Le décès de Rakotonirina Désiré alias Dezy a été annoncé d’une manière officielle par sa fille, samedi en fin d’après-midi. Sur les réseaux sociaux, les fans du ballon rond malagasy se sont demandés sur la véracité de cette mauvaise nouvelle dans la mesure où, l’année dernière, la rumeur a déclaré mort ce grand footballeur malagasy. Malheureusement, cette fois –ci, plus aucun doute, Dezy a quitté définitivement le terrain après une courte hospitalisation.
Changement climatique, terres arides, pluviométrie au plus bas. L’agriculture connaît aujourd’hui des problèmes graves entrainant une baisse de la production et une déficience au niveau de la nutrition. A Madagascar, de nombreuses localités sont atteintes par ces carences. Parmi les cultures les plus adaptées à ces conditions extrêmes, le grain de millet est un candidat idéal. L’Organisation des Nations unies (ONU) a d’ailleurs déclaré l’année 2023 comme celle du millet sur une suggestion de l’Inde et d’autres pays.
Entière et totale. Des termes que l’on peut qualifier sans leurre, ni tromperie ni trucage, la relation qui existe entre le jeune dirigeant Rajoelina Andry Nirina et son peuple.
Une révélation surprise en 2007, prouvée en 2009, trempée en 2014, retrouvée en 2018 ( 8 mars Ambilobe), confirmée en 2018 (novembre/décembre) et sortie indemne, consolidée et authentifiée à ce jour, la popularité du Chef de l’Etat Rajoelina auprès de la population reste fidèle et intacte.
A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la protection des consommateurs, la semaine dernière à Toamasina, la question de l’accès à une énergie verte et à moindre coût aura été l’un des principaux sujets de discussion entre les autorités en charge et les associations de protection des consommateurs. Ainsi, les débats ont tourné autour de la thématique « Autonomiser les consommateurs par une transition vers des énergies propres ». A partir de cette thématique, les associations des consommateurs présents à Toamasina, la semaine dernière, ont relancé la situation de la capitale économique qui est encore loin de jouir de cette énergie, malgré les potentiels présents.
Nous vous emmenons dans l'univers des masseuses de Capitale. Il en existe deux catégories. Il y a d’une part celles qui, sous le couvert du massage conventionnel, sont en réalité des dispensatrices de plaisir sensuel, sinon le sexe, et qui se passe dans une chambre d'hôtel baptisée familièrement « salon de massage ». C'est le cas de Tania, qui a pris ici un nom d'emprunt, et qui n'a pas voulu qu'on la photographie. D'autre part, celles qui sont des professionnelles, qui font du massage relaxant et plutôt thérapeutique. C'est le cas de la jeune Manampisoa, qui travaille dans un institut de soins, spécialisé dans la médecine par les plantes, réputé dans le pays.
« Cela fait longtemps qu’on attend ce moment », a déclaré un fan avant le concert. Après cinq années d’absence, Nina’s a pu enfin retrouver le public de la Capitale. Vendredi soir, son retour sur scène était très attendu. Ainsi, la chanteuse n'a pas déçu les spectateurs qui sont venus en masse dans l’antre du Glacier à Analakely. D’ailleurs, elle a profité de cette occasion pour entonner son nouvel opus « Ho ampifaliako », sorti au mois de février dernier et qui cartonne déjà sur les ondes de la Grande île. Histoire de prouver que sa voix et son talent sont toujours intacts. Nina’s a entamé chacun des titres l’ayant rendue célèbre depuis l’année 2011. Dès sa première apparition, la chanteuse a reçu des applaudissements.
Un amas de ferraille déchiqueté, rendu presque méconnaissable ! Seules les roues du véhicule semblent être intactes. C’est ce qui restait du véhicule 4x4, lequel a transporté quatre techniciens de la JIRAMA, de retour d’une mission à Andekaleka, vers 19h samedi dernier. Comble de l’horreur, trois d’entre eux ont été tués sur le coup tandis qu’un quatrième se trouve encore entre la vie et la mort. En cause, le tout-terrain en question s’était télescopé avec un train de marchandises, juste au PK206, dans la Commune de Lohariandava, localité voisine de la centrale hydroélectrique d’Andekaleka, sur la RN2.
Démarrant le 13 mars dernier, l’enquête sur le naufrage du bateau de clandestins à Ambilobe, devrait être close samedi dernier. Ce qui fait que les 17 personnes arrêtées dans le cadre de cette enquête, et qui sont globalement poursuivies pour migration clandestine associée à un homicide, seront présentées devant le Tribunal de première instance d’Antsiranana.
Une réunion de l’Organisme mixte de conception- National (OMC- NAT) s’est tenue à Ambatondrazaka, le 17 mars dernier, suite à la dimension qu’a pris le phénomène de kidnapping dans la Commune de Morarano-Chrome et les parages. Dès la cérémonie d’ouverture, le Premier ministre et le président de l’OMC, ont fait remarquer qu’il y a eu du « tsy fahamatorana » , traduction libre « manque d’application manifeste » dans l’accomplissement de l’opération Harato . En effet, les otages et leurs ravisseurs ont pu parcourir sans encombre tout l’espace séparant la Commune de Morarano(Alaotra-Mangoro) jusqu’à la montagne de Maizinandro, Commune rurale de Bevakoka, District d’Anjozorobe (Analamanga) , alors qu’il y a certainement des unités de Forces de l’ordre , aussi rares et minimes soient-elles, le long de ce parcours, mais surtout, il y a des Communes, des Fokontany, des villages et des hameaux, lesquels sont censés faire partie d’une administration, avec ce que cela comporte de devoir et d’obligation à accomplir nécessairement… Mais le convoi y passait sans le moindre contrôle! Tout se passe comme s’il n’y a pas un « Fanjakana ».