la seule voie qui mène vers l’émancipation économique et la capacité de décision des femmes et des filles », a martelé hier l’épouse du Président de la République lors de la cérémonie de clôture de ladite campagne.
En plus des formations, une sensibilisation sur la lutte contre la violence basée sur le genre et sur le planning familial a été également effectuée. « La violence envers les femmes est une violation des droits humains. Elle laisse des profondes séquelles. Il est important que les femmes soient conscientes de leur valeur et de leurs droits », précise la présidente et fondatrice de l’association Fitia. « Je m’engage à nouveau à poursuivre les efforts entrepris dans cette cause tellement cruciale. Que toutes les jeunes filles de mon pays puissent accéder à l’éducation. Que les femmes soient aimées, respectées et considérées à leur juste valeur dans leur foyer et qu’elles deviennent autonomes », a-t-elle ajouté. Au vu des résultats obtenus, la Première dame va redoubler d’efforts et continuer sur cette bonne voie…
Nikki Razaf/Patricia R.



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Des bonnes nouvelles en perspective ! Tel résume l’entretien entre la délégation de la Banque africaine de développement, dirigée par Leila Mokkadem, directrice générale pour l’Afrique australe, et le Président Andry Rajoelina hier au Palais d’Etat d’Iavoloha. Le sujet lié au volet énergétique était au centre des échanges. La directrice de la BAD a annoncé une accélération dans la mise en œuvre des projets dans ce sens. Cela inclut notamment la construction de la centrale hydroélectrique de Sahofika qui permettra d’augmenter l’approvisionnement en électricité au profit de la population. Par ailleurs, la BAD étant un partenaire stratégique du développement économique et social de Madagascar, plusieurs  projets en cours d’exécution qui reçoivent l’appui de l’institution, notamment en matière de sécurité alimentaire et d’énergie, ont également été évoqués. A cela s’ajoute, la mise en œuvre du Plan émergence de Madagascar.
Lors du dernier sommet de Dakar, la BAD a annoncé un appui financier à hauteur de 334 millions de dollars pour la mise en œuvre du Pacte national pour l’alimentation et l’agriculture à Madagascar. Un soutien conséquent obtenu grâce au plaidoyer du Président Andry Rajoelina. La directrice de la BAD a indiqué que les projets relatifs à l’alimentation et la sécurité alimentaire  soutenus par son organisation, notamment dans le Sud de l’île, sont des projets intégrés qui incluent non seulement la réhabilitation des terres mais également l’accès à l’irrigation, la réhabilitation des routes et la mise en place d’une zone de transformation agricole. Les jeunes ne seront pas en reste et recevront l’appui de la BAD via des financements ou de renforcement des capacités avec un accent particulier sur les projets liés au secteur agricole.

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jeudi, 16 mars 2023

Agenda du week-end


Vendredi 17 mars
Nina’s
L'interprète de la chanson  « Asio fanajana » est de retour. Effectivement, Nina’s s’est retirée du monde du showbiz malagasy depuis l’annonce de sa séparation avec le chanteur Willy. Elle a désormais reconstruit sa vie à l’étranger. Mais pour ce soir, l’artiste a promis une grande retrouvaille  avec ses fans. La chanteuse et son équipe seront à l’hôtel Le Glacier, Analakely pour une soirée baptisée « Ho ampifaliako ». Nina’s, originaire de Menabe, cette chanteuse qui en est à sa onzième année de scène, est loin de déplaire son public malgré sa longue absence sur la scène locale. A la tête de son dynamique et talentueux effectif, la jeune chanteuse accumule tant de succès une fois devant ses fidèles fans. Et voilà qu’après une longue absence, la chanteuse revient avec un nouveau morceau intitulé « Ho ampifaliako ». Elle compte enflammer de nouveau la scène avec ses tubes comme « Tsy safidy », « Zana-bady », « Ka ampijalia » ou encore « Tsy hiala ».
Nary, Tolotra et Ony
De la musique acoustique au menu. Tolotra, Nary et Ony vont satisfaire les abonnés du Piment Café de Behoririka dans un concert qui s'annonce à l'avance surprenant. Ces interprètes, bien connus du public de la Capitale, ont chacun une grande renommée. En solo, en duo, en trio ou en medley, réunis sur la même scène, Tolotra, Nary et Ony vont offrir les meilleurs d'eux-mêmes à travers un répertoire particulier que l'assistance appréciera certainement. Rendez-vous ce soir à 20h 30 !
Gothlieb
De l’humour bien salé avec Herinaivo Randriamasinoro. Le chanteur, humoriste et imitateur Gothlieb remet le couvert pour une deuxième édition de son show intitulé « Interdit d’Antenne 2.0 ». Le rendez-vous est donné ce soir à partir de 20h 30 au Pho Resto, Mandrosoa-Ivato. Comme à l’accoutumée, l’artiste propose à chaque apparition de nouvelles surprises pour surprendre son auditoire. Gothlieb jouera également à cette occasion le rôle de ses autres alter-égo tels que Rabetsara, Ranoribera et le fameux Syrila. Tous ces différents personnages embarqueront le public à travers une épopée taquine et un brin sarcastique qui fascine toujours autant. Ce showman va décrire des situations rocambolesques et les tourner  en ridicules au point de faire rire aux éclats toute l’audience.  
Benny, Bebey et Nini
Les trois amis de scène Benny, Bebey et Nini Kolibera sont de nouveau réunis au CR8 By Pass pour ce vendredi qui s'annonce prometteur. Avec eux, l’ambiance ne peut être qu’exceptionnelle. Ce ne sont pas les irréductibles de Lôlô sy ny tariny qui diront le contraire. Ce soir à partir de 20h, ils  vont à nouveau embarquer le public dans un rendez-vous inédit. Comme au bon vieux temps, Benny et sa bande vont replonger leurs inconditionnels dans les années 70. Différents genres de musique tels que le folk, le blues, le « bà gasy » et du « country » seront à l'honneur par le biais d'un riche répertoire de chansons populaires dont « Fibata », « Dimbaka avy any Nazareta », « Tablier manga », « Raha mankany ialahy », « Lemizo ».
Kiaka
Finir le week-end avec du « hard rock » où les riffs de guitare « trash » se retentiront. Pour cela, les responsables au sein du Karibotel Twenty Six à Analakely ont décidé d’animer les lieux en faisant appel au groupe Kiaka. Ainsi, Nini et toute sa bande seront dans le centre-ville  pour satisfaire les adeptes du rock en ce vendredi joli.  A cette occasion, Nini va aligner ses titres les plus connus pendant toute une après-midi. De « Rovako » à « Atolotro anao » en passant par « Rock’n roll namako » ou encore « Nofy », la jeunesse des années 90 va avoir droit à une soirée des plus enflammées. Rendez-vous à 20h !
Mr Sayda
L’interprète de « Mba marina anie » fgure parmi les jeunes artistes les plus actifs actuellement. Ce soir, il sera de nouveau à l’affiche du Pietra Analakely à partir de 19h. Une belle occasion à ne rater sous aucun prétexte pour ceux qui ne l’ont jamais vu à l’œuvre, ailleurs que sur le petit écran. Au programme, les morceaux tels que « Voay », « Tia anao aho», « Real love », ou encore son nouveau tube  intitulé « Fitiavana mahery ». Il s’agira d’une soirée « roots » qui promet d’être mémorable. La jeune musicienne Larak et la chanteuse Myrah vont l’accompagner durant ce spectacle qui s’annonce très chaud.
Malm
Un cocktail de sons « roots » et « afro style », le tout mélangé par de la musique urbaine. C’est ce que proposera ce soir la salle du Poony Lodge sis à Iavoloha. Pour la première fois, l’endroit mettra en affiche le jeune chanteur de renom Malm. Il s’agit d’un artiste jouant de la musique contemporaine, destinée à chauffer les noctambules. En tout cas, une chose est sûre : avec cette affiche, les gens qui viennent de passer une semaine chargée prendront le temps pour s’amuser et se déstresser, surtout ceux qui résident du côté d’Andoharanofotsy et ses alentours. Le show débutera à 19h.
Si.R

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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